10/02/2019
LES GILETS JAUNES ACTE XII 2 FÉVRIER 2019
LES GILETS JAUNES ACTE XII
2 FÉVRIER 2019
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29 JANVIER 2019 JDD /
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APRÈS S'ÊTRE BROUILLÉS, LES TROIS LEADERS HISTORIQUES DES GILETS JAUNES MAXIME NICOLLE, PRISCILLIA LUDOSKY ET ERIC DROUET VONT DE NOUVEAU MANIFESTER ENSEMBLE SAMEDI.
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Après la division, la réconciliation. PRISCILLIA LUDOSKY, MAXIME NICOLLE et ERIC DROUET, les figures les plus connues des Gilets jaunes, vont, de nouveau manifester ensemble samedi à PARIS. C'est ce qu'a annoncé MAXIME NICOLLE alias FLY RIDER dans un live FACEBOOK diffusé lundi soir. «Il y aura moi, ERIC et PRISCILLIA sur PARIS samedi», a-t-il indiqué lundi soir. Les trois personnalités avaient pourtant fait étalage de leurs divergences mi-janvier sur les réseaux sociaux. PRISCILLIA LUDOSKY et MAXIME NICOLLE poussaient, en effet, pour des mobilisations dans les grandes villes de province tandis qu'Eric Drouet voulait rester à Paris.
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La rupture a été rendue publique le 14 janvier quand PRISCILLIA LUDOSKY a publié un texte très accusateur à l'encontre d'ERIC DROUET : «Depuis des semaines (témoignages à l'appui) nous subissons son comportement, nous recevons ses menaces et aujourd'hui je suis personnellement attaquée et ça je ne l'accepte pas. [...] Je suis enfin libre de pouvoir dire que je ne travaille plus avec ÉRIC DROUET depuis des semaines en raison de son comportement et je compte quand tout sera terminé expliquer tout ce qu'il a pu faire pour nuire au mouvement», assurait-elle.
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PRISCILLIA LUDOSKY ET ERIC DROUET SE SONT RABIBOCHÉS
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Aujourd'hui, tout semble pourtant oublié. «Ils se sont revus pour discuter parce qu'il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis», a résumé lundi MAXIME NICOLLE avec son style caractéristique. Une information qu'a également confirmée ERIC DROUET le même jour sur YOUTUBE : «Ce week-end, j'ai pu parler à PRISCILLIA. Elle m'a demandé si je lui en voulais par rapport à ce qu'elle avait fait. Je lui ai dit que non. Parce qu'il faut qu'on avance et qu'on continue sur notre première pensée : le mouvement. Il faut qu'on arrête de se séparer parce qu'on n'a pas les mêmes idées»
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Le rassemblement parisien, qui doit être dédié aux nombreux blessés depuis le début du mouvement, aura lieu une semaine après l'incident place de la BASTILLE qui va peut être faire perdre un oeil à JÉRÔME RODRIGUES, un des hérauts des GILETS JAUNES. Selon MAXIME NICOLLE, c'est cet événement qui pousse les GILETS JAUNES à venir de nouveau manifester dans la capitale : «Tout le monde veut aller à PARIS ce week-end en réponse à ce qu'il s'est passé, en hommage à JÉRÔME. Et pour montrer que personne n'a peur. On sera mobilisé plus que jamais. De façon pacifique, forcément»
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«ON SERA LÀ TOUS LES WEEK-END», DIT MAXIME NICOLLE
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MAXIME NICOLLE, parfois sceptique sur les manifestations parisiennes, a, cette fois, changé d'avis. «Je vous rappelle que quand on se rassemble [à PARIS] : la capitale est bloquée. Et quand elle est bloquée, ça fait perdre des milliards à des riches, aux grosses sociétés, au magasins de fringue et de parfums». Mi-janvier, il expliquait pourtant qu'«il n'y a pas que PARIS». "Il y a plein de gens qui n'ont pas les moyens de monter dans la capitale. Il ne faut pas donner trop d'importance à PARIS", affirmait-il alors.
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ERIC DROUET a également poussé ses partisans à venir samedi à PARIS pour ce rassemblement : «Toutes les personnes iront sur le même événement. Il faut que tout soit raccord pour qu'on ait le maximum de monde. Il faut que samedi et le samedi prochain, toute la FRANCE monte à PARIS et qu'on montre [au gouvernement] le nombre que l'on est. C'est la seule chose à faire» Les chiffres de la mobilisation de samedi seront forcément très scrutés par les autorités. MAXIME NICOLLE, lui, promet qu'il est prêt à poursuivre les rassemblement ad vitam aeternam : «[Le gouvernement] doit comprendre qu'on ne lâchera pas et qu'on sera là tous les week-end», a-t-il encore assuré lundi.
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La mobilisation des GILETS JAUNES ne faiblit pas. Un nouvel acte, nommé «ACTE XII L’IMPACT !» est annoncé pour le samedi 2 février, après l’acte XI qui a réuni plusieurs dizaines de milliers de personnes dans toute la FRANCE.
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Une manifestation qui mettra en avant les blessés des dernières manifestations. Elle entend dénoncer les violences policières dont les GILETS JAUNES ont fait l’objet ces dernières semaines.
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«Une centaine de blessés graves dont la vie a basculé, 4 personnes dont la main a été arrachée à cause de grenades avec TNT, 18 personnes qui ont perdu un œil ou l’usage d’un œil suite à des tirs de FLASHBALL…Nous invitons TOUS LES BLESSÉS qui le peuvent à nous rejoindre ce jour là», est-il indiqué. Ceux-ci seront placés «EN DÉBUT DE CORTÈGE ET PROTÉGÉS PAR UN CORDON DE BÉNÉVOLES» EXPLIQUENT LES ORGANISATEURS.
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Par ailleurs, tous les autres manifestants sont invités à «venir en se mettant des pansements sur l’œil, des bandages, de mettre du rouge sur les GILETS JAUNES en guise de sang…» Samedi à PARIS, JÉRÔME RODRIGUES a été gravement blessé à l’œil, alors qu’il filmait la manifestation.
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Les organisateurs appellent les manifestants à se comporter pacifiquement, VIA LA PAGE DE L’ÉVÈNEMENT FACEBOOK LANCÉE POUR L’OCCASION.
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Pour la BRETAGNE, il semblerait que ce soit MORLAIX qui regrouperait la mobilisation.
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31 JANVIER 2019 FRANCEINTER /
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Le DOCTEUR LAURENT THINES, PROFESSEUR DE NEUROCHIRURGIE AU CHU DE BESANÇON, a lancé une pétition pour un moratoire sur l'utilisation des armes sublétales afin d'alerter «sur leur dangerosité extrême». Il nous explique ce qui l'a poussé à agir.
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Au terme d'une opération chirurgicale qui a duré six heures, le neurologue prend le temps d'expliquer sa démarche au micro de FRANCE INTER : «Je ne suis pas un politique mais avant tout un médecin et un citoyen». Il a beaucoup réfléchi avant de lancer cette pétition pour la suspension des armes sublétales LBD40, mais aussi les grenades de désencerclement. «J'ai été très choqué, en tant que neurochirurgien, de la gravité des lésions qui étaient infligées à des personnes qui, dans beaucoup de cas, manifestaient de façon pacifique»
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Sur la ville de BESANÇON, il n'y a pas eu de blessés graves liées aux LBD (lanceurs de balles de défense). Mais le médecin a eu accès et a pu consulter avec attention des rapports sur des blessures infligées à des manifestants, transmis par des confrères d'autres régions. «J'ai pu aussi consulter les images des scanners anonymisés de certains patients. On retrouve à la fois des lésions externes, des plaies du cuir chevelu, des contusions ou, chez certains patients, la perte d'un œil et des lésions internes, du même type que celles que l'on trouve sur des scènes de guerre ou sur des accidents graves de la route»
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J'ai vu des scanners de personnes qui avaient le crâne fracassé, avec des hématomes intracrâniens et des séquelles neurologiques. C'est tout simplement inacceptable.
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Le médecin évoque la centaine de blessés graves et les 17 personnes ayant perdu un œil, un constat qui lui semble tout aussi intolérable. Dans sa pétition, il évoque le cas d'une jeune femme qui, lors de sa première manifestation, a perdu un œil. Et la nécessité pour lui d'agir en tant que médecin. «Je veux porter la paroles des soignants, car je suis assez surpris qu'ils ne s'élèvent pas contre les violences alors qu'ils sont en première ligne pour gérer ces blessés graves»
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65 000 SIGNATAIRES POUR LA PÉTITION DEMANDANT UN MORATOIRE SUR LES ARMES SUBLÉTALES
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Parmi eux, des médecins et d’autres membres du personnel paramédical. Tous remercient le neurochirurgien d'avoir osé prendre la parole sur ce sujet. «J'ai pesé le pour et le contre car ce n'est pas une démarche anodine. Mais on ne peut pas rester dans l'inaction. C'est intolérable médicalement et humainement»
Le neurologue parle d'une dérive autoritaire lors des manifestations des GILETS JAUNES. Il n'hésite pas à évoquer une volonté politique de faire peur aux manifestants : pour lui, le MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR veut dissuader les gens d'aller manifester.
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«On demande l’arrêt immédiat de l'utilisation de ces armes, pour que l'on statue sur leur dangerosité. Il faut interdire ces armes lors d'opérations de maintien de l'ordre, ou que l'on encadre de façon beaucoup plus stricte leur utilisation. Cela peut passer par le respect des consignes. Ce que l'on voit dans les statistiques actuelles, c'est que la moitié des personnes sont blessées à la tête alors qu'il est interdit de la viser !»
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QUEL MOYEN DE SUBSTITUTION ?
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Le DOCTEUR LARBI BENALI, MAÎTRE DE CONFÉRENCE À L'UNIVERSITÉ DE BORDEAUX, spécialisé en médecine légale et EXPERT AUPRÈS DE LA COUR D'APPEL DE BORDEAUX, n'a pas signé la pétition mais il estime qu'il s'agit d'une très bonne initiative : «Cela va peut-être permettre d'ouvrir un vrai débat au sujet de ces armes. Par exemple, on peut s'interroger sur les moyens qui sont en notre possession pour se substituer à ces armes»
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Le médecin évoque le cas de deux personnes grièvement blessées à l’œil, dont il a pu constater directement l'étendue des lésions. «C'est l’utilisation de ces armes et l’encadrement des forces de l’ordre qui doivent être remises en question. Il faut former les forces de l'ordre, les sensibiliser aux dangers de ce genre d'armes. Encore trop souvent, les policiers et les gendarmes qui utilisent ces LBD n'ont pas réellement la connaissance des conséquences d'un tir qui ne serait pas fait à une distance réglementaire»
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En 2016, LARBI BÉNALI avait participé à une étude sur la dangerosité des FLASHBALL (remplacés depuis par les LBD40). Cet ARTICLE SCIENTIFIQUE, paru dans la revue de médecine légale, n'avait pas provoqué de débat au sein des pouvoirs publics. Depuis d'autres études, notamment internationales, ont pointé la dangerosité de ces armes sans qu'elles soient interdites pour autant.
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Les médecins n'avaient quand à eux jamais posé le problème publiquement. «Il faut faire remonter les cas de blessures provoquées par les LBD que nous rencontrons. C'est notre devoir sur le plan scientifique et aussi en tant que citoyen. Ces armes dites sublétales peuvent générer la mort : il faut avoir conscience de ce risque», insite LARBI BÉNALI.
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3 FÉVRIER 2019 SPUTNIK /
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59 avocats ont confié dans une tribune publiée sur FRANCEINFO les difficultés auxquelles ils devaient faire face en exerçant correctement les droits de la défense dans les dossiers de nombreux GILETS JAUNES.
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Dans une tribune publiée le 2 février, sur franceinfo, 59 avocats mettent en garde contre «les dérives» qu'ils ont pu constater dans le traitement des dossiers des GILETS JAUNES depuis le début du mouvement et pointent du doigt des «atteintes aux droits individuels et aux libertés publiques dans notre pays».
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«Par la présente tribune, nous, avocats signataires, entendons alerter quant au danger que constituent ces procédures faites souvent dans l'urgence et visant principalement à gonfler, souvent de manière artificielle, des chiffres qui seront annoncés par le MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR», indiquent-ils en guise de préambule.
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Ainsi, les avocats ont pu constater «la violation délibérée des droits de manifestants par des expulsions et délogements totalement illicites et en ayant recours à la force publique».
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«Pire encore, tant dans le cadre des auditions libres que durant les gardes à vue, nombre de GILETS JAUNES indiquent que des enquêteurs les ont dissuadés du recours à l'assistance d'un avocat en arguant que si l'avocat intervenait, ils seraient remis en liberté beaucoup plus tardivement», fustigent-ils.
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Compte tenu de la rapidité du traitement de tels dossiers, les avocats y voient entre autres «le désir des pouvoirs exécutifs de donner une réponse forte».
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D'autre part, poursuivent-ils, «les procédures relatives à de présumées violences policières ne font pas l'objet de la même célérité d'enquête ou de poursuites».
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«Enfin, à l'instar de plusieurs parlementaires, nous sommes particulièrement inquiets quant au projet de loi actuellement en discussion dit «anti-casseur» qui nous semble contraire à nombre de principes fondamentaux», concluent-ils.
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Afin de rendre hommage aux manifestants blessés, des GILETS JAUNES se sont rassemblés ce samedi 2 février pour leur acte 12 partout en France. À l'approche du douzième weekend de mobilisation, le MINISTRE DE L'INTÉRIEUR CHRISTOPHE CASTANER Avait promis un dispositif de sécurité «puissant» avec près de 80.000 unités mobiles déployées sur l'ensemble du territoire.
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29 JANVIER 2019 LIBERATION /
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Le gouvernement français est à nouveau pointé pour la répression du mouvement des gilets jaunes et, cette fois, l’avertissement vient du Conseil de l’Europe, chargé de promouvoir les droits de l’homme dans ses 47 Etats membres. Ce mardi, et avant la publication d’un rapport complet, sa commissaire aux droits de l’homme, DUNJA MIJATOVIĆ, DIT AINSI «s’inquiéter en particulier du grand nombre de personnes blessées, certaines très gravement, dans les manifestations ou en marge de celles-ci, notamment par des projectiles d’armes dites de défense intermédiaire telles que le lanceur de balles de défense». Et ce, même si elle «constate certes que les forces de l’ordre, parmi lesquelles de nombreux blessés sont aussi à déplorer, opèrent dans des conditions difficiles, notamment liées à l’hostilité de certains manifestants, mais aussi à une surcharge de travail et, pour certaines unités engagées, à une formation insuffisante aux techniques de maintien de l’ordre et à l’usage de certaines armes.»
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Elle pointe également les dangers de la LOI «ANTICASSEURS» EN DISCUSSION À L’ASSEMBLÉE NATIONALE, se disant «particulièrement préoccupée par la disposition visant à interdire préventivement, par une décision administrative et sans contrôle préalable d’un juge, de prendre part à une manifestation», ainsi que par celle «érigeant en délit la dissimulation volontaire partielle ou totale du visage au sein ou aux abords d’une manifestation».
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29 JANVIER 2019 RT / NICE MATIN /
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Des manifestants azuréens ayant visiblement fait les fonds de tiroir pour payer leur amende de 350 euros se sont rendus au CENTRE DES IMPÔTS DE NICE avec une brouette de centimes. Mais ils ont été bloqués à l'entrée pour des raisons de «sécurité».
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Le matin du 29 janvier, six GILETS JAUNES originaires de la CÔTE D'AZUR se sont rendus au CENTRE DES IMPÔTS DE NICE afin de payer leur amende de 350 euros. Pour ce faire, ils étaient venus équipés d'une brouette contenant l'intégralité de la somme... en pièces rouges.
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Les 350 euros, récoltés petit à petit auprès des sympathisants du mouvement social, correspondaient au paiement de deux amendes pour outrage à agent datant du 1er décembre.
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Malheureusement pour les manifestants, la trésorerie des Finances publiques est restée fermée pour des «raisons de sécurité» et a finalement ouvert avec deux heures de retard, selon le journal régional NICE-MATIN. La raison invoquée par le centre des impôts : «Un risque d’envahissement ou de blocage du service.»
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La brouette n'ayant pu être déposée, les manifestants devraient retenter leur coup au centre des finances dès le 30 janvier, selon le quotidien.
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25 JANVIER 2019 LA NOUVELLE REPUBLIQUE / 20 MINUTES /
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LES MANIFESTANTS AFFIRMENT QUE LEUR ACTION «N’EST PAS UN PUTSCH»…
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Aux grands maux, les grands remèdes ? Dans l’INDRE, des «GILETS JAUNES» se sont rendus mercredi soir devant la BASE MILITAIRE DE NEUVY-PAILLOUX, dans l'INDRE, pour réclamer l’intervention de l’armée dans le but de «neutraliser ou mettre en fuite» EMMANUEL MACRON et son gouvernement, rapporte LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE.
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La poignée de manifestants présents espérait ainsi remettre une lettre au LIEUTENANT-COLONEL DAVID BRION. La lettre, de plus de deux pages, signée par trois «GILETS JAUNES», a été diffusée sur TWITTER. «Nous réclamons le secours de l’armée. Nous souhaitons que nos soldats et officiers, agissent au mieux de leurs possibilités, pour neutraliser ou mettre en fuite EMMANUEL MACRON et son actuel gouvernement…», expliquent les «GILETS JAUNES» dans la lettre.
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«UNE RÉELLE TRAHISON À LA SOUVERAINETÉ DU PEUPLE FRANÇAIS»
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Ils listent également plusieurs faits de guerre et faits économiques qui constituent «une réelle trahison à la Souveraineté du peuple français, à l’indépendance de ses armées et aux valeurs de paix prônées par la RÉPUBLIQUE».
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29 JANVIER 2019 RT /
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[...] Quelques manifestants se sont en effet rendus devant la représentation vénézuélienne à PARIS (après avoir fait de même devant l'AMBASSADE D'ISLANDE), afin de faire entendre une revendication symbolique :
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«Nous demandons l'aide officielle du gouvernement MADURO, nous demandons l'aide officielle du VENEZUELA, pour chasser les banksters français.»
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«Nous condamnons monsieur MACRON, qui soutient une personne non-élue», explique l'un des GILETS JAUNES, en référence à l'ultimatum adressé par le PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE à son homologue vénézuélien. EMMANUEL MACROn a en effet donné huit jours à NICOLAS MADURO pour organiser des élections, sans quoi il reconnaîtrait l'opposant JUAN GUAIDO, autoproclamé «président par intérim», comme dirigeant légitime du pays. [...]
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13:49 Publié dans LES GILETS JAUNES ACTE XII 2 FÉVRIER 2019 | Lien permanent | Commentaires (0)
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