21/10/2018
ACCORDS CONJOINTS 1973 SUR L'ISLAMISATION DE L'EUROPE
ACCORDS CONJOINTS 1973 SUR L'ISLAMISATION DE L'EUROPE
SUITE À L'EMBARGO PÉTROLIER
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DOCUMENTS À CONSULTER
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9 JUILLET 2017 MEDIAS-PRESSE.INFO /ISESCO / OCI
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Aussitôt après la défaite syro-égyptienne contre ISRAËL en 1973, les pays arabo-musulmans ont riposté en déclenchant le PREMIER CHOC PÉTROLIER, et les pays européens se sont hâtés de négocier en position de faiblesse.
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En 1973, c’est la guerre des Syriens et des Égyptiens contre ISRAËL [GUERRE DU KIPPOUR] et la défaite cuisante des premiers.
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Suite à ce chantage, les Européens vont négocier avec les Arabes et acceptent toutes leurs conditions.
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6 novembre 1973 : les neuf pays de la COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE de l’époque basculent dans le camp pro-arabe : reconnaissance du peuple palestinien, alignement sur le narratif arabe concernant ISRAËL, CRÉATION DU DEA (DIALOGUE EURO-ARABE), l’ancêtre du PROCESSUS DE BARCELONE [NOTE 1].
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Les pays arabo-musulmans ont établi une stratégie pour la préservation de l’identité musulmane des communautés immigrées et pour le noyautage des sociétés hôtes
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Le DEA vise en réalité à mettre en œuvre une série d’éléments qui seront définis plus précisément en 1975 par les RÉSOLUTIONS DE STRASBOURG [NOTE 2].
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Ce document pose les bases de ce que nous vivons encore aujourd’hui : mise en place d’une politique de recrutement de main-d’œuvre dans le monde maghrébin, aux conditions dictées par les pays musulmans.
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Cette immigration a été réclamée par les Européens. Les pays musulmans ont fixé des conditions en parfaite cohérence avec la doctrine islamique :
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1° égalité de traitement entre les immigrés et les nationaux (accès aux droits sociaux et politiques),
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2° pas d’assimilation, les communautés musulmanes continuent à vivre en EUROPE à leur manière, chapeautées par les pays d’origine,
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3° introduction dans les sociétés européennes d’un narratif concernant l’ISLAM : l’ISLAM est partie constitutive de votre culture, la presse doit avoir un traitement positif de l’ISLAM, mise en place de centres culturels dans toutes les capitales européennes. Les populations musulmanes qui allaient arriver en EUROPE ne devaient pas être séparées de la communauté musulmane et devaient être libres de pratiquer leur culte et de vivre selon leur culture.
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Ces accords fondateurs de 1975 et ceux qui suivent sont tous chapeautés par un document que j’ai découvert récemment : la STRATÉGIE DE L’ACTION ISLAMIQUE CULTURELLE À L’EXTÉRIEUR DU MONDE ISLAMIQUE. C’est un document officiel, adopté par le NEUVIÈME SOMMET ISLAMIQUE TENU À DOHA EN 2000. C’est donc le sommet des chefs d’État de l’OCI (Organisation de la coopération islamique), l’équivalent de l’ONU ISLAMIQUE, la 2e plus grande organisation internationale du monde, qui regroupe tous les pays musulmans. CE DOCUMENT EST PUBLIC ET TÉLÉCHARGEABLE EN ARABE, ANGLAIS ET FRANÇAIS SUR LE SITE DE L’ISESCO (ORGANISATION ISLAMIQUE POUR L’EDUCATION, LES SCIENCES ET LA CULTURE) :
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Il définit le mode d’action pour les années suivantes, qui consiste à «implanter» (sic) des communautés islamiques civilisationnellement différentes de l’OCCIDENT, selon les règles de la CHARIA, communautés qui ont pour vocation de prendre les postes clés aux niveaux politique, économique et communicationnel dans les pays hôtes.
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La mise en œuvre de cette stratégie, dit le document, s’appuie sur :
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* les centres culturels,
* les mosquées,
* les écoles islamiques (le document parle explicitement de processus éducatif parallèle ; la plupart de ces centres culturels en EUROPE sont financés par l’État, donc par les contribuables).
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L’élaboration de ce document s’est étendue sur 9 ans, en concertation avec les organisations islamiques européennes.
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Celle-ci ont réclamé à l’OCI car elles constataient qu’il y avait des signes d’assimilation des enfants des migrants dans la société occidentale.
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Les pays musulmans ont donc mis en place un système qui vise à «immuniser» (sic) les enfants contre l’«invasion culturelle». C’est-à-dire que les enfants musulmans qui vont dans une école européenne sont considérés comme subissant une aliénation, comme étant en danger de sortir de l’ISLAM et de s’assimiler.
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Cette stratégie, c’est ce qui se passe chez nous aujourd’hui, chaque fois que se construisent un centre culturel ou une mosquée.
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* Un des objectifs précisés comme fondamentaux et obligatoires, c’est l’enseignement de l’arabe aux populations européennes.
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C’est-à-dire qu’en ce moment nous avons en FRANCE une ministre qui, dans le cadre de ses fonctions ministérielles, agit comme un agent de mise en œuvre de cette stratégie «culturelle» de l’OCI.
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La version anglaise mentionne explicitement comme traduction de «oumma» (dont on nous explique traditionnellement que c’est la communauté des croyants) par le terme de «nation» islamique.
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Il faut savoir que l’ISESCO est un avatar des FRÈRES MUSULMANS.
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Ce document stratégique est une bombe politique. Il signifie que nous avons ouvert les portes à un processus de colonisation.
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[NOTE 1.] PROCESSUS DE BARCELONE OU PARTENARIAT EUROMED
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La CONFÉRENCE DE BARCELONE s’est tenue du 27 au 28 novembre 1995 et réunissait les 15 ministres des Affaires étrangères des États membres de l’UE et des douze pays tiers méditerranéens suivants : ALGÉRIE, CHYPRE, ÉGYPTE, ISRAËL, JORDANIE, LIBAN, MALTE, MAROC, SYRIE, TUNISIE, TURQUIE et AUTORITÉ PALESTINIENNE.
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Cette conférence a posé les fondements d’un processus visant à atteindre un cadre multilatéral de dialogue et de coopération entre l’UE et les pays tiers méditerranéens, qui ont adopté conjointement une déclaration et un programme de travail dont le but était de «développer les ressources humaines», à travers «un volet économique et financier» dans «un espace commun» tout en favorisant «la compréhension entre les cultures et les échanges entre les sociétés civiles».
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Cette conférence est la mise en application d’une fusion entre les pays des deux rives de la MÉDITERRANÉE, débarrassés de frontières, telle que ne cesse d’en faire la promotion le PRÉSIDENT MACRON, qui a promis à plusieurs reprises durant sa campagne électorale et depuis qu’il est élu, de créer les structures et de débloquer les moyens financiers nécessaires. Autant de réalisations qui étaient en gestation dans la RÉSOLUTION DE STRASBOURG en 1975.
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[NOTE 2.] LA RÉSOLUTION DE STRASBOURG
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C’est un document qui fait suite à la guerre syro-égyptienne contre ISRAËL. Le document se focalise principalement sur le retrait d’ISRAËL des territoires occupés et marque son désir de régler le conflit en faisant bon accueil aux demandes arabes sous la pression du chantage de l’OPEP. Mais les signataires en profitent pour faire un accord de main d’œuvre maghrébines et pour faire passer en contre-partie, les demandes des pays arabes en faveur des communautés de travailleurs musulmans, dont les passages significatifs sont :
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«L’ASSOCIATION PARLEMENTAIRE POUR LA COOPÉRATION EURO-ARABE demande aux gouvernements européens de prendre des mesures spéciales pour assurer la libre circulation des travailleurs arabes qui émigrent en EUROPE, ces droits doivent être équivalents à ceux des citoyens nationaux»
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Les pays d’accueil doivent reconnaître «la contribution historique de la culture arabe au développement européen»
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Ils regrettent «la négligence de l’enseignement de la culture arabe et de l’arabe en EUROPE»
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«les gouvernements européens aideront les pays arabes à créer les ressources nécessaires pour que les travailleurs immigrés et leurs familles puissent cultiver leur culture arabe et à leur vie religieuse»
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«Appelle les gouvernements des NEUF à aborder l’aspect culturel du DIALOGUE EURO-ARABE (DEA) dans un esprit constructif en donnant une plus grande priorité à la diffusion de la culture arabe en EUROPE»
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Par le décret de 1976 sur le regroupement familial, VALÉRY GISCARD D’ESTAING a permis aux familles des travailleurs immigrés du MAGHREB de les rejoindre et ainsi de se fixer en FRANCE. Alors que jusque-là les travailleurs maghrébins rejoignaient leur foyer dans leur pays à la fin de leur contrat de travail.
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UNE ALLEMANDE PRÉVIENT LE 10 DÉCEMBRE 2018 SERA SIGNE PAR 192 ÉTATS A MARRAKECH UN PACTE MONDIAL POUR UNE MIGRATION SURE : LES PAYS SIGNATAIRES S'ENGAGENT À ASSURER À L'AVENIR UNE MIGRATION SURE, ORDONNÉE ET RÉGULIÈRE AU PROFIT DE TOUS.
. Dans le même temps, les migrants purement économiques du monde entier devront être légalement assimilés à des réfugiés politiquement persécutés ou de guerre. . Les pays signataires sont convenus qu'à l'avenir, ils ne rejetteront plus les migrants et leur garantiront un total accès aux systèmes sociaux nationaux. . Les migrants sans papier devront se voir délivrer des documents d'identité. . L'accord repose sur l'affirmation présentée comme unee évidence que les migrations seraient une source de richesse d'innovation et de développement durable dans notre monde globalisé. . Bien que le pacte sur les migrations ne soit initialement pas une obligation en regard des droits internationaux mais un cadre de coopération juridiquement contraignante, certains, en tous cas, au sein du gouvernement fédéral, en font une autre lecture[...] |
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30 OCTOBRE 2018 ADOXA.INFO /
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LE 24 OCTOBRE AU PARLEMENT DE STRASBOURG, L’ÉCRIVAIN BERNARD CHUPIN TENAIT UNE CONFÉRENCE SUR L’ISLAMISME.
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Le conférencier a dévoilé, devant une assistance médusée, la stratégie pour la conquête de l’EUROPE théorisée par l’ORGANISATION ISLAMIQUE POUR LES SCIENCES ET LA CULTURE (ISESCO), organisme soutenu par les 57 États de l’ORGANISATION DE LA COOPÉRATION ISLAMIQUE (OCI).
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L’objectif de l’ISESCO est tout simplement de substituer l’islamisme à la civilisation occidentale. Cet organisme, financé par l’ARABIE SAOUDITE et les États islamistes les plus durs, cherche notamment à empêcher les immigrés de s’intégrer dans les sociétés européennes qui les accueillent. «L’assimilation est un crime contre l’Humanité», écrit-il. Dans cette perspective, l’ISESCO encourage la construction de mosquées salafistes et d’écoles coraniques, ainsi que l’utilisation de la langue arabe, langue du CORAN.
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Sur le plan politique, l’ISESCO appelle les islamistes vivant en Europe à faire de la politique et à «siéger dans les parlements nationaux afin de faire prendre en compte les réclamations islamiques» Il s’agit en somme d’essayer de noyauter le pouvoir politique de l’intérieur.
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À terme, son espoir est de réaliser la conversion à l’ISLAM du plus grand nombre possible d’Européens afin de substituer la CHARIA aux libertés publiques.
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1er NOVEMBRE 2018 GATESTONEININSTITUTE.ORG / ISLAMISATION.FR /
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La COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L'HOMME - compétente sur 47 pays européens et dont les décisions sont juridiquement contraignantes pour les 28 États membres de l'UNION EUROPÉENNE -, a légitimé le code islamique du blasphème dans le souci de «préserver la paix religieuse» en EUROPE.
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Cette décision établit un dangereux précédent juridique qui autorise les États européens à restreindre la liberté d'expression si une parole est jugée offensante pour les musulmans et présente un risque pour la paix religieuse.
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«En d'autres termes, mon droit de parler librement est moins important que la protection accordée à la sensibilité religieuse d'autrui» - ELISABETH SABADITSCH-WOLFF.
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Par arrêt rendu le 25 octobre 2018, la COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L'HOMME (CEDH) a conclu que les critiques à l'encontre de MAHOMET, FONDATEUR DE L'ISLAM, étaient constitutives d'une incitation à la haine et ne relevaient pas du droit à la liberté d'expression.
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Avec cet arrêt sans précédent, la COUR DE STRASBOURG - qui a juridiction sur 47 pays européens et dont les décisions sont juridiquement contraignantes pour les 28 États membres de l'UNION EUROPÉENNE – vient de légitimer en EUROPE le CODE ISLAMIQUE DU BLASPHÈME afin de «préserver la paix religieuse».
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L'affaire concerne ELISABETH SABADITSCH-WOLFF, condamnée en AUTRICHE, en première instance et en appel, en 2011, pour «dénigrement de doctrines religieuses» dans le cadre de conférences qu'elle donnait sur les dangers de l'ISLAM fondamentaliste.
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Les ennuis juridiques de SABADITSCH-WOLFF ont commencé en novembre 2009, à l'occasion d'un séminaire en trois volets sur l'ISLAM qui a eu lieu au FREEDOM EDUCATION INSTITUTE, une Fondation politique liée au PARTI AUTRICHIEN DE LA LIBERTÉ, membre aujourd'hui de la coalition gouvernementale autrichienne. Un hebdomadaire de gauche, NEWS, a réussi à introduire un journaliste au sein du séminaire dans le but d'enregistrer secrètement les conférences. Les avocats de la publication ont ensuite transmis les transcriptions au PARQUET DE VIENNE comme preuves qu'un discours de haine se tenait contre l'ISLAM en contravention de l'ARTICLE 283 DU CODE PÉNAL AUTRICHIEN (STRAFGESETZBUCH, STGB).
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Le discours offensant s'est réduit en réalité à un commentaire désinvolte de SABADITSCH-WOLFF contre MAHOMET. Elle l'a traité de pédophile pour avoir épousé AÏCHA alors qu'elle n'était âgée que de six ou sept ans. SABADITSCH-WOLFF a déclaré :
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«56 ans d'un côté et six ans de l'autre ? Si ce n'est pas de la pédophilie, qu'est-ce que c'est alors ?»
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La plupart des HADITHS (recueils de récits concernant les paroles et les actes de MAHOMET) confirment qu'AICHA était prépubère au jour de son mariage et n'avait que neuf ans quand le mariage a été consommé. Le comportement de MAHOMET étant illégal en AUTRICHE, les commentaires de SABADITSCH-WOLFF étaient corrects au point de vue des faits, mais pas forcément sur le plan politique.
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Plusieurs plaintes formelles ont été déposées contre SABADITSCH-WOLFF en septembre 2010 et son procès, présidé par un juge et sans jury, a démarré en novembre. Le 15 février 2011, SABADITSCH-WOLFF a été reconnue coupable de «dénigrement de croyances en une religion reconnue par la loi» conformément à l'ARTICLE 188 DU CODE PÉNAL AUTRICHIEN.
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Le juge a justifié le rapport sexuel de MAHOMET avec AICHA, âgée de neuf ans, expliquant qu'il ne pouvait être de nature pédophile dans la mesure ou MAHOMET est resté marié à AICHA jusqu'à sa mort. Dans cette logique, MAHOMET n'a pas manifesté de désir exclusif pour les filles mineures ; étant donné qu'AICHA avait 18 ans au décès de MAHOMET, il est possible d'en conclure que MAHOMET était aussi attiré par les femmes plus âgées.
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Le juge a condamné SABADITSCH-WOLFF à une amende de 480 euros ou une peine de substitution de 60 jours de prison, ainsi qu'aux dépens.
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Le 20 décembre 2011, LA COUR D'APPEL DE LA PROVINCE DE VIENNE (OBERLANDESGERICHT WIEN) a confirmé le jugement de première instance. Le 11 décembre 2013, la COUR SUPRÊME AUTRICHIENNE a rejeté la tenue d'un nouveau procès.
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SABADITSCH-WOLFF a alors porté l'affaire devant la COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L'HOMME (CEDH), un tribunal supranational qui veille au respect de la CONVENTION EUROPÉENNE DES DROITS DE L'HOMME et arbitre tous les différents relatifs aux violations des droits civils et politiques énoncés dans la CONVENTION.
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Invoquant l'ARTICLE 10 (LIBERTÉ D'EXPRESSION) DE LA CONVENTION, SABADITSCH-WOLFF a plaidé que les tribunaux autrichiens n'avaient pas examiné le contenu de ses déclarations à la lumière de son droit à la liberté d'expression. S'ils l'avaient fait, a-t-elle soutenu, les juges n'auraient pu qualifier ses propos de simple jugement de valeur, alors que ses propos étaient un jugement de valeur fondé sur des faits. Elle a plaidé par ailleurs que sa critique de l'ISLAM avait lieu dans le cadre d'une discussion objective et animée qui contribue au débat public et que cette critique n'avait pas pour but de diffamer le PROPHÈTE DE L'ISLAM. Elle argué enfin que les groupes religieux devaient tolérer les critiques même lorsque celles-ci étaient sévères.
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La CEDH a déclaré que les États sont en droit de restreindre la liberté d'expression «lorsque des déclarations formulées en vertu de l'ARTICLE 10 outrepassent les limites d'un rejet critique, et assurément lorsque ces déclarations sont susceptibles d'inciter à l'intolérance religieuse». La COUR a ajouté :
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«La COUR relève que les juridictions nationales ont expliqué de façon exhaustive en quoi elles considéraient que les déclarations de la requérante étaient susceptibles de provoquer une indignation justifiée ; elles ont indiqué en particulier que ces propos n'avaient pas été tenus d'une manière objective contribuant à un débat d'intérêt général (par exemple sur le mariage d'un enfant), mais pouvaient uniquement être compris comme ayant visé à démontrer que MAHOMET n'était pas digne d'être vénéré. La COUR souscrit à l'avis des tribunaux nationaux selon lequel Mme S. était certainement consciente que ses déclarations reposaient en partie sur des faits inexacts et de nature à susciter l'indignation d'autrui. Les juridictions nationales ont estimé que Mme S. avait subjectivement taxé MAHOMET de pédophilie, y voyant sa préférence sexuelle générale, et qu'elle n'avait pas donné à son auditoire des informations neutres sur le contexte historique, ce qui n'avait pas permis un débat sérieux sur la question. Dès lors, la COUR ne voit pas de raison de s'écarter de la qualification que les tribunaux nationaux ont donnée aux déclarations litigieuses, à savoir celle de jugements de valeur, qualification qu'elles ont fondée sur une analyse détaillée des propos tenus.
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La COUR juge en conclusion qu'en l'espèce les juridictions nationales ont soigneusement mis en balance le droit de la requérante à la liberté d'expression et les droits d'autres personnes à voir protéger leurs convictions religieuses et préserver la paix religieuse dans la société autrichienne.
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La COUR ajoute que, même dans le cadre d'une discussion animée, il n'est pas compatible avec l'ARTICLE 10 DE LA CONVENTION de faire des déclarations accusatrices sous le couvert de l'expression d'une opinion par ailleurs acceptable et de prétendre que cela rend tolérable ces déclarations qui outrepassent les limites admissibles de la liberté d'expression.
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Enfin, dès lors que Mme S. a été condamnée à verser une amende d'un montant modeste et que cette amende se situait dans le bas de l'échelle des peines, la sanction pénale en question ne saurait passer pour disproportionnée. Dans ces conditions, et eu égard au fait que Mme S. a formulé plusieurs déclarations accusatrices, la COUR considère qu'en l'espèce les juridictions autrichiennes n'ont pas excédé leur ample marge d'appréciation lorsqu'elles ont condamné Mme S. pour dénigrement de doctrines religieuses. En conséquence, il n'y a pas eu violation de l'article 10»
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Cette décision constitue bien évidemment un dangereux précédent qui autorise les États européens à restreindre le droit à la liberté d'expression si une parole est jugée offensante pour les musulmans et constitue donc une menace pour la paix religieuse.
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L'OCI fait en effet pression sur les démocraties occidentales pour qu'elles appliquent la résolution 16/18 du CONSEIL DES DROITS DE L'HOMME DES NATIONS UNIES, laquelle invite tous les pays à lutter contre «l'intolérance, les stéréotypes négatifs et la stigmatisation de la religion et des croyances».
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L'adoption de la résolution 16/18, le 24 mars 2011, par le CONSEIL DES DROITS DE L'HOMME DE GENÈVE, a été considérée comme une avancée significative de l'OCI qui depuis longtemps poussait la communauté internationale à reconnaître et adopter le concept juridique de diffamation de l'ISLAM.
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L'ancien SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'OCI, EKMELEDDIN IHSANOGLU, a salué la décision de la CEDH, qui «montre que le manque de respect, les insultes et de haïssables inimitiés n'ont rien à voir avec la liberté d'expression ou les droits de l'homme». Il a ajouté :
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«La lutte contre l'islamophobie et les points de vue que nous exprimons depuis de nombreuses années ont été adoptés et reconnus par la CEDH. Sur tous les points, cette décision est satisfaisante»
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Dans un communiqué, SABADITSCH-WOLFF a critiqué le jugement et espère que le public européen se rendra compte des menaces qui pèsent sur sa liberté d'expression :
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«Jeudi 25 octobre, la CEDH a jugé que la condamnation par un tribunal autrichien de ma perception du mariage du PROPHÈTE MAHOMET et d'une fille de six ans, AISHA, ne portait pas atteinte à ma liberté d'expression.
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«Je n'ai pas eu la courtoisie d'être informée de cette décision. Comme tout le monde, j'ai découvert le jugement dans les médias.
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«La CEDH a estimé qu'il n'y a pas eu violation de l'ARTICLE 10 (LIBERTÉ D'EXPRESSION) DE LA CONVENTION EUROPÉENNE DES DROITS DE L'HOMME et que le droit à la liberté d'expression doit être mis en balance avec le droit à la protection de la sensibilité religieuse d'autrui et ne doit pas attenter à la paix religieuse en AUTRICHE.
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«En d'autres termes, mon droit de parler librement est moins important que la protection de la sensibilité religieuse d'autrui.
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«Ce jugement doit résonner comme un signal pour tous mes concitoyens du continent. Nous devons tous être extrêmement sensibles au fait que le droits des musulmans d'EUROPE à NE PAS être offensés est plus importants que mon droit de femme chrétienne européenne, de parler librement.
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«Je suis fière d'être la femme qui a sonné l'alarme.
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«Je suis également optimiste. Depuis mes séminaires de 2009 en AUTRICHE, un très long chemin a été parcouru.
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«Il y a dix ans, la presse m'avait qualifiée de «prophète confuse» et me comparait à OUSSAMA BEN LADEN. Désormais, on discute de l'islam dans tous les domaines de la vie et les gens prennent progressivement conscience de la réalité d'une culture si opposée à la nôtre.
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«La menace culturelle et politique que l'ISLAM fait peser sur les sociétés occidentales est désormais un sujet de discussion admis. La société européenne et le monde politique ouvrent progressivement les yeux et sont plus conscients que jamais de la nécessité de défendre notre propre culture judéo-chrétienne.
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«Je crois que mes séminaires de 2009 et mes travaux ultérieurs ont contribué à contrecarrer une culture islamique totalement contraire à la nôtre. Je note avec intérêt que, sur plus de 12 heures de séminaire sur l'ISLAM, une seule phrase a été jugée passible de poursuites. Je suppose que le contenu restant est désormais officiellement approuvé par les maîtres de notre ESTABLISHMENT.
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«Il me parait évident que l'éducation publique et un discours sur l'ISLAM peuvent avoir un impact fondamental et de grande portée, même si notre État ou nos autorités supranationales tentent de l'étouffer ou de le faire taire, dans le but d'apaiser une culture aussi étrangère à la nôtre.
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«Le combat continue. Ma voix ne sera pas et ne pourra pas être réduite au silence»
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21 SEPTEMBRE 2014 CCME.ORG.MA
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Institution nationale consultative et de prospective placée auprès de Sa Majesté le Roi MOHAMMED VI, le CONSEIL DE LA COMMUNAUTÉ MAROCAINE À L’ÉTRANGER a été créé par DAHIR en décembre 2007, et constitutionnalisé à l’occasion de la réforme constitutionnelle approuvée par le référendum du 1er juillet 2011.
décembre 2007, et constitutionnalisé à l’occasion de la réforme constitutionnelle approuvée par le référendum du 1er juillet 2011 à l’intérieur et à l’extérieur du MAROC, de renforcer leur contribution au développement économique, social et humain du pays et de consolider les rapports d’amitié et de coopération entre le MAROC et les pays de résidence…..
GROUPE DE TRAVAIL «APPROCHE GENRE ET NOUVELLES GÉNÉRATIONS» .
«Chaque membre [du CONSEIL DE LA COMMUNAUTÉ MAROCAINE] devra veiller à la diffusion de la langue arabe et de l'ISLAM» NOUVELLES DU SAHARA /
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MEMBRES :
. Amina ENNCEIRI, présidente Mina RHOUCH, rapporteure Najat BELKACEM Nadia BOURAS Souad TALSI .
28 AVRIL 2012 LIBÉRATION
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* Contactée par l’AFP, Mme VALLAUD-BELKACEM a indiqué que si elle avait bien été membre de cette instance, ce n’était plus le cas.
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.«J’en ai fait partie de décembre 2007 à décembre 2011 : un engagement volontaire et bénévole au service de l’intérêt général et du dialogue entre les cultures, un parmi tant d’autres. Pourquoi le découvrir maintenant à 7 jours d’une élection présidentielle ?», s’interroge-t-elle.
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L'APPRENTISSAGE DE L'ARABE DANS LES ÉCOLES EST UNE REVENDICATION DE L’ORGANISATION DE LA COOPÉRATION ISLAMIQUE (OCI)
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13 SEPTEMBRE 2018 VALEURS ACTUELLES /
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JEAN-FRÉDÉRIC POISSON, PRÉSIDENT DU PARTI CHRÉTIEN DÉMOCRATE (PCD) et ancien député, explique dans une tribune publiée par VALEURS ACTUELLES en quoi la volonté de JEAN-MICHEL BLANQUER de vouloir généraliser l'enseignement de la langue arabe dans les écoles primaires est un contresens politique total :
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[...] Troisièmement, et ceci est lié au point précédent, l’apprentissage de la langue arabe dans les écoles primaires occidentales est une revendication officielle de l’ORGANISATION DE LA COOPÉRATION ISLAMIQUE O.C.I. (en quelque sorte «l’ONU musulman»). Il est revendiqué par ses Etats membres comme un moyen objectif de redorer le blason de l’ISLAM en OCCIDENT, et de renforcer l’attachement des musulmans à la communauté des croyants. Ignorer cette dimension de politique internationale des états arabes musulmans n’est pas seulement une preuve incroyable d’ignorance, c’est une faute politique grave ! De plus, c’est une manière parfaitement efficace de favoriser la politique de ses adversaires : chacun trouvera sur ce point le qualificatif qui convient. [...]
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18 JANVIER 2017 VALEURS ACTUELLES / LE FIGARO
. Lundi 16 janvier, JACK LANG, directeur de l’INSTITUT DU MONDE ARABE (créé en 1987 ), a dévoilé une plaque de remerciement à destination de l’ARABIE SAOUDITE pour le don de 5 millions d’euros que le royaume a fait pour l’INSTITUT. .
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L'UNION DES ORGANISATION ISLAMIQUES DE FRANCE (U.O.I.F.), représentant de l'U.O.I.E en FRANCE, en association avec des penseurs, des chercheurs, des théologiens..., a pris l'initiative de créer en 1990 une association régie par la loi 1901 nommée «INSTITUT EUROPÉEN DES SCIENCES HUMAINES» (I.E.S.H.).
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AL QUARADAWI est un psychopathe qui prescrit aux fidèles de tuer les apostats, les homosexuels, et de finir l’extermination des Juifs commencée par HITLER «par la main des musulmans si Allah le veut». Il se vante de cela sur la télévision qatari AL JAZEERA (VOIR LE DOSSIER).
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Le site de l’institut de l’UOIF présente le CONSEIL DE LA FATWA présidé par QARADAWI comme son «référent» en jurisprudence, comprendre en charia. Il n’y a pas longtemps, le cheikh égyptien était encore le «conseiller scientifique» de l’IESH, la science du meurtre islamique mériterait donc un enseignement supérieur.
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9 JUIN 2018 ISLAMISATION.FR /
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ENNASRI NABIL, PRÉSIDENT DU COLLECTIF DES MUSULMANS DE FRANCE (CMF), proche de TARIQ RAMADAN, ÉCRIVAIT SUR HAVRE DE SAVOIR le 28 mars 2012 :
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«Pourquoi parle-t-on de MERAH comme s’il avait effectivement été le responsable de tous ces meurtres ? Que je sache, la justice n’a pas encore rendu son verdict ? En parlant d’«assassin», de «monstre» et de «tueur», comment les plus hautes autorités de l’Etat peuvent se permettre à ce point de fouler aux pieds la règle élémentaire de la présomption d’innocence ? Parce qu’en l’occurrence le présumé avait tout pour être désigné comme le coupable idéal ?»
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NABILA ENNASRI est un ancien élève de l’UOIF dans son INSTITUT IESH, son école d’imâms inaugurée par QARADAWI en 1992 . Nous avions parlé de lui en 2009 dans un article. Nous écrivions : «Suite à la relaxe d’un gendarme ayant tué un cambrioleur maghrébin en délit de fuite, le 1er octobre 2009, par la COUR D’ASSISE DU GARD, (alors qu’il était encore élève de l’école d’imams de l’UOIF) NABIL ENNASRI PUBLIAIT UN TEXTE ENFLAMMÉ sur OUMMA.COM, premier site musulman de France intitulé «A quand les prochaines émeutes en FRANCE ?» SON ARTICLE se termine par cette phrase :
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«Qu’on ne s’étonne pas alors si une autre flambée de violences, plus dure et plus violente, risque d’embraser à nouveau les banlieues françaises. En tout cas, vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous aura pas prévenu…»
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4 AVRIL 2015 JDD
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C'est le message de DALIL BOUBAKEUR prononcé samedi au BOURGET à l'occasion du rassemblement annuel des musulmans de FRANCE afin de permettre aux «7 millions» de musulmans présents en FRANCE de disposer d'un lieu de culte :
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«Nous avons 2 200 mosquées. Il en faut le double d'ici deux ans (...) Il y a beaucoup de salles de prières, de mosquées inachevées, et il y a beaucoup de mosquées qui ne sont pas construites, je pense qu'il faut le double de mosquées»
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«Il faut que le nombre de mosquées reflète le nombre de musulmans (...) Nous avons le droit de construire des mosquées, (le droit) que les maires ne s'y opposent pas. Il y a de moins en moins de maires qui s'opposent systématiquement à la construction de mosquées»
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De son côté, le FN a immédiatement réagi et marqué SON OPPOSITION :
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«(...) Cette annonce, aux allures de provocation, apparaît comme particulièrement irresponsable. Qui est Monsieur BOUBAKEUR pour faire une proposition aussi saugrenue et dangereuse ?
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En effet, comme ne cesse de le dénoncer le FRONT NATIONAL, le plus grand flou plane aujourd’hui sur l’origine et le financement des projets de mosquées en FRANCE. L’aide financière apportée par certains États étrangers, tels que l’ARABIE-SAOUDITE ou le QATAR, qui entretiennent des liens avec les pires mouvements djihadistes du monde, constitue une menace certaine pour la sécurité nationale.
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En outre, le développement particulièrement inquiétant des filières djihadistes en FRANCE, utilisant les mosquées comme points de recrutements, et la faiblesse des moyens de l’État pour les contrôler, obligent à repenser totalement les projets de nouvelles mosquées dans notre pays.
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Pour toutes ces raisons, et parce que l’explosion du communautarisme multiplie les zones de tension sur le territoire, le FRONT NATIONAL rappelle sa proposition de gel de tous les projets de mosquées actuellement en cours, dans l’attente d’une enquête nationale sur leur financement.
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Il en va d’une question de sécurité nationale mais aussi de la survie de notre pacte républicain, que l’islamisme et le communautarisme menacent plus que jamais».
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8 AVRIL 2015 MAGHREBNAUTE
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Le gouvernement français a répondu par la positive au RECTEUR DE LA GRANDE MOSQUÉE DE PARIS qui a demandé récemment la construction d'au moins 2 000 nouveaux lieux de culte musulman en FRANCE. L'information, donnée «furtivement» par FRANCE 2, hier soir, montre déjà une certaine crispation, en ce sens qu'aucun média français ne l'a relayée.
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Or, la proposition fait débat dans certains médias parisiens, et des sondages sont lancés pour en évaluer les échos au sein de l’opinion publique française, avec comme question : «Faut-il doubler le nombre de mosquées en France ?»
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Le RECTEUR DE LA MOSQUÉE DE PARIS, DALIL BOUBAKEUR, avait proposé de doubler le nombre de mosquées en FRANCE, d’ici deux ans, afin de lutter contre ce qu’il appelle l’«islam de caves» contrôlé par les salafistes et qui est, pour une grande partie, à l’origine de l’embrigadement d’une partie de la jeunesse issue de la communauté musulmane établie dans ce pays.
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Pour le président du CONSEIL FRANÇAIS DU CULTE MUSULMAN (CFCM), qui s’exprimait samedi lors du RASSEMBLEMENT ANNUEL DES MUSULMANS DE FRANCE, organisé par l'UNION DES ORGANISATIONS ISLAMIQUES DE FRANCE (UOIF) AU BOURGET, les 2 200 mosquées actuelles «ne suffisent pas» pour satisfaire les besoins d’une communauté forte de plus de 5 millions d’âmes.
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Après cette réponse diligente du gouvernement, des questions restent posées. La première et la plus lancinante : qui assurera le financement d’un tel projet ? Parce que, d’abord, la construction ou le parachèvement de 2 200 autres lieux de culte nécessite un effort d’investissement que l’État (laïc) français ne peut assumer.
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Or, dans le cas où les autorités accepteraient de confier le projet à des opérateurs privés ou à des initiatives communautaires, il y a le risque d’intrusion des idéologies extrémistes. Chose qui pourra alors produire l’effet inverse et doubler, pour ainsi dire, le nombre de djihadistes potentiels dans l’HEXAGONE.
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Dans ce cas, il restera la possibilité de faire appel, sous couvert de coopération, à des pays comme l’ALGÉRIE ou le MAROC, pays dont sont originaires la majorité des citoyens issus de cette communauté. La FRANCE a déjà sollicité l’ALGÉRIE pour la formation des imams en FRANCE [ET LE MAROC].
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Le plus dangereux serait alors que la FRANCE sollicite l’aide des pays comme l’ARABIE SAOUDITE ou le QATAR, lesquels contrôlent déjà la quasi-totalité des réseaux islamistes dans le monde, dont ceux qui pullulent en FRANCE, et qui sont considérés comme les deux principales matrices du terrorisme islamiste dans le monde, même si PARIS demeure, pour les affaires du MOYEN-ORIENT, un allié privilégié de RIYAD et de DOHA.
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L’autre question que suscitera un éventuel acquiescement du gouvernement à cette proposition du RECTEUR DE LA MOSQUÉE DE PARIS : comment réagiront les partis de droite, UMP en tête, et ceux de l’extrême-droite comme le FRONT NATIONAL ?
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Après une campagne électorale très marquée par des discours ouvertement anti musulmans, électoralement toujours porteurs, ces deux partis de l’opposition vont s’emparer du sujet pour aiguiser davantage leurs attaques contre la majorité accusée de «laxisme» face à la montée de la violence terroriste et d’«indulgence» à l’égard de la communauté issue de l’immigration.
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En FRANCE, ils seraient en tout 35 000 enfants à fréquenter le 500 écoles coraniques, d’après les estimations du rapport de l’INSTITUT D’ÉTUDES DE L’ISLAM ET DES SOCIÉTÉS DU MONDE MUSULMAN. (IISMM) et de l’ÉCOLE DES HAUTES ÉTUDES EN SCIENCES SOCIALES (EHESS) sur l’enseignement de l’ISLAM. EHESS JUILLET 2010
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22:06 Publié dans ACCORDS CONJOINTS 1973 SUR L'ISLAMISATION DE L'EUR | Lien permanent | Commentaires (0)