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25/02/2016

LES VIRUS...RESPONSABLES ET COUPABLES

LES VIRUS
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QUI EST RESPONSABLE ? QUI EST COUPABLE ?
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RÉSUMÉ LES VIRUS QUI EST RESPONSABLE ? QUI EST COUPABLE ?
VIRUS VENDUS EN LIGNE SUR INTERNET
VIRUS ZIKA
* Quel est le responsable ? moustique et virus Zika ou pesticide ? 3 Février 2016
VIRUS EBOLA
* Les laboratoires US à l'origine de l'épidémie d'Ebola 30 Octobre 2014
LES ORIGINES DU SIDA ARTE 2006
«D'AUTRES SCIENTIFIQUES APPRENTIS SORCIERS»
* Des scientifiques américains ont mis au point un nouveau virus 100% mortel 7 Mars 2014
* Des scientifiques vont créer des formes plus dangereuses de H7N9 7 Août 2013
* Un virus OGM mutant de Grippe Aviaire créé en Chine inquiète les experts 3 Mai 2013
* Un supervirus mortel créé à partir de celui de la Grippe Aviaire 29 Novembre 2011
VIRUS ÉGARÉS
* Crise à l'Institut Pasteur : incidents en série avec de dangereux virus 9 Mars 2017
* BActérie mortelle retrouvée hors d'un laboratoire 2 Mars 2015
* Des fioles contenant le virus de la Variole retrouvées par hasard dans un local de rangement 8 Juillet 2014
* SRAS : l'Institut Pasteur à Paris a perdu des tubes contenant du virus, mais pas de danger 13 Avril 2014
* Une fiole contenant le Virus Guanarito disparaît d'un laboratoire américain 26 Mars 2013
* Les Etats-Unis ont perdu 9200 fioles contenant des agents pathogènes comme le Virus Ebola, L’Anthrax, des Toxines Botuliques… 18 Juin 2009
VACCINS
* Enquête sur les vaccins 29 Février 2016
* Des enfants récemment vaccinés répandent la coqueluche partout ! 3 Mars 2016
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VIRUS VENDUS EN LIGNE SUR INTERNET
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le VIRUS ZIKA qui peut aisément finir dans le panier de certains EST DISPONIBLE DIRECTEMENT SUR INTERNET POUR LA MODIQUE SOMME DE 430$ ? Le prix pouvant monter à 516$
POUR S’ACHETER SON PETIT VIRUS, C’EST SUR ATCC.ORG
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La plate-forme ATCC est un organisme mondial fournissant moyennant finance bien entendu tout ce qui est ressources et matériaux biologiques, qui fait également dans l’acquisition, l’authentification, la production, la conservation, le développement et la distribution de micro-organismes de référence standards et des lignées cellulaires.
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D’autres informations sur cet organisme et son histoire étant disponibles sur LEUR SITE INTERNET (ICI TRADUIT EN FRANÇAIS).
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Dans la première illustration de cet article, vous avez une capture d’écran de la page vendant le virus en ligne avec plusieurs onglets, dont l’onglet «History». Cet onglet affiche le nom de la fondation qui a déposé le brevet : la J. CASALS, ROCKEFELLER FOUNDATION.
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https://lh3.googleusercontent.com/CfgxDEYRZ3JppLJZuHjylq0XGGWkzO5FOPctIGLBqq8hbOtUW75FyHa6yk8lkpPMHfapPPGxlstkZJHNRKwGCXCG5DcAzvLfSSxO5A71J-n80fb2HJWL2FPSwLQGGDmav7jMcEbobCWM4qRZ5YmtscwqGB3jDpaXXFptMIsICB0ThlMPNLo4ib449nw2I2bDkNgjySB15BgJ0Q3jpILPMCnWvuI9GEZWCa-HTKzXXvx5EfLCT_i9sNCyqLvnQnCkkaBHXKrtX3Xb8Iq9Qdfq2wlg5uzLThPtZ-z4IEqD5gdAJHg2_TBlMQA_cSV7M8eqDg4MQAe0B8kNeFfYUMYBiXDJEhjinVewPS62OSKHpNvsqiYkHUcDiRy12FrDzlWw2c3-8WuSRUgQ0mJo5sPeA_iMXVhRbSm_WIWeQEgil5KSHm5rzcVfQKmmFuS5bOGHVhySF3JEiZIF9sGaMBLdeqxVPbSW77sKT1eC0UZwLp4eI37WxZvPHwadMD1g33yiwBx8fbQPZ-kb17656U-oEhF2-FdQ6eacAVcN_ylIl_AXPIrpxEca6IyIzDvt4bNYaLTHjhCGEdJ0-Ji4rhv08oOt0wFyeZCYelR6vL37zkXzmIndk3XDYA=w280-h184-no
MOUSTIQUES RESPONSABLES ?
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VIRUS ZIKA
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ZIKA 2 FÉVRIER 2016

ZIKA 16 FÉVRIER 2016
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MICROCÉPHALIE
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QUEL EST LE RESPONSABLE ? MOUSTIQUE ET VIRUS ZIKA OU PESTICIDE ?

LES PESTICIDES HERBICIDES NOUS EMPOISONNENT 18 FÉVRIER 2016

CASH INVESTIGATION PRODUITS CHIMIQUES NOS ENFANTS EN DANGER 2 FÉVRIER 2016
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3 FÉVRIER 2016 LES MOUTONS ENRAGES
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Nous prendrait-on de nouveau pour des billes avec LE VIRUS ZIKA QUI MAINTENANT TOUCHE 35 PAYS ? Car si l’ensemble des médias nous parlent de ce nouveau virus et de ses conséquences sur les bébés, ils ne nous parlent ni DE L’ORIGINE SUSPECTÉE DE CELUI-CI, ni de ces chiffres qui montrent que le VIRUS ZIKA seul ne peut être reconnu comme étant responsable de l’ensemble des cas de microcéphalies, bien au contraire, les cas s’étant déjà multipliés avant même l’apparition du VIRUS ZIKA au BRÉSIL.
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Pointés dans l’article, les pesticides, mais en fait, il faudrait peut-être également s’intéresser au passage à la rubéole congénitale. En 2008 a commencé UNE CAMPAGNE COLOSSALE DANS LE DOMAINE, l’une des conséquences de cette maladie étant justement la microcéphalie comme l’explique CE DOCUMENT DE L’OMS PAGE 46.
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Comment l’OMS peut-t-elle envisager une relation entre le VIRUS ZIKA et les cas de microcéphalies alors que sur 3.448 recensés au BRÉSIL seul 270 cas ont été confirmés et 6 D’ENTRE EUX SEULEMENT AVAIENT LE VIRUS ZIKA.
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1) D’après une étude d’une revue de Neurologie, 25 000 CAS DE MICROCÉPHALIES SONT DIAGNOSTIQUÉS ANNUELLEMENT RIEN QU’AUX ETATS-UNIS.
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Pourtant, en 2009, la «MENACE ZIKA» n’était pas encore à l’oeuvre. Pourquoi ces nombreux cas n’ont-ils pas inquiété outre mesure le gouvernement américain à ce jour alors que 270 cas au brésil motive l’OMS a déclarer ce virus comme une urgence de santé publique mondiale, tout en n’ayant objectivement, aucune preuve d’une relation de causalité entre ce virus et les cas de microcéphalies. Y aurait-il une autre cause plausible à ces cas ?
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2) Une étude de la revue scientifique ENVIRONMENTAL HEALTH PERSPECTIVES datant de 2011 indique que les pesticides peuvent provoquer ce type de malformation congénitale :
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«La présence contre l’absence de niveaux quantifiables d’ATRAZINE ou d’un métabolite spécifique de l’atrazine a été associé avec un ratio de restriction de croissance fœtale [odds (OR) = 1,5; 95% d’intervalle  de confiance (IC), 1,0-2,2] et une petite circonférence de la tête (OR = 1,7; IC 95%, 1,0-2,7)» Le périmètre crânien était inversement associée à la présence de métolachlore urinaire quantifiable»
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«CONCLUSIONS :
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Cette étude est la première à évaluer les associations de résultats à la naissance avec de multiples biomarqueurs urinaires d’exposition aux herbicides triazines et chloroacétanilide. La preuve d’une association avec des résultats défavorables au niveau de la grossesse soulève des préoccupations particulières pour les pays où l’ATRAZINE est encore en usage»
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3) L’ATRAZINE n’est visiblement pas le seul responsables puisque le GLYPHOSATE DE MONSANTO également.
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UNE ÉTUDE INDÉPENDANTE DE 2010 indique qu'«Il y a de plus en plus de preuves soulevant des inquiétudes concernant les effets des herbicides à base de GLYPHOSATE sur les personnes vivant dans les zones où les herbicides sont intensément utilisées. Les femmes exposées pendant la grossesse aux herbicides exposent leur progéniture à des malformations congénitales, y compris la microcéphalie [petites têtes], anencéphalie [manque de grandes parties de cerveau et du crâne dans les embryons], et des malformations crâniennes».
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4) Un article de mai 2015 démontre que LE BRÉSIL EST L’UN DES PLUS GROS CONSOMMATEURS DE PESTICIDES AU MONDE et que cela semble préoccuper de plus en plus la population.
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EST-CE QU’UNE MENACE VIRALE GONFLÉE POURRAIT DÉVIER L’ATTENTION DU PEUPLE ?
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«Des procureurs brésiliens ont déclaré lundi qu’ils réclamaient au moins 50 millions de reais (16,6 millions $) auprès de fabricants multinationaux de pesticides pour des violations alléguées de sécurité dans un centre de collecte de contenants de pesticides utilisés»
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«Le BRÉSIL est l’un des plus grands producteurs agricoles du monde et de le plus gros acheteur de pesticides, selon PHILLIPS MCDOUGALL, un cabinet de conseil et de recherche d’entreprise agricole, établi en ECOSSE»
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«Les accusations viennent de scientifiques, des régulateurs, des fonctionnaires et des consommateurs de la santé publique se plaignant de plus en plus que l’ascension du BRÉSIL en tant que puissance agricole a conduit à une utilisation dangereuse et excessive de pesticides.
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REUTERS a rapporté en Avril qu’au moins quatre fabricants étrangers vendent au BRÉSIL des pesticides qu’ils ne sont pas autorisés à vendre dans leurs marchés domestiques.
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5) A part la soit disant relation entre ZIKA et microcéphalie (dont on attend toujours la moindre preuve), qu’est-ce qui justifie le branle-bas de combat de l’OMS ?
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VOYONS VOIR LES SYMPTÔMES :
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«L’infection est asymptomatique dans les trois-quarts des cas. Les symptômes, quand ils existent, apparaissent trois à douze jours après la piqûre, sous forme d’éruption cutanée avec ou sans fièvre. A cela peuvent s’ajouter fatigue, maux de tête et courbatures, laissant penser à un syndrome grippal. Le virus peut aussi se manifester par une conjonctivite, un œdème des mains ou des pieds. Ces symptômes disparaissent généralement en deux à sept jours, précise l’OMS. A priori, l’infection est immunisante»
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CONCLUSION : Le VIRUS ZIKA, pour lequel l’OMS agite le spectre d’une pandémie mondiale, semble au final plutôt banal. Il n’est pas mortel, ne provoque pas de symptômes graves mais simplement une sorte de syndrome grippal. Il y a plusieurs études scientifiques qui attestent d’un lien entre les pesticides et les cas de microcéphalies. Parallèlement, aucune preuve sérieuse n’évoque un lien de causalité entre le VIRUS ZIKA et les cas de microcéphalie. Malgré cela, plusieurs pays recommandent aux habitants de reporter leurs grossesses (plusieurs mois à plusieurs années selon les pays). Il convient de rappeler également que l’on ignore quels effets peuvent avoir les MOUSTIQUES GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉS financés par BILL GATES qui ont été lâchés au BRÉSIL ni s’ils peuvent constituer un problème de santé public.

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RÉFÉRENCES : JON RAPPOPORT (journaliste d’investigation)
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VIRUS EBOLA
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LES LABORATOIRES US À L'ORIGINE DE L'ÉPIDÉMIE D'EBOLA
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30 OCTOBRE 2014 FR.SOTT.NET
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Voici la retranscription en français de l'interview récente du spécialiste en guerre biologique, FRANCIS BOYLE (*), auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet des armes biologiques américaines, dont celui paru en français aux ÉDITIONS DEMI LUNE «GUERRE BIOLOGIQUE ET TERRORISME».
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DAVID LINDORFF (DU SITE THISCANTBEHAPPENING) : NOUS AVONS L'HONNEUR D'ACCUEILLIR SUR NOTRE ANTENNE LE JURISTE (LAWYER) FRANCIS BOYLE, QUI S'EST DISTINGUÉ EN PORTANT PLAINTE AUPRÈS D'UN TRIBUNAL DE MALAYSIE CONTRE GEORGE W. BUSH ET DICK CHENEY POUR CRIME CONTRE L'HUMANITÉ.
IL VA NOUS PARLER DE L'ÉPIDÉMIE D'EBOLA EN AFRIQUE DE L'OUEST. IL A UNE OPINION ASSEZ SINISTRE SUR CETTE AFFAIRE. FRANCIS, VOUS ÊTES LÀ ?
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FRANCIS BOYLE : Merci beaucoup DAVID de m'avoir invité. Pour contextualiser cette conversation, je suis celui qui a écrit le brouillon de la loi anti-terroriste contre les armes biologiques (BIOLOGICAL WEAPONS ANTI-TERRORISM ACT) en 1989. Les ÉTATS-UNIS ont mis en place cette loi au titre de la CONVENTION sur les armes biologiques, qui a été votée à l'unanimité par les deux chambres du CONGRÈS US et mise en application par GEORGE W. BUSH, et vous pouvez lire tous les détails dans mon livre «Guerre biologique et terrorisme», tout y est documenté...
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DL D'ACCORD. C'EST ÉVIDEMMENT UN SUJET QUE VOUS CONNAISSEZ TRÈS BIEN, ET J'AI LU UNE INTERVIEW DE VOUS PAR UNE CHAINE GRECQUE, QUI ÉTAIT ASSEZ SURPRENANTE, OÙ VOUS DITES QUE CETTE ÉPIDÉMIE N'EST PAS CE QU'ON DIT, AVEC CETTE HISTOIRE DE CHAUVES-SOURIS QUI SONT VENUES PAR LES AIRS DEPUIS LE ZAÏRE, ET QU'IL S'AGIRAIT ICI D'UNE VARIANTE DE L'«ÉBOLA DU ZAÏRE» CE QUI EST CURIEUX, CAR LE ZAÏRE EST À PLUS DE 3500 KM DE LÀ. DE QUOI S'AGIT-IL À VOTRE AVIS ? :
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FB : Oui. Entre nous, toute cette histoire ne tient pas debout. Le gouvernement américain possède trois laboratoires BSL-4 (BIO SAFETY LAB niveau 4). Un en GUINÉE, un au LIBÉRIA, un en SIERRA LEONE, au cœur de l'épidémie en AFRIQUE DE L'OUEST. Et ces laboratoires BSL-4 font toutes sortes de recherches plus effrayantes les unes que les autres sur les armes biologiques.
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DL : POURQUOI SONT-ILS SITUÉS DANS CES PAYS ?
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FB : Parce que la GUINÉE n'a pas signé la Convention sur les Armes biologiques, le LIBÉRIA non plus. La SIERRA LEONE l'a signée, mais c'est une colonie britannique. J'avais d'ailleurs contesté dès 1988 le programme du PENTAGONE de recherche sur la DEFENSE BIOLOGIQUE (BIOLOGICAL DEFENSE PROGRAM) - et vous pouvez le lire dans mon livre, et leur avais demandé pourquoi ils conduisaient cette «double recherche», offensive et défensive, sur les armes biologiques au LIBÉRIA - qui à l'époque était une dictature militaire sous le joug du CAPITAINE DOE soutenu par la CIA - en contournant ainsi la Convention sur les armes biologiques. J'ai tout ici, dans un document du gouvernement US intitulé «BIOLOGICAL DEFENSE PROGRAM», et vous trouverez tout ça dans mon livre : le CENTER FOR DESEASE CONTROl (CDC) menait des recherches dans le domaine biologique pour le PENTAGONE, en SIERRA LEONE, déjà en 1988, et probablement même avant ça, car il a fallu construire le laboratoire. De plus, la COLUMBIA UNIVERSITY menait aussi des travaux dans le domaine des armes biologiques (BIO WARFARe) pour le PENTAGONE, au LIBÉRIA, dès 1988. C'est celui que j'avais contesté en parlant de contournement des termes de la BWC (BIO-WEAPONS CONVENTION, ou CONVENTION SUR LES ARMES BIOLOGIQUES). Voyez-vous DAVID, tout ceci n'est qu'une vaste opération de camouflage par le CDC. Ils sont plongés jusqu'au cou dans ces horribles travaux de recherche sur les armes biologiques depuis au moins 1988.
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DL : VOUS AVEZ PARLÉ DE «DOUBLE RECHERCHE», POUVEZ-VOUS PRÉCISER ?
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FB : Bien, voilà ce qui se passe : pour pouvoir justifier ces travaux effrayants, si vous lisez les contrats, et j'ai pu en lire un avant que tout ne soit classifié, vous y lisez : «l pourrait y avoir cette terrible forme de maladie émergente, et nous devons développer un vaccin pour cela. Et donc, nous allons commencer à travailler sur ce virus, il est possible que nous ayons à le modifier génétiquement et...»
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DL : - (L'INTERVIEWER A UN RIRE NERVEUX)
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FB : Non DAVID, ne riez pas, j'ai lu ces documents...
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DL : C'EST UN RIRE NERVEUX, C'EST QUE JE SUIS HORRIFIÉ !
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FB : ...au début des années 1980, sous l'administration REAGAN, au moment où j'ai pris connaissance de tout ça, «et par conséquent, nous devons le modifier génétiquement, ou faire une chose de ce genre, pour créer un vaccin et protéger tout le monde» C'est ce qui était écrit, et ils font ça pour tous les virus : L'ÉBOLA, la FIÈVRE HÉMORRAGIQUE, etc... Si vous ne me croyez pas, lisez l'édition du NEW YORK TIMES de vendredi dernier, où l'administration OBAMA a essayé d'enterrer tout ça au beau milieu du brouhaha des autres informations. OBAMA y dit : «Notre politique officielle est désormais d'arrêter ce type de recherche». Ce qui revient à admettre qu'ils en faisaient.
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DL : C'ÉTAIT VENDREDI DERNIER ?
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FB : Oui, le NEW YORK TIMES de vendredi dernier. Cela revenait donc à admettre qu'ils en faisaient ce genre de recherches jusqu'à vendredi dernier au moins. Et si vous jetez un œil sur la liste de ces recherches, le VIRUS EBOLA n'y figure pas. Pourquoi ? Cela ne signifie pas qu'ils ne faisaient pas de «double recherche» sur l'EBOLA. Toutes ces informations sont publiques. Si EBOLA avait été sur la liste vendredi, les gens auraient demandé : mais que faisiez-vous avec ce VIRUS EBOLA ? Okay ? Cet article de vendredi dans le NEW YORK TIMES, c'est un peu le «Smoking Gun» [la preuve irréfutable - NdT], puisqu'OBAMA admet que les USA ont mené ce genre de recherches. Et en consultant la documentation, j'ai pu remonter jusqu'à l'administration REAGAN, avec ces néoconservateurs qui sont arrivés au pouvoir et qui voulaient des armes biologiques. Et vous pouvez aussi lire le document du PNAC [PROJECT FOR THE NEW AMERICAN CENTURY, traduit en français ici] en 2000, ces mêmes néoconservateurs de l'ère REAGAN qui écrivaient clairement vouloir développer des armes biologiques. Ils sont revenus au pouvoir avec BUSH JUNIOR, et ils ont poursuivi dans cette voie. Les néocons voulaient ces armes biologiques, et je pense que ça a vraiment commencé sous REAGAN et ça a continué depuis. La deuxième administration REAGAN l'a fait aussi, pas la première, mais 2e très certainement, sous l'influence de ce RICHARD J. DANZIG qui est maintenant aux Conseils d'administration de ces sociétés «BIG PHARMA», et qui a établi des accords (bundle) en violation du FOREIGN EXCHANGE (FX) and GOVERNEMENT ACT.
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DL : A-T-ON LA PREUVE QUE LA SOUCHE DU VIRUS EBOLA QUI SÉVIT EN AFRIQUE DE L'OUEST A ÉTÉ GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉE ?
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FB : Laissez-moi vous dire ceci : toutes les précédentes épidémies d'EBOLA en AFRIQUE avaient été circonscrites, avec un taux de mortalité de 50%. Celle-ci n'est pas «contenue» et a un taux de mortalité de 70%. Cela me fait dire que nous avons affaire à un organisme génétiquement modifié, ou OGM. Nous savons que ce type de travaux était conduit à FORT DETRICK. Il y a aussi ce DOCTEUR KAWAOKA à l'UNIVERSITY DU WISCONSIN DE MADISON, il a admis sur sa page Web avoir modifié génétiquement le virus EBOLA pour le rendre plus violent. Il a aussi ressuscité le virus de la grippe espagnole, pour le PENTAGONE.
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DL : DOUX JÉSUS...
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FB : Il a aussi fait des recherches très poussées sur la grippe, y compris en modifiant génétiquement le virus H5N1, ce virus de la grippe si dangereux qui a sévi lors de l'épidémie du SRAS [SRAS -SYNDROME RESPIRATOIRE AIGU SÉVÈRE - NdT]. Et le tout était financé par le PENTAGONE ou bien le NATIONAL INSTITUTE OF HEALTH (NIH), ou par le CDC. Ces travaux étaient si dangereux qu'il avait dû transférer son laboratoire du WISCONSIN vers le WINNIPEG au CANADA. Mais peut-être que les Canadiens ont dit «allez-vous-en d'ici, on ne veut pas de vous ici, c'est trop dangereux pour nous», je ne sais pas. Ce que l'on sait, c'est que le LABORATOIRE BSL-4 KANEMA de l'UNIVERSITÉ DE TULANE était impliqué. Nous savons qu'ils font ce type de recherches sur les armes biologiques depuis longtemps. [Le laboratoire US de] FORT DETRICK était impliqué aussi. Ils sont connus également depuis longtemps pour conduire ce genre de recherches, y compris sur le VIRUS EBOLA. Les trois laboratoires que j'ai cités ont tous été mis en place par l'USAID, qui n'est rien d'autre qu'une organisation servant de couverture pour la CIA. Je suis juste en train d'essayer de relier tous ces points entre eux, sur la base des informations que j'ai pu récolter sur ces armes biologiques, depuis si longtemps, depuis mes études à l'université de droit à HARWARD, et je me suis intéressé professionnellement à la question, puisque j'ai été appelé à défendre le COUNCIL FOR RESPONSIBLE GENETICS au début des années 1980, dans leur Comité sur les armes biologiques, etc...
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DL : ÊTES-VOUS EN TRAIN DE SUGGÉRER QUE CETTE ÉPIDÉMIE A ÉTÉ DÉCLENCHÉE DÉLIBÉRÉMENT, OU BIEN S'AGIT-IL SELON VOUS D'UN ACCIDENT, LE VIRUS LEUR AURAIT ÉCHAPPÉ SANS QU'ILS LE VEUILLENT ?
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FB : Vous savez DAVID, si vous allez sur le site Web du MINISTÈRE DE LA SANTÉ DE LA SIERRA LEONE - c'est une information publique - ils ont fermé le BSL-4 de KANEMA cet été et ont affirmé que c'était la source de l'épidémie EBOLA, car TULANE et d'autres laboratoires administraient des vaccins aux gens.
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DL : VOUS VOULEZ DIRE, AU PERSONNEL DES LABORATOIRES ?
FB : Non, aux gens, aux AFRICAINS DE L'OUEST. Sur une large échelle.
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DL : MAIS ALORS IL Y A UN VACCIN ?
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FB : Ils disent que c'est un vaccin, mais ce dont il s'agit, c'est un VIRUS EBOLA VIVANT. Ils ont affaire à un VIRUS EBOLA VIVANT pour ce soi-disant vaccin.
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DL : (RIRE NERVEUX DU JOURNALISTE)
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FB : De plus, nous savons que le NIH, a travaillé avec le CDC, depuis un certain temps pour combiner le VIRUS VIVANT D'EBOLA avec celui du «RHUME COMMUN».
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DL : MON DIEU. MAIS POURQUOI FONT-ILS ÇA ? COMMENT JUSTIFIENT-ILS CELA ?
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FB : Mais pour développer un vaccin, DAVID.
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DL : C'EST COMME ÇA QU'ILS L'EXPLIQUENT ?
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FB : Eh oui, c'est tout ce qu'ils peuvent dire. Et donc, si vous mettez ensemble le virus vivant d'EBOLA avec celui du rhume, vous obtenez quelque chose qui est aussi contagieux que le rhume commun, mais pas autant que la grippe. Et ça pourrait bien être ce à quoi nous avons affaire ici. Ce vaccin, ou appelez-le comme vous voulez, avec l'EBOLA vivant et le rhume commun, a été injecté à une vaste population en SIERRA LEONE, et peut-être au LIBÉRIA, et c'est cela l'origine de l'épidémie, mais ne me croyez pas sur parole et allez voir le site WEB du MINISTÈRE DE LA SANTÉ DE LA SIERRA LEONE, et vous verrez que c'est leur conclusion sur ce qui arrive aujourd'hui, et c'est pour cela qu'ils ont ordonné la fermeture du LABORATOIRE AMÉRICAIN BSL-4 cet été.
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DL : EST-CE POUR CELA QU'ILS SONT CONTENTS QUE LES CUBAINS SOIENT VENUS, PLUTÔT QUE DE VOIR LES AMÉRICAINS ARRIVER ?
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FB : Le problème c'est qu'aucun Américain ne veut y aller, parce qu'ils savent que les USA sont derrière tout ça. Si vous regardez ce qu'ils appellent le «projet d'aide», c'est le vide total. C'est simplement une vaste mise en scène pour faire croire qu'ils font quelque chose, alors qu'en réalité ils ne font pratiquement rien.
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DL : LES USA N'ONT D'AILLEURS ENVOYÉ AUCUN MÉDECIN LÀ-BAS, SEULEMENT DES SOLDATS, N'EST-CE PAS ?
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FB : Exact. Et la raison est claire. La semaine dernière il y avait une réunion à KANEMA, en SIERRA LEONE, avec des représentants de toutes ces organisations gouvernementales internationales, et la décision a été prise d'abandonner ces gens à leur sort. Pas de traitement...
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DL : OUI J'AI LU ÇA, IL FAUT JUSTE LES LAISSER SE SOIGNER EUX-MÊMES.
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FB : Ils les renvoient à la maison avec du simple TYLÉNOL (DOLIPRANE). Ils sont désormais livrés à eux-mêmes, et ce à quoi nous assistons est seulement une mise en scène pour faire croire que les USA font quelque chose, alors qu'ils ne font rien. Les Cubains se sont montrés très héroïques vu la situation. L'organisation MÉDECINS SANS FRONTIÈRES est là aussi, et certaines ONG privées également. Mais toutes les organisations gouvernementales sont absentes, en fait elles n'ont jamais voulu s'en mêler, car elles ont réalisé que derrière l'épidémie, il y avait la recherche US sur les armes biologiques, et qu'il n'y avait pas grand-chose à faire, et que tout ce qui restait à faire c'était de laisser tout cela se consumer tout seul.
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DL : CE QUE VOUS DITES EST VRAIMENT CONVAINCANT ET ME SUGGÈRE DEUX CHOSES. LA PREMIÈRE EST LA SUIVANTE : BIEN QUE LE MILIEU DE LA MÉDECINE INCLUT BEAUCOUP DE GENS TRÈS MOTIVÉS SUR LE PLAN DE L'AIDE HUMANITAIRE, POURQUOI N'AVONS-NOUS EU AUCUN «WHISTLE BLOWER» (LANCEUR D'ALERTE) SUR CE SUJET ? CELA SEMBLE SI SCANDALEUX ET DÉGOUTANT QUE QUELQU'UN AURAIT DÛ LANCER L'ALERTE, NON ?
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FB : DAVID, si vous regardez au cours de toutes ces années, et ces informations sont du domaine public, il y a environ 27 ou 28 microbiologistes qui sont morts. [1]
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DL : OUI J'AI LU ÇA.
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FB : 27 ou 28 microbiologistes morts. Je pense que ces chercheurs ont menacé de sonner l'alarme sur ces programmes aussi dangereux qu'illégaux de recherches américaines sur les armes biologiques, et on les a tués. Et c'est pour cela que nous n'avons pas de lanceurs d'alerte ici, parce qu'ils seraient tués eux aussi. Je crois que c'est clair.
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DL : OUI J'AI LU À CE SUJET, LA LISTE EST IMPRESSIONNANTE. ET IL Y A DES HISTOIRES BIZARRES DE PERSONNES QUI ARRÊTENT LEUR VOITURE AU-DESSUS D'UN PONT ET QUI SAUTENT.
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FB : Des histoires souvent ridicules. Et je crois que tous ces microbiologistes, plutôt que de sonner l'alarme, ils sont allés voir leur supérieur, au CDC ou ailleurs. Cette information a suivi son chemin et on les a éliminés. C'est pour cela que nous n'avons pas de WHISTLE BLOWERS. En fait nous en avions, mais ils sont tous morts, avant qu'ils n'aient pu lancer l'alerte.
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DL : AVEZ-VOUS PUBLIÉ VOUS-MÊME SUR CE SUJET ET SUR LES DOCUMENTS DONT VOUS ME PARLEZ ? OU BIEN COMPTEZ-VOUS LE FAIRE ?
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FB : J'ai donné des interviews. Nous avons envoyé des communiqués de presse, à l'INSTITUTE FOR PUBLIC ACCURACY, et j'ai donné aussi des interviews. J'ai travaillé sur d'autres sujets depuis le début de cette crise, mais si vous allez sur Internet, vous verrez que je suis un peu partout...
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DL : OUI, J'AI VU ÇA. MAIS PAS DANS LES GRANDS MÉDIAS, ÉVIDEMMENT.
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FB : Évidemment, quelqu'un a donné l'ordre de ne pas m'interviewer, et d'ailleurs, après les attaques à l'ANTHRAX d'octobre 2001, j'ai été le premier à dire qu'il s'agissait d'ANTHRAX MILITARISÉ (WEAPONIZED ANTHRAX) provenant d'un laboratoire gouvernemental américain. Ce qui fut confirmé plus tard. Mais personne ne m'a interrogé. Je crois que j'ai donné en tout et pour tout trois interviews. Une à FOX NEWS, à BOSTON, j'ai donné une conférence à HARVARD, et une interview à la BBC, et à une chaine de la PACIFIC à WASHINGTON. Je parle de tout ça dans mon livre. Cela s'est passé dans les tout premiers jours après les attaques, et après plus rien. Le grand silence. Plus personne n'a parlé avec moi. Plus personne parmi les grands médias. Ces communiqués de presse sont envoyés à plus de 8000 organes de presse tout autour du globe, tous l'ont vu. Tous savent qui je suis. Mais il est clair qu'un ordre a été donné de ne pas avoir affaire avec moi. Et donc, non, rien dans les grands médias.
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DL : ET LES MÉDIAS GRANDS PUBLICS DANS D'AUTRES PAYS ? EN RUSSIE, EN CHINE, OU AILLEURS ?
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FB : Très peu. En GRÈCE, j'ai donné une interview [2], mais c'est la seule. Le gouvernement US a probablement dit à ces médias de se tenir éloignés de FRANCIS BOYLE. Mais vous savez, je ne suis pas payé pour les interviews, je ne suis pas en train de perdre de l'argent, je fais ça pour informer le public, pour essayer de faire sortir la vérité. Les seuls à m'interviewer ont été des médias alternatifs comme le vôtre.
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DL : CE QUI EST ÉTRANGE DANS CETTE HISTOIRE D'ARMES BIOLOGIQUES GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉES, C'EST QU'IL EST DIFFICILE DE PRÉVOIR LÀ OÙ ELLE VA FRAPPER. EN SUPPOSANT QUE CE QUE VOUS DITES EST EXACT, COMMENT PEUVENT-ILS PENSER TENIR CE VIRUS ÉLOIGNÉ DES USA ?
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FB : Vous savez, M. DUNCAN est ici, aux USA. Il est le cas «zéro» [le premier en dehors des USA - NdT]. L'information est déjà parue, selon laquelle le DÉPARTEMENT DE LA DÉFENSE et le NIH ont un programme informatique qui simule tout ça, ils savent exactement ce qui va se passer, en AFRIQUE DE L'OUEST, et maintenant en ESPAGNE, à cause de l'infirmière là-bas [apparemment guérie depuis - NdT], et ici aux USA à cause de M. DUNCAN, puisque c'est le cas «zéro», et donc la liste de ses contacts. Ils peuvent insérer tout cela dans l'ordinateur et voir ce qui va se passer. Dans le NEW YORK TIMES hier, il y avait un diagramme avec M. DUNCAN et tous ses contacts et leurs enfants, et chacun d'entre eux est surveillé. Sauf pour les 4000 personnes sur le bateau de croisière. Ce qui pose la question : pourquoi n'ont-ils pas mis tous les gens du bateau en quarantaine ? Au NIGÉRIA, où ils disent avoir stoppé l'épidémie...
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DL : J'ALLAIS VOUS POSER LA QUESTION...
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FB : ...ils ont contacté tout le monde et les ont mis sous surveillance. Mais pas les 4000 personnes sur le paquebot de croisière, et ils ont tous été relâchés sur recommandation du CDC, qui a d'ailleurs dit «il suffit d'une période de quarantaine de 21 jours», et donc tous les gens sur le paquebot ont été libérés. L'OMS (ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ) a critiqué cette décision et dit qu'il faudrait une période de 42 jours de quarantaine. Et si vous regardez les chiffres qui sont derrière les calculs de l'OMS et qui ont abouti à cette période de 42 jours, c'est toujours avec un taux d'efficacité de seulement 98% et un taux de mortalité de 50%, et non de 70%, ce dernier taux indiquant qu'IL SEMBLE BIEN S'AGIR D'UN VIRUS MANIPULÉ GÉNÉTIQUEMENT et qui est bien plus dangereux que l'EBOLA d'origine. Je ne suis pas sûr, mais il me semble que par sécurité, il faudrait parler de période de quarantaine de 50 jours, et d'ailleurs tous ces chiffres du CDC ou de l'OMS sont simplement basés sur le rapport risque/coût, c'est tout. Ils disent simplement que c'est moins couteux de laisser les gens partir après 21 jours, ou 42 jours, plutôt que de les garder en quarantaine. C'est une analyse risque/coût (CROSS-BENEFIT ANALYSIS) au détriment de nos vies. Peut-être que nous serons comme le NIGÉRIA, mais la différence entre le NIGÉRIA et nous [aux USA] est que le Nigéria a retrouvé tous les contacts, alors que nous avons laissé partir dans la nature 4000 personnes de ce paquebot, et avec ces 4000 personnes, ils ont simplement appliqué les protocoles du CDC qui n'ont aucune valeur et sont très dangereux.
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DL : ET BIEN SÛR VOUS NE POUVEZ PAS METTRE EN QUARANTAINE TOUTES CES 4000 PERSONNES ENSEMBLE, IL FAUT LES MAINTENIR SÉPARÉES LES UNES DES AUTRES, POUR NE PAS QU'ILS SE CONTAMINENT LES UNS LES AUTRES.
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FB : Absolument. Ils auraient très bien pu les garder sur le bateau pendant 42 jours en leur expliquant les raisons, avant de les relâcher.
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DL : VOUS FAITES LE LIEN ENTRE L'OMS ET LE CDC EN DISANT QU'ILS SONT TOUS DEUX COUPABLES DANS CETTE AFFAIRE, MAIS L'OMS COMPREND DE NOMBREUX PAYS, IL Y A DU PERSONNEL VENANT DE PAYS QUI NE SONT PAS ALIGNÉS AVEC LES USA. COMMENT EST-CE QUE ÇA MARCHE ?
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FB : DAVID, je ne me rappelle pas exactement les chiffres, mais l'OMS est financée sur la même base que l'ONU, puisque c'est une organisation spécialisée.
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DL: OUI, ENVIRON 25% PAR LES USA
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FB : En effet, environ 25%, plus le fait que nous devons des milliards de dollars à l'ONU. Et celui qui paie les musiciens choisit la musique. Je ne sais pas à quel point nous devons de l'argent à l'OMS, mais ils font ce qu'on leur demande de faire. Ils peuvent à l'occasion essayer de révéler quelque chose, mais ils ne vont pas se dresser contre nous. Toujours est-il que le CDC est trempé jusqu'au cou dans cette affaire, et ils font du camouflage, nous ne pouvez pas croire un mot de ce qu'ils disent.
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DL : OUAH. MAIS ALORS QUE DEVONS-NOUS FAIRE FACE À CETTE SITUATION ? VU QUE NOUS NE POUVONS PAS FAIRE CONFIANCE AU GOUVERNEMENT SUR CE SUJET ?
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FB : Mon conseil est le suivant : heureusement, selon la CONSTITUTION DES ÉTATS-UNIS, la Santé publique ne relève pas du gouvernement fédéral. Elle dépend des États, des comtés, des villes, des communautés, des villages, des autorités sanitaires [locales]. Et donc ces autorités sanitaires locales doivent s'unir, et faire appel à des experts indépendants qui n'ont jamais participé à aucune recherche dans le domaine des armes biologiques pour le gouvernement américain, et partir de là, élaborer une stratégie pour leurs communautés. Si vous lisez les médias grands publics, ils contactent tous ces experts qui ont trempé dans des recherches en guerre biologique pour les USA.
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DL : OUI, C'EST UN PEU COMME DEMANDER À DES GÉNÉRAUX DE NOUS PARLER DES GUERRES.
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FB : Exactement. C'est la même chose. Vous ne pouvez accorder aucune confiance à ce qu'ils disent. Et donc, je pense qu'il y a vraiment quelque chose à faire, mais que cela doit se passer au niveau local, dans les communautés et avec les autorités sanitaires. Par exemple nous avons eu une crise ici à l'UNIVERSITÉ DE DROIT. Les abrutis en charge de l'Université ont envoyé un juriste gouvernemental taiwanais. Et ils savaient que nous avions affaire à la TUBERCULOSE. J'ai découvert cela, et ai demandé que tout le monde passe des tests, ils ont refusé, alors j'ai lancé l'alerte. Et avec les autorités sanitaires et tous ici, nous avons finalement obtenu que tout le monde passe les tests et nous avons découvert que cinq personnes étaient infectées par la TUBERCULOSE. Heureusement on a pu les traiter et elles s'en sont sorties. Sans cela, elles auraient développé la TUBERCULOSE, qui est une maladie extrêmement contagieuse. Ce qui est sûr, c'est qui faut travailler avec les autorités sanitaires locales et des spécialistes qui n'ont jamais été impliqués dans des travaux de guerre biologique pour le gouvernement des USA. Malheureusement nous avons 14 000 scientifiques qui participent à ces affreuses recherches en armements biologiques pour le compte du gouvernement des USA, je les appelle les «scientifiques de la Mort», et plus de 1500 laboratoires aux ÉTATS-UNIS qui font ce type de recherche. Vous ne pouvez pas leur faire confiance.
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DL : COMBIEN DE LABORATOIRES ?
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FB : 1500
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DL : MON DIEU. ALORS QUE NOUS NE SOMMES PAS CENSÉS EN FAIRE.
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FB : C'est exact. Ce genre de travaux de recherche constitue un crime selon les termes de la loi antiterroriste contre les armes biologiques que j'ai écrite, et nous avons dépensé 79 milliards de dollars depuis le 11 septembre 2001 dans ce domaine de recherche, ce qui en dollar constant, représente le double de ce qui a été dépensé pour le PROJET MANHATTAN pendant la Seconde Guerre mondiale pour développer la bombe atomique.
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DL : MAIS ILS DISAIENT QUE C'EST DÉFENSIF.
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FB : Oui, ils disaient que c'est pour protéger le peuple américain de virus émergents comme l'EBOLA. Mais regardez autour de vous. Vous pouvez voir qu'ils n'ont rien fait pour protéger qui que ce soit.
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DL : S'ILS TRAVAILLAIENT SUR UN VACCIN DEPUIS LES ANNÉES 80, ILS DEVRAIENT L'AVOIR MAINTENANT, NON ?
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FB : Soit ils devraient l'avoir, soit ils l'ont, et c'est dans les tiroirs au fin fond du LABORATOIRE DE FORT DETRICK, mais ils ne nous le disent pas, et ils ne l'ont donné qu'aux plus hauts dirigeants de notre gouvernement. C'est très similaire aux attaques à l'ANTHRAX d'octobre 2001, et le fait que tout le monde à la MAISON-BLANCHE prenait du CIPRO [antibiotique prévenant les effets de L'ANTHRAX - NdT]. Mais bon, je ne sais pas s'ils l'ont. Soit nous avons le vaccin, soit tout cet argent a été dépensé en pure perte, soit (et ce n'est pas incompatible) ils l'utilisent pour développer des armes biologiques. Faites votre choix. Je dois vous laisser. Merci de l'invitation.
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DL : MERCI FRANCIS D'ÊTRE VENU SI RAPIDEMENT À NOTRE ANTENNE.
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(*) FRANCIS A. BOYLE est un professeur états-unien de renommée mondiale dans sa spécialité, le droit international, qu'il pratique et dont il est un ardent défenseur. Il rédigea la LOI ANTI-TERRORISME de 1989 sur les armes biochimiques, la législation américaine mettant en application la CONVENTION sur les armes biologiques de 1972. Titulaire par l'UNIVERSITÉ DE HARVARD de deux doctorats, un de Droit (Magna cum laude) et un en Sciences politiques, il enseigne à l'UNIVERSITÉ DE L'ILLINOIS, à CHAMPAIGNE. (Source EDITIONS DEMI LUNE)
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NOTES DE LA RÉDACTION :
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1. A ce propos, il se trouve que GLENN THOMAS, CONSULTANT DE L'OMS à GENÈVE et spécialiste du VIRUS EBOLA est MORT EN JUILLET DERNIER dans le crash du Vol Mh17 en UKRAINE, en même temps que 17 spécialistes du virus du SIDA qui se rendaient à un conférence à KUALA LUMPUR. Il est évidemment trop tôt pour en tirer des conclusions hâtives, c'est certainement un coup de malchance.
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VIRUS DU SIDA
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LES ORIGINES DU SIDA 2006 (1)
LES ORIGINES DU SIDA 2006 (2)
LES ORIGINES DU SIDA 2006 (3)
LES ORIGINES DU SIDA 2006 (4)
LES ORIGINES DU SIDA 2006 (5)
DOCUMENTAIRE ARTE DE SEPTEMBRE 2006 (en 5 parties)
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LES ORIGINES DU SIDA
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Le vaccin contre la POLIO est le premier vaccin à être fabriqué à partir de reins de singes. Comment le fabrique-t-on ? Quels sont les différents types de vaccins anti-polio ?
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Pour faire un vaccin, on commence par faire une culture à partir de reins de singes puis il faut :
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- Prélever un morceau de tissu rénal et le diviser avec une paire de ciseaux.
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- Laisser reposer cette suspension pour faire une monocouche de cellules.
Ajouter le virus de la POLIO.

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- Prélever ensuite le liquide de ces cultures.
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- Filtrer pour enlever le reste des cellules. On obtient alors une suspension de virus.
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Soit on l’inactive avec du formol, soit on l’affaiblit par des passages successifs dans des cultures de cellules.
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IL EXISTE DEUX TYPES DE VACCINS :
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1) Le vaccin inactivé et injecté de JONAS SALK. Il contient des particules de virus de la POLIO qui ont été tuées dans du formol. L’immunité qu’il confère est temporaire et nécessite trois injections successives. Pour fabriquer son vaccin, JONAS SALK utilise des reins de macaques Rhésus.
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2) Les vaccins vivants atténués de ALBERT SABIN et de HILARY KOPROWSKI. Ils contiennent des particules de virus de la POLIO qui sont vivantes, mais affaiblies au cours d’un long processus où l’on passe le virus dans des cultures de cellules, jusqu’à ce que sa capacité à déclencher la maladie disparaisse. Ce vaccin est administré par la bouche et est efficace dès la première prise. Les notes de laboratoires d’ALBERT SABIN attestent qu’il utilisait des reins de macaques Rhésus ou de macaques synomolgus. HILARY KOPROWSKI a «perdu» toute documentation permettant de prouver l’espèce de singe qu’il a utilisée. Il nie avoir utilisé des chimpanzés.
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LA COURSE AU VACCIN
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Dans les années 50, les ETATS-UNIS sont en guerre contre la POLIO, ce fléau qui attaque les enfants. C’est le début d’une course au vaccin entre les plus grands scientifiques : JONAS SALK, ALBERT SABIN et HILARY KOPROWSKI.
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CHRONOLOGIE :
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27 FÉVRIER 1950 :
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HILARY KOPROWSKI est le premier à tester son prototype de vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur un enfant américain de LETCHWORTH village. 12 avril 1955 : Le vaccin de JONAS SALK est homologué. C’est un vaccin qui utilise un virus inactivé, autrement dit «tué» et qui nécessite trois injections.
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Une campagne de vaccination de masse suit cette homologation aux ETATS-UNIS. 90 millions d’Américains seront vaccinés. 23 avril 1955 : Drame autour de la vaccination antipoliomyélite : 260 enfants ayant reçu le vaccin SALK tombent malades, onze d’entre eux meurent. Des lots de vaccins provenant des laboratoires CUTTER (en CALIFORNIE) étaient défectueux : ils contenaient encore du virus vivant.
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MAI 1955-1960 :
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Ce drame relance la course au vaccin entre ALBERT SABIN, au CHILDREN’S HOSPITAL RESEARCH FOUNDATION (CINCINNATI), et HILARY KOPROWSKI, d’abord au LABORATOIRE LEDERLE (PEARL RIVER, État de NEW YORK) puis au WISTAR INSTITUTE de PHILADELPHIE.
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1958-1959 :
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ALBERT SABIN teste son vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur 6 millions d’enfants en URSS. 1957-1960 : HILARY KOPROWSKI teste son vaccin expérimental «CHAT» sur 1 million d’Africains du CONGO BELGE.
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NOVEMBRE 1958 :
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ALBERT SABIN analyse le vaccin «CHAT» de HILARY KOPROWSKI et découvre qu’il est instable et contaminé par un virus inconnu. Novembre 1958 : L’OMS désapprouve dans une lettre confidentielle les campagnes de vaccinations de masse menées par HILARY KOPROWSKI au CONGO BELGE.
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PRINTEMPS 1960 :
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Le vaccin oral d’ALBERT SABIN est homologué et utilisé dans le monde entier pour les campagnes de vaccinations de masse.
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Durant l’été 1955, HILARY KOPROWSKI et GHISLAIN COURTOIS, virologue et directeur du LABORATOIRE MÉDICAL DE STANLEYVILLE (CONGO BELGE), se rencontrent lors d’un colloque au KENYA et décident de créer un camp d’élevage de chimpanzés pour faire officiellement des recherches sur l’hépatite et la polio.
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CHRONOLOGIE. HILARY KOPROWSKI ET LE CONGO BELGE
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1ER MAI 1956 :
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Le projet aboutit : ouverture du CAMP LINDI, situé en retrait de STANLEYVILLE. GHISLAIN COURTOIS en est le directeur.
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JANVIER 1957 :
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Plus de 200 chimpanzés sont déjà arrivés au CAMP LINDI. Février 1957 : GHISLAIN COURTOIS reçoit HILARY KOPROWSKI pour la première fois au CAMP LINDI. Ils immortalisent cette visite par une photo «officielle» devant la pancarte du camp.
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MARS 1957 :
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Premières vaccinations de 4228 personnes avec le vaccin oral expérimental «CHAT» de HILARY KOPROWSKI à STANLEYVILLE.
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1ER MAI 1957 :
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HILARY KOPROWSKI quitte les LABORATOIRES LEDERLE à PEARL RIVER dans l’État de NEW YORK (ETATS-UNIS) avec son vaccin oral expérimental «CHAT». Il devient directeur du WISTAR INSTITUTE à PHILADELPHIE.
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1ER OCTOBRE 1957 :
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Inauguration en présence de HILARY KOPROWSKI, GHISLAIN COURTOIS et toute l’équipe des médecins belges du nouveau LABORATOIRE MÉDICAL DE STANLEYVILLE (CONGO BELGE). Ce laboratoire est immense et possède la technologie de pointe de l’époque.
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26 DÉCEMBRE 1957 :
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Deux ans et demi après l’ouverture du camp, GILBERT ROLLAIS, le chasseur officiel du camp et son équipe de PYGMÉES ramènent le 401e chimpanzé au CAMP LINDI.
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1ER FÉVRIER 1958 :
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FRITZ DEINHARDT, spécialiste en cultures de tissus au CHILDREN’S HOSPITAL de PHILADELPHIE arrive à STANLEYVILLE pour, officiellement, faire des recherches sur l’HÉPATITE.
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DU 24 FÉVRIER AU 10 AVRIL 1958 :
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En l’espace de six semaines, 215 504 personnes sont vaccinées avec le vaccin «CHAT 10A11» dans la VALLÉE DE LA RUZIZI, frontière entre le CONGO BELGE, le RWANDA et le BURUNDI.
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NOVEMBRE 1958 :
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L’OMS désapprouve les campagnes de vaccinations de masse menées par HILARY KOPROWSKI au CONGO BELGE.
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1959 :
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Dans le cadre de leurs recherches, JOSEPH VANDEPITTE et ARNO MOTULSKY font le tour du CONGO BELGE et collectent 2000 échantillons de sang humain.
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En 1985, le chercheur ANDRÉ NAHMIAS découvrira que l’un de ces échantillons est positif au VIH... Juin 1960 : Indépendance du CONGO BELGE. La situation politique entraîne la fermeture du CAMP LINDI dans lequel il reste 50 chimpanzés. Au total, un million de personnes ont reçu le vaccin expérimental
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La théorie du VACCIN ANTIPOLIO à l'origine de l'épidémie de SIDA est défendue par un journaliste britannique, ancien correspondant de la BBC en AFRIQUE, EDWARD HOOPER. Celui-ci publie aux ÉTATS-UNIS, en 1999, THE RIVER - A JOURNEY TO THE SOURCES OF HIV AND AIDS, un ouvrage de près de mille pages, fruit d'un travail d'enquête de plus de dix ans. Dans son livre, HOOPER fait le lien entre le LABORATOIRE DE STANLEYVILLE, au CONGO BELGE, le CAMP LINDI - un camp d 'élevage de chimpanzés installé à proximité - et la recherche du virologue HILLARY KOPROWSKI sur l'HÉPATITE et la POLIO menée sur place. Retour sur le contexte de ces recherches : dans les années cinquante, les ÉTATS-UNIS entrent dans une véritable course au vaccin contre la POLIO, une maladie qui touche les enfants. JONAS SALK, ALBERT SABIN et HILLARY KOPROWSKI, les plus grands scientifiques américains du moment, entrent en concurrence. Le VACCIN DE SALK est le premier écarté, celui de SABIN sera testé sur plus de 6 millions d 'enfants en URSS entre 1958 et 1960, et le vaccin «CHAT» de KOPROWSKI testé sur un million de jeunes Congolais. Au printemps 1960, c'est finalement le VACCIN D'ALBERT SABIN qui sera homologué et utilisé dans le monde entier. Les notes de SABIN attestent qu'il utilisait des reins de macaques pour la fabrication de son vaccin atténué, ce qu'affirme également KOPROWSKI aujourd 'hui. Mais rien ne le prouve (le chercheur affirme avoir perdu ses documents).
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«D'AUTRES SCIENTIFIQUES APPRENTIS SORCIERS»
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DES SCIENTIFIQUES AMÉRICAINS ONT MIS AU POINT UN NOUVEAU VIRUS 100% MORTEL
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7 MARS 2014 DALYMAIL.CO.UK
 
Un nouveau virus mortel pour l’homme a été mis au point par des scientifiques dans le cadre d’un projet du gouvernement américain.
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La variante génétiquement modifiée de la variole est si dangereuse que, pour l’instant, aucune vaccination ne peut la combattre.
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Le virus a été découvert alors que les scientifiques ont travaillé sur une forme mortelle de «MOUSEPOX».
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Ce virus a tué 100% des souris, même si elles ont été soignées par des médicaments antiviraux, ainsi que par vaccin normalement censé les protéger.
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GRIPPE AVIAIRE H7N9
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DES SCIENTIFIQUES VONT CRÉER DES FORMES PLUS DANGEREUSES DE H7N9
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7 AOÛT 2013 LE MONDE
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Des virologues ont annoncé mercredi 7 août qu'ils comptaient créer des formes mutantes et plus dangereuses du virus de la grippe aviaire H7N9, afin d'évaluer plus facilement les risques de pandémie que représenterait sa transmissibilité d'un humain à l'autre. Le virus H7N9, qui a pour la première fois été diagnostiqué chez l'être humain en février, a infecté au moins 133 personnes, pour la plupart en CHINE et à TAÏWAN, et en a tué 43 personnes, selon les derniers chiffres en date de l'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS).
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Les virologues RON FOUCHIER et YOSHIHIRO KAWAOKA seront en charge de ce projet, qui sera mené dans plusieurs laboratoires à travers le monde. Dans un article publié dans les revues de référence SCIENCE ET NATURE, au nom des 22 scientifiques qui mènent le projet, Ron Fouchier explique que ces recherches tentent d'aller plus vite que la nature, en identifiant les combinaisons de mutations génétiques susceptibles de permettre une telle transmissibilité du virus.
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INQUIÉTUDE DES AUTORITÉS
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«Ce virus H7N9 a certainement plusieurs caractéristiques d'un virus pandémique, et il lui manque aussi certainement au moins une ou deux des caractéristiques observées dans les virus pandémiques du siècle dernier», affirme RON FOUCHIER. «L'étape la plus logique, c'est donc désormais de provoquer ces mutations manquantes en premier», a-t-il ajouté.
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Cette identification a pour but de permettre aux chercheurs et aux autorités sanitaires de mieux évaluer la dangerosité d'un virus et la nécessité de développer des médicaments, des vaccins et d'autres défenses médicales. Ce type de recherches, déjà effectuées en 2011 sur le virus H5N1, a cependant provoqué par le passé l'inquiétude des AUTORITÉS DE RÉGULATION DE BIOSÉCURITÉ DES ETATS-UNIS (NSABB), qui ont tenté de censurer leur publication par crainte qu'elles soient employées à des activités bioterroristes.
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«La nature est la plus grande menace contre nous, pas ce que nous faisons dans le laboratoire», estime RON FOUCHIER. «Il y a des couches et des couches et des couches de sécurité biotechnologique, de façon à ce qu'en cas de rupture de l'une d'entre elles, les autres empêcheront toute échappée de ce virus».
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GRIPPE AVIAIRE H5N1
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UN VIRUS OGM MUTANT DE GRIPPE AVIAIRE CRÉÉ EN CHINE INQUIÈTE LES EXPERTS
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3 MAI 2013 FRANCETVINFO
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Une équipe de scientifiques chinois a fabriqué un virus hybride de la grippe H5N1 ayant le «potentiel» de muter encore pour contaminer l'homme.
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L'épidémie de GRIPPE AVIAIRE qui sévit en ce moment dans plusieurs provinces chinoises ne semble pas contenter la communauté scientifique chinoise. Une équipe de l'ACADÉMIE DES SCIENCES AGRICOLES CHINOISE et de l'UNIVERSITÉ AGRICOLE DU GANSU a annoncé, jeudi 2 mai dans la revue américaine SCIENCE (en anglais), avoir donné naissance à un nouveau type de virus mutant de la grippe aviaire. Leur expérimentation inquiète nombre d'experts.
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QU'EST-CE QUE CE VIRUS MUTANT ?
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Le virus hybride créé en CHINE résulte d'un mélange de gènes de la souche H5N1 du VIRUS DE LA GRIPPE AVIAIRE, et de la H1N1, responsable de la pandémie de 2009-2010. La première peut être transmise aux humains par des oiseaux, mais ne peut se transmettre d'humain à humain. La seconde, apparue au MEXIQUE, s'avère elle très contagieuse. Le mélange se révèle donc potentiellement dangereux, d'autant qu'il pourrait muter encore et contaminer l'homme.
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Le virus créé en laboratoire s'est déjà avéré facilement transmissible entre cochons d'Inde, via les voies respiratoires, comme les scientifiques à l'origine de l'expérience entendaient le démontrer. Selon eux, le si redoutable virus H5N1 n'aurait donc besoin que d'une simple mutation génétique pour être en mesure de se communiquer d'un mammifère à un autre.
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POURQUOI L'AVOIR CRÉÉ ?
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Selon ROBERT May, ancien président de l'ACADÉMIE DES SCIENCES BRITANNIQUE, cité par THE INDEPENDENT (en anglais), les chercheurs chinois ont créé le virus «pour aider à mettre au point des vaccins». La chaîne FOX NEWS (en anglais) explique de son côté que l'étude a été élaborée pour imiter la façon dont les mutations de la grippe se font dans la nature et les prévenir. Cette expérience fait penser à UNE AUTRE EXPÉRIMENTATION, SURVENUE EN 2012. Une équipe néerlandaise avait lui aussi mis au point un virus ultra dangereux.
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Mais de nombreux experts émettent des doutes quant à cette expérimentation chinoise. Pour ROBERT MAY, les chercheurs ont ainsi surtout cédé à «une ambition aveugle et sans aucun bon sens».
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QUE REDOUTENT LES SCIENTIFIQUES ?
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Certains spécialistes redoutent en effet que cette expérience ne donne le coup de pouce nécessaire à la nature pour créer des mutants potentiellement incontrôlables. «Ce sont des virus créés par l'homme, ils n'ont jamais été fabriqués par la nature. Ils sont conservés dans un congélateur», détaille le virologue SIMON WAIN-HOBSON, de l'INSTITUT PASTEUR. «Si quelqu'un commettait une erreur, ou qu'il y ait une fuite ou quelque chose de ce genre, le virus pourrait contaminer les gens et provoquer entre 100 000 et 100 millions de morts», insiste-t-il.
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D'autres experts estiment que la création d'un tel VIRUS OGM n'aide pas à la recherche d'un vaccin ou d'un traitement et ne serait sans doute pas au point avant la survenue d'une épidémie.
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UN SUPERVIRUS MORTEL CRÉÉ À PARTIR DE CELUI DE LA GRIPPE AVIAIRE
29 NOVEMBRE 2011 MAXISCIENCES
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Un groupe de scientifiques menés par le virologue RON FOUCHIER vient d'annoncer qu'ils étaient parvenus à créer un supervirus à partir de la souche H5N1 responsable de la grippe aviaire. Fortement contagieux et mortel, ce microorganisme serait capable d'éliminer des millions de personnes.
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La nouvelle a créé l'inquiétude et un vif débat dans la communauté scientifique. Depuis peu, un groupe de scientifiques mené par RON FOUCHIER un virologue du CENTRE MEDICAL ERASMUS aux PAYS-BAS tente de faire publier les travaux qu'ils viennent d'achever. Mais la communauté scientifique est loin de les laisser faire. Le problème : le résultat de leurs travaux. Alors qu'ils menaient des recherches afin de mieux comprendre le virus H5N1 responsable de la grippe aviaire, ceux-ci en sont arrivés à créer un supervirus mortel et encore plus contagieux que le microorganisme originel.
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En effet, la souche actuelle de H5N1 a jusqu'à aujourd'hui entrainé la mort d'environ 500 personnes mais elle n'est pas assez contagieuse pour provoquer une pandémie mondiale. Au cours de leur étude, RON FOUCHIER et ses collègues ont découvert que cinq mutations génétiques ajoutées au virus étaient suffisantes pour qu'il se propage bien plus facilement. Le virologue a ainsi avoué que l'organisme qu'ils avaient conçu était «l'un des virus les plus dangereux que l'on pouvait créer», cite le DAILY MAIL. Selon les experts, il serait même tout à fait capable de se répandre et de causer des millions de morts, s'il venait à sortir du laboratoire.
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Mais pourquoi créer une telle menace ? Le virologue néerlandais a expliqué que le but de leurs recherches était de préparer l'humanité à l'éventualité qu'un tel supervirus apparaisse dans la nature, afin que les scientifiques entrevoient ainsi un moyen de le combattre et sache comment élaborer un vaccin. Toutefois, les capacités du virus effraient bien plus comparé à cet objectif aussi louable soit-il. Les spécialistes craignent notamment, qu'en publiant leur recette, les chercheurs ne permettent à certains de transformer le virus en arme biologique de destruction massive.
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«COMPARÉ À LUI, L'ANTHRAX NE FAIT PAS DU TOUT PEUR»
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Avec toutes les informations, il serait alors possible de recréer le virus, théoriquement du moins : «ce n'est vraiment pas difficile, si l'on possède assez d'argent, un certain savoir-faire et un laboratoire moderne», confirme l'immunologue bernois BEDA STADLER cité par 20 MINUTES.CH. «Je ne connais aucun organisme pathogène qui fasse aussi peur que celui-là. Comparé à lui, l'ANTHRAX ne fait pas du tout peur», a confié pour sa part PAUL KEIM, le président de NATIONAL SCIENCE ADVISORY BOARD FOR BIOSECURITY (NSABB), organisme qui est justement chargé de relire l'étude que souhaite publier les chercheurs. Toutefois, le NSABB n'est pas en mesure d'interdire la publication, il peut seulement demander aux revues de la refuser.
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Expert de la grippe et des défenses biologiques, MICHAEL OSTERHOLM qui est aussi directeur du CENTER FOR INFECTIOUS DISEASE RESEARCH AND POLICY à l'UNIVERSITÉ DU MINNESOTA, reconnait quant à lui que les travaux ont une réelle importance médicale. S'il ne semble donc pas s'opposer à leur publication, il suggère néanmoins que certaines informations soient dissimulées et ne soient dévoilées qu'à ceux qui en ont réellement besoin. «Nous ne voulons pas donner à des personnes malintentionnées une carte routière de comment transformer un microbe mauvais en microbe très mauvais», a t-il ajouté toujours cité par le DAILY MAIL.
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VIRUS ÉGARÉS
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9 MARS 2017
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CRISE À L'INSTITUT PASTEUR : INCIDENTS EN SÉRIE AVEC DE DANGEREUX VIRUS

8 MARS 2017 LE PARISIEN /
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LE CÉLÈBRE ORGANISME DE RECHERCHE FAIT L'OBJET D'UNE ENQUÊTE JUDICIAIRE. En cause : le transport et la conservation d'un virus dangereux sont pointés du doigt.
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Manipulationet transport clandestin d'échantillons de virus dangereux, perte de tubes contenant des bactéries potentiellement mortelles, ordinateurs volés pouvant stocker des données confidentielles à risque... A l'INSTITUT PASTEUR, la liste des manquements et anomalies en termes de police sanitaire est longue. Selon nos informations, un de ces nombreux incidents a conduit le PARQUET DE PARIS à ouvrir une enquête préliminaire le 19 décembre 2016. L'affaire, très embarrassante pour cette illustre FONDATION FRANÇAISE à la pointe de la lutte contre les maladies infectieuses, fait suite à un signalement (ARTICLE 40 DU CODE DE LA PROCÉDURE PÉNALE) de l'AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ DU MÉDICAMENT ET DES PRODUITS DE SANTÉ (ANSM), fin octobre. L'INSTITUT avait tout simplement oublié de signaler l'incident à l'autorité sanitaire, comme la loi le lui impose.
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A l'origine, un grave dysfonctionnement de transport de MOT, comme on appelle dans le jargon scientifique les micro-organismes et toxines.
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VOYAGE DANS UNE BOÎTE DE COSMÉTIQUE
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Le 11 octobre 2015, une scientifique de l'INSTITUT PASTEUR DE CORÉE a transporté clandestinement, à bord d'un vol SÉOUL-PARIS, trois tubes d'échantillon de MERS CORONAVIRUS, un virus potentiellement mortel, transmissible par le chameau et apparu pour la première fois en 2012 au MOYEN-ORIENT. Mais le plus grave reste à venir. Le virus, soigneusement rangé dans une petite boîte bleue de produit cosmétique, est resté ensuite sur l'étagère du bureau d'un chercheur de l'INSTITUT sans aucune précaution sanitaire, du 16 au 23 octobre, soit une longue semaine. Tout ceci en dépit des règles nationales strictes du CODE DE LA SANTÉ publique ou internationales relatives au transport garantissant la sécurité autour des «opérations sur les MOT».
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DES ÉCHANTILLONS DU DANGEREUX MERS CORONAVIRUS ONT ÉTÉ TRANSPORTÉS DE FAÇON CLANDESTINE ET MAL CONSERVÉS UNE FOIS ARRIVÉS À L’INSTITUT PASTEUR.
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L'histoire est longtemps restée secrète, la direction de l'INSTITUT prenant la décision de détruire en douce les trois échantillons du virus sans en informer au préalable l'autorité sanitaire et sans même déclarer l'incident sous les 48 heures, comme l'impose la loi. Le pot au rose n'a été révélé qu'un an plus tard par une fuite opportune dans la presse coréenne. Ce qui a immédiatement provoqué un véritable vent de panique au MINISTÈRE DE LA SANTÉ où CHRISTIAN BRÉCHOT, le DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L'INSTITUT PASTEUR, a été convoqué dès le lendemain des révélations. Le responsable a reconnu la non-déclaration de l'incident de MOT, passible de 350 000 euros d'amende et cinq ans d'emprisonnement.
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2 349 TUBES DE SRAS PERDUS EN 2014
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Contacté mardi, CHRISTIAN BRÉCHOT se défend de tout risque sanitaire. «Les échantillons qui sont arrivés avaient subi un traitement d'inactivation et ne présentaient donc pas de risque de contamination. L'erreur est de ne pas avoir effectué de déclaration auprès de l'ANSM avec laquelle nous travaillons ensemble pour améliorer les choses.»
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Une défense qui n'a visiblement pas satisfait en octobre dernier l'ANSM. L'autorité sanitaire a dégainé un article 40, aujourd'hui à l'origine de cette enquête préliminaire confiée aux policiers de la DIRECTION RÉGIONALE DE LA POLICE JUDICIAIRE. «L'absence de déclaration n'a pas permis la mise en œuvre de mesures de police sanitaires immédiates permettant d'évaluer avec certitude, le danger de la situation, ni le déploiement éventuel de mesures de protection des populations» observe l'ANSM dans son rapport d'investigation transmis à la justice que nous avons pu consulter.
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DÉFAUT D'INVENTAIRE DE TUBES D'EBOLA
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Il faut dire que l'INSTITUT PASTEUR n'est pas à sa première dissimulation. EN 2014, IL AVAIT PERDU 2 349 TUBES DE SRAS, une maladie infectieuse causée par un virus, et avait attendu... deux mois pour prévenir l'ANSM.
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Dans un rapport daté de février dernier que nous avons pu consulter, l'INSPECTION GÉNÉRALE DES AFFAIRES SOCIALES (IGAS) recommande à l'INSTITUT de «définir et engager sans délai un plan d'action en vue de garantir la traçabilité de la gestion et le respect de la réglementation sanitaire en matière d'échantillons biologiques». Il faut dire qu'en février dernier, un nouvel incident d'opération de MOT a eu lieu. Après avoir constaté un incident de cadenas dans un congélateur de MOT, un écart d'inventaire de dix tubes de VIRUS EBOLA a été constaté, sans que l'on puisse établir un lien entre le défaut de fermeture du congélateur et l'incident. Mais cette fois, l'INSTITUT PASTEUR a déclaré sous les 48 heures l'anomalie à l'autorité sanitaire...
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BACTÉRIE MORTELLE RETROUVÉE HORS
D'UN LABORATOIRE
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2 MARS 2015 ROMANDIE
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Les autorités de LOUISIANE, aux ÉTATS-UNIS, cherchent à savoir comment une bactérie dangereuse et souvent mortelle s'est retrouvée à l'extérieur du laboratoire d'un centre de recherche de haute sécurité. La bactérie est classée comme agent pouvant être utilisé pour le BIOTERRORISME.
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L'incident est sans doute survenu en novembre 2014 ou plus tôt au NATIONAL PRIMATE RESEARCH CENTER de TULANE, situé à environ 80 kilomètres de La NOUVELLE-ORLÉANS, a rapporté dimanche le journal «USA TODAY». L'étendue de la contamination demeure inconnue, mais les autorités affirment que la population ne court aucun risque.
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Le laboratoire travaille sur un vaccin contre cette bactérie. Cette dernière est appelée BURKHOLDERIA PSEUDOMALLEI ou BACILLE DE WHITMORE. On la trouve principalement en ASIE DU SUD-EST et dans le nord de l'AUSTRALIE. Elle peut se transmettre à l'homme et à l'animal par contact avec un sol ou de l'eau contaminé.
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Les autorités ont indiqué que la bactérie n'avait pas été détectée sur les terrains appartenant au centre, même si quatre singes rhésus gardés dans des enclos extérieurs sont tombés malades. Deux d'entre eux ont été euthanasiés, selon «USA TODAY».
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INSPECTRICE MALADE
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Une inspectrice fédérale est également tombée malade après avoir visité le centre, mais il est possible qu'elle ait été exposée à la bactérie avant sa visite, car elle a effectué plusieurs voyages à l'étranger. Selon le centre de recherche, les singes auraient été infectés lors d'un traitement à l'hôpital vétérinaire du complexe.
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Le directeur du laboratoire a indiqué que 39 échantillons de sol et 13 échantillons d'eau provenant des terrains de l'établissement avaient été testés, sans qu'aucune trace de la bactérie ne soit détectée. Mais selon «USA TODAY», trop peu d'échantillons ont été testés pour que cette bactérie, difficile à détecter, puisse être trouvée.
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Des responsables jugent nécessaire que les investigations se poursuivent, rapporte le quotidien.
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«Le fait qu'ils ne puissent pas établir comment cette diffusion a pu intervenir est très préoccupant», a déclaré à «USA TODAY» RICHARD EBRIGHT, un expert en sécurité biologique de la RUTGERS UNIVERSITY, dans le NEW JERSEY.
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DES FIOLES CONTENANT LE VIRUS DE LA VARIOLE RETROUVÉES PAR HASARD DANS UN LOCAL DE RANGEMENT
8 JUILLET 2014 FRANCETVINFO
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Les fioles ont été découvertes début juillet dans des locaux de l'AGENCE AMÉRICAINE DES MÉDICAMENTS, à l'occasion d'un déménagement. Elles doivent désormais être détruites.
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Extrêmement contagieux et potentiellement mortel, le virus a été retrouvé dans un recoin d'un local de rangement, au hasard d'un déménagement. Le FBI enquête sur la découverte à l'AGENCE AMÉRICAINE DES MÉDICAMENTS (FDA) de fioles contenant le VIRUS DE LA VARIOLE, ont annoncé mardi 8 juillet les autorités.
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Le nom de la maladie était inscrit sur les étiquettes des fioles, conservées dans la banlieue de WASHINGTON et qui semblent dater des années 50, ont précisé les CENTRES FÉDÉRAUX DE CONTRÔLE ET DE PRÉVENTION DES MALADIES (CDC). Pour l'instant, rien ne dit qu'elles aient été ouvertes.
Le dernier cas repéré en 1977

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Les fioles ont été transportées vers un laboratoire ultra-sécurisé à ATLANTA, où vont être menées des analyses pour déterminer si le virus est encore viable ou capable de de se développer. Si tel est le cas, les autorités demanderont l'assistance de l'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ pour les détruire.
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Seuls deux lieux de stockage dans le monde ont été homologués par des accords internationaux pour conserver des échantillons de la VARIOLE, éradiquée grâce à un programme mondial de vaccination. Le dernier cas a été repéré en SOMALIE en 1977.
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SRAS : L'INSTITUT PASTEUR À PARIS A PERDU DES TUBES CONTENANT DU VIRUS, MAIS PAS DE DANGER
13 AVRIL 2014 HUFFINGTONPOST
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L'INSTITUT PASTEUR à PARIS a annoncé dimanche avoir perdu des tubes contenant des fragments du VIRUS DU SRAS (SYNDROME RESPIRATOIRE AIGU SÉVÈRE) TOUT EN SOULIGNANT QU'ILS N'AVAIENT «AUCUN POTENTIEL INFECTIEUX».
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Dans un communiqué, l'Institut précise avoir constaté la perte de ces tubes «dans le cadre des procédures d'inventaire réglementaires habituelles». Il ne précise pas le nombre de tubes perdus mais indique que leur perte témoigne «d'un défaut de traçabilité sur certains échantillons».
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Après «enquête approfondie», l'INSTITUT a contacté l'AGENCE DU MÉDICAMENT (ANSM) qui a déclenché une enquête ayant donné lieu «à des investigations sur place, dans le laboratoire concerné, du 8 avril à ce jour».
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Les conclusions des experts indépendants saisis par les autorités sanitaires sont rassurantes : ils ont qualifié de «nul» le potentiel infectieux des tubes perdus «au regard des éléments disponibles et des éléments connus de la littérature sur la survie du VIRUS SRAS». «Les tubes considérés n'ont aucun potentiel infectieux», conclut l'INSTITUT PASTEUR.
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En 2003, une pandémie de SRAS, partie de CHINE, avait touché quelque 8000 individus et causé la mort de plus de 800 personnes, principalement en ASIE. Les symptômes du SRAS ressemblent à ceux d'une pneumonie, avec une fièvre élevée et divers problèmes respiratoires.
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UNE FIOLE CONTENANT LE VIRUS GUANARITO DISPARAÎT D'UN LABORATOIRE AMÉRICAIN
26 MARS 2013 HUFFINGTONPOST
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Surtout ne paniquez pas. Ce n'est pas pour vous inquiéter mais une fiole contenant le VIRUS GUANARITO, capable d’engendrer une grave fièvre hémorragique, a disparu d’un laboratoire hautement sécurisé du TEXAS, aux ÉTATS-UNIS.
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Dans un communiqué diffusé le 23 mars, le PRÉSIDENT DE L’ÉCOLE MÉDICALE DE L’UNIVERSITÉ DU TEXAS, DAVID CALLENDER, a expliqué que l’équivalent de «moins du quart d’une petite cuillère» de ce virus était introuvable dans le congélateur pourtant fermé à clé qui se trouve dans les locaux sécurisés du GALVESTON NATIONAL LABORATORY. Une disparition mise au jour grâce à une inspection qui s’est déroulée le 20 et 21 mars.
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«Le système de sécurité des locaux n’a pas été forcé et il n’y a pour le moment aucun signe de méfait», a ajouté CALLENDER. «Il est fort possible, mais cela reste à confirmer, que la fiole ait été détruite au cours d’une procédure classique de stérilisation».
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Le directeur scientifique du laboratoire, SCOTT WEAVER, a quant à lui affirmé au journal THE HOUSTON CHRONICLE, que le contenant pourrait s’être collé à un gant puis s’être brisé au sol avant d’être détruit grâce à la procédure de nettoyage et de décontamination classique du laboratoire.
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UN MICRO-ORGANISME SOUS TRÈS HAUTE SURVEILLANCE
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La fiole, qui renfermait ce que l’on appelle couramment la fièvre hémorragique du VENEZUELA, était contenue dans un laboratoire P4. Une classification réservée aux locaux susceptibles d'abriter des micro-organismes très pathogènes et très dangereux (taux de mortalité très élevé en cas d'infection, absence de vaccin protecteur, etc.).
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D’après le site internet RAW STORY, ce virus pourrait être transformé en arme biologique s’il venait à être utilisé avec un aérosol. Sachant que le taux de mortalité de ce micro-organisme est de 33% pour un adulte, on comprend aisément les mesures de sécurité prises pour protéger ces locaux du TEXAS.
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Une fois contaminé par le virus, l'être humain développe plusieurs des symptômes typiques d'une fièvre hémorragique : fièvre élevée, épuisement et hémorragies au niveau des muqueuses (bouche, yeux, nez, anus).
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Cependant, d’après le CENTER FOR DISEASE CONTROL AND PREVENTION («CENTRE POUR LE CONTRÔLE ET LA PRÉVENTION DES MALADIES», en français), le VIRUS GUANARITO se transmet rarement d’une personne à l’autre. De plus, les êtres humains contractent généralement le virus au contact de sécrétions de rongeurs infectés uniquement originaires du VENEZUELA.
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H5N1, LE VIRUS LE PLUS DANGEREUX DU MONDE
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La disparition de cette fiole ne devrait donc pas poser de problème majeur de santé aux ÉTATS-UNIS ni chez nous mais remets en question la sécurité d'autres souches encore plus dangereuses.
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Cela pourrait ainsi forcer certains scientifiques à revoir leur ambition de reprendre les recherches — arrêtées début 2012 — sur une mutation du H5N1, le micro-organisme responsable de la GRIPPE AVIAIRE, considérée comme plus dangereuse que l’ANTHRAX.
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Fin 2011, le virus — normalement uniquement transmissible de l’animal à l’homme — avait subi aux PAYS-BAS plusieurs mutations avant de devenir transmissible par voie respiratoire d’homme à homme. Cette transformation avait alors fait l’objet d’un moratoire après avoir créé la panique dans plusieurs pays, dont les ÉTATS–UNIS, à cause des conséquences dramatiques qu’elle pourrait avoir si elle venait à tomber entre de mauvaises mains.
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Mais recherche oblige, une quarantaine de chercheurs ont cependant décidé en janvier 2013 de mettre fin à ce moratoire instauré un an plutôt estimant que «les bénéfices surpassent les risques». Les risques de voir un scénario comme celui du film CONTAGION se réaliser...
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LES ETATS-UNIS ONT PERDU 9200 FIOLES CONTENANT DES AGENTS PATHOGÈNES COMME LE VIRUS EBOLA, L’ANTHRAX, DES TOXINES BOTULIQUES…
18 JUIN 2009 WASHINGTON POST
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Plus de 9000 fioles contenants des agents pathogènes se sont avérées manquantes lors d’un inventaire effectué par l’armée américaine. Ces fioles qui étaient entreposées au FORT DETRICK et contenaient toutes des toxines extrêmement dangereuses.
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Après quatre mois de recherche, les enquêteurs ont constaté que 9220 échantillons n’ont pas été référencés dans la base de données, qui en répertorient 66.000.
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Les fioles contenaient des agents pathogènes dangereux tels que le VIRUS EBOLA, le CHARBON, les TOXINES BOTULIQUES, le VIRUS DE L’ENCÉPHALITE ÉQUINE DU VENEZUELA qui cause la tularémie.
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Les fioles étaient entreposées dans un dispositif réfrigéré dédié à la conservation d’agents pathogènes. La plupart de ces fioles n’étaient pas utilisées depuis des années.
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Un officiel de l’armée américaine a indiqué : «Je ne peux pas vous dire si les fioles ont quitté le laboratoire, nous pensons que c’est une situation inédite»
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RICHARD EBRIGHT, professeur à l’UNIVERSITÉ DE RUTGERS, spécialiste en bio-sécurité est extrêmement choqué par la disparition de ces fioles «9000 fioles (disparues dans un laboratoire de l’armée)…c’est extraordinaire…si un petit nombre avait disparu, cela aurait été angoissant…mais là 9200…dans une institution qui prétend assurer une sécurité maximale à ce sujet. C’est profondément inquiétant …c’est inacceptable»
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