25/09/2018
ALEXANDRE BENALLA UN BARBOUZE À L'ÉLYSÉE
ALEXANDRE BENALLA UN BARBOUZE À L'ÉLYSÉE
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Il ne faut pas qu’on dérive vers un système où il y aurait une sorte de toute-puissance de l’Élysée, sans frein, un président tout-puissant, un gouvernement subordonné, une majorité parlementaire déférente
[...] La maladie du pouvoir, c'est l'abus de pouvoir. C'est pour ça qu'il y a des Constitutions.
PHILIPPE BAS Sénateur
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21 JUILLET 2018 LE PARISIEN /
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En NORMANDIE où il a grandi et commencé à jouer les gros bras, ALEXANDRE BENALLA a laissé l’image d’un ambitieux prêt à tout.
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Il a passé son enfance et son adolescence dans la «ZUP» DE LA MADELEINE, le quartier sensible, symbole d’une rénovation urbaine révolue à ÉVREUX (EURE). «ALEXANDRE» BENALLA, 26 ans, en charge de la protection très rapprochée d’EMMANUEL MACRON est né en septembre 1991 dans cette ville, une arrière-cour de la banlieue parisienne.
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Originaire du MAROC, lui qui aurait modifié son prénom pour le franciser, n’a pas laissé le souvenir du solide gaillard aux épaules larges qu’on lui connaît après les images de l’agression commise sur un manifestant le 1er mai dernier à Paris sur la place de la CONTRESCARPE.
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«Il était plutôt fluet et mince. Presque trop discret. Mais à la réflexion, il se rêvait toujours en garde du corps. Il était fasciné par le film BODYGUARD avec KEVIN COSTNER et WHITNEY HOUSTON. Et pour s’entraîner, il levait de la fonte comme un damné», se souvient cet ancien régisseur d’une salle de sport à ÉVREUX. Très vite celui qui se fait déjà appeler «BEN» marche dans les traces de la politique à ÉVREUX.
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Sa famille milite au PS local et lui, dès 2010, entre au MOUVEMENT DES JEUNES SOCIALISTES (MJS) à 19 ans. Dans ce département rural et industriel, il choisit de mettre sa carrure au service des personnalités locales. «Il faisait de la protection haut de gamme pour des gens qui estimaient en avoir besoin», rapporte MARC-ANTOINE JAMET, LE MAIRE SOCIALISTE DE VAL-DE-REUIL dans PARIS-NORMANDIE.
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«IL RÊVAIT D’ÊTRE INDISPENSABLE AUX STARS»
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Cette carrure imposante, «Ben» l’a acquise au rugby à l’adolescence après avoir changé plusieurs fois d’établissements. D’abord au COLLÈGE FOCH de L’AIGLE dans l’ORNE entre 2001 et 2005, il acquiert une réputation de bagarreur violent, selon un ancien élève.
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Il finit sa terminale au LYCÉE AUGUSTIN-DE-FRESNEL À BERNAY (EURE) en 2009 où il «explose au rugby» selon un de ses compagnons de bancs toujours joueur. «C’était surtout pour s’imposer aux autres et auprès des filles. Il rêvait d’être indispensable aux stars», assure-t-il.
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Il sera même quelques jours le garde du corps du couple GUILLAUME CANET MARION COTILLARD lors du FESTIVAL DE CINÉMA DE DEAUVILLE, selon le journal L’ÉVEIL NORMAND. [...]
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23 JUILLET 2018 JOVANOVIC.COM /
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Allez, mettons les pieds dans le plat puisque aucun média n'a osé formuler ce qui se dit vraiment dans le milieu policier (et même
dans la presse parisienne), et en particulier dans les services de protection.
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VOICI LE CAS DE LIBÉRATION (GROUPE DRAHI ALTICE COMME BFM) :
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«Maintenant c’est LIBÉRATION qui, à son tour, bénéficie de l’aide providentielle de «GORGE PROFONDE».
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IL FAUT LIRE ATTENTIVEMENT L’ÉDITORIAL QUE LAURENT JOFFRIN CONSACRE À L’AFFAIRE. IL NOTE – ET C’EST L’ÉVIDENCE :
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«qu’EMMANUEL MACRON est protégé par des dizaines de policiers spécialisés. Quel besoin avait-il d’un ALEXANDRE BENALLA ? Sauf à ce qu’il rende des services particuliers... Une preuve parmi d’autres : le boulet de l’ÉLYSÉE habite dans une résidence appartenant à la PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE. Une autre preuve : il accompagne toujours MACRON dans ses déplacements privés, à la mer, à la montagne...».
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Bref les allusions sont... lourdes et MACRON aura beaucoup de difficultés à s'en défaire.
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VOICI UN AN, LE TELEGRAPH DE LONDRES AVAIT RAPPELÉ LES PROPOS DE FRÉDÉRIC MITTERRAND :
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«French former culture FREDERIC MITTERRAND has suggested that PRESIDENT MACRON fired the head of state radio to end rumours the pair had a homosexual affair»
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UN POLICIER DES «SERVICES» :
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«depuis plus d'un an je n'entends que ça... les collègues en parlent à mots couverts, mais là, vu tous les privilèges que MACRON a donné à BENALLIA, ça dépasse l'entendement ! C'est même du jamais vu, vu qu'il n'est ni un ex du GIGN, ni de la PN, ni des CRS, ou même militaire. De plus, ce petit cowboy a jeté le discrédit sur tous les policiers» . [...]
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23 JUILLET 2018 LE POINT /
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Un proche d'EMMANUEL MACRON confie à «L'OPINION» qu'ALEXANDRE BENALLA «vivait dans l'intimité du couple présidentiel», confirmant sa proximité avec le PRÉSIDENT.
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L'OPINION confirme ce lundi 23 juillet qu'EMMANUEL MACRON plaçait une grande confiance en son collaborateur, allant jusqu'à lui confier les clés de la villa du TOUQUET, dont sa femme est propriétaire. Une résidence secondaire et familiale qui tient de l'intime et dans laquelle le couple se rend régulièrement. C'est ce que confie au quotidien un proche d'EMMANUEL MACRON : «Ses compétences ne sont sans doute pas la bonne explication : BENALLA avait des fonctions subalternes, mais il vivait dans l'intimité du couple présidentiel. Il a donc eu à connaître des choses qui font qu'il avait un statut réel auprès du président, bien supérieur à son statut sur le papier» ALEXANDRE BENALLA a en effet été de tous les voyages du couple MACRON : il était présent lors de leurs vacances à MARSEILLE en août 2017, mais aussi pendant leur séjour à LA MONGIE, dans les PYRÉNÉES, en décembre 2017. [...]
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23 JUILLET 2018 BFMTV /
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D'autant que depuis les premières révélations sur cette affaire, le président n'a pas hésité à décrocher son téléphone pour parler à ALEXANDRE BENALLA, croit savoir le JDD. «J’espère qu’il ne le tient pas par les c*******», lâche auprès de L'OPINION un proche du chef de l'Etat.
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29 JUILLET 2018 CLOSER /
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Interrogé par le JDD, ALEXANDRE BENALLA, protagoniste de l'affaire politique qui porte désormais son nom, revient sur l'enfance difficile qu'il a vécue à ÉVREUX, tiraillée entre une mère pauvre et un père absent.
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ALEXANDRE BENALLA n'a pas eu une enfance facile. C'est en tout cas ce que le protagoniste principal de l'affaire politique, médiatique et judiciaire qui porte son nom a tenté de faire savoir dans une interview qu'il a accordée au JOURNAL DU DIMANCHE. L'ex-bras droit d'EMMANUEL MACRON, récemment mis en examen après avoir violemment molesté des manifestants du 1er-Mai à PARIS, est revenu sur les rapports qu'il a entretenus avec son père absent.
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«Je ne l'ai pas connu. Il a essayé de m'enlever trois fois. On a dû me cacher chez ma tante» se rappelle ALEXANDRE BENALLA. Le désormais paria de l'ÉLYSÉE raconte avoir vécu à LA MADELEINE, une ZUP d'EVREUX, dans un petit 15m2 aux côtés de sa mère et de ses frère et sœur : «La fenêtre donnait sur la maison d'arrêt, on s'habillait au SECOURS POPULAIRE». Turbulent et provocateur à l'école, ALEXANDRE BENALLA pouvait être aussi «bon» que «clown».
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CULOTTÉ DÈS SON PLUS JEUNE ÂGE
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C'est à 15 ans que la vie d'ALEXANDRE BENALLA prend un tournant inédit. Culotté, le jeune adolescent écrit à NICOLAS SARKOZY en personne et lui réclame un stage d'observation au RAID. Bien qu'il ne l'obtienne pas, ALEXANDRE BENALLA hérite toutefois de trois jours au Service de protection des hautes personnalités. Un premier essai concluant pour celui qui, bien des années plus tard, est devenu le cowboy numéro un d'EMMANUEL MACRON.
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ALEXANDRE BENALLA «IL NY A PAS DE COUP SUR LA NUQUE JESSAIE DE LE MAITRISER» TF1 27 JUILLET 2018
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13 SEPTEMBRE 2018 PUBLIC SENAT /
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EMMANUEL MACRON a appelé GÉRARD LARCHER pour se plaindre des travaux de la commission d’enquête, au risque d’alimenter lui-même le feuilleton. JEAN-PIERRE SUEUR, co-rapporteur de la commission, ne «veut pas croire que le Président puisse faire un quelconque obstacle au bon déroulement des travaux».
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Ce n’était pas un coup de fil de courtoisie. Mardi soir, EMMANUEL MACRON a appelé GÉRARD LARCHER pour se plaindre de la tournure que prend la cOMMISSION D’ENQUÊTE DU SÉNAT sur l’AFFAIRE BENALLA, dénonçant un «déséquilibre institutionnel», selon L’OBS. L’appel, qui a été confirmé à PUBLIC SÉNAT par l’entourage du PRÉSIDENT DE LA HAUTE ASSEMBLÉE, a été donné la veille de la reprise des auditions. Selon RTL, le chef de l’Etat n’aurait pas apprécié une déclaration de PHILIPPE BAS, PRÉSIDENT LR DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE, qui aurait affirmé que «le Parlement contrôle l’exécutif».
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Au-delà du débat de fond sur la séparation des pouvoirs (voir notre article), cet appel montre que la tension monte encore d’un cran. Pour EMMANUEL MACRON, affaibli cet été par l’affaire, la reprise des travaux de la commission l’empêche de tourner la page. La majorité sénatoriale en a bien conscience. Mais en appelant le deuxième personnage de l’Etat pour lui rappeler la nécessité de séparation des pouvoirs, EMMANUEL MACRON risque politiquement de montrer une forme de fébrilité.
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«Nous menons nos travaux avec une totale sérénité et ténacité»
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Face à ce coup de fil, l’institution sénatoriale fait corps à tous niveaux. Interrogé par LE FIGARO, GÉRARD LARCHER apporte son soutien à PHILIPPE BAS : «On peut lui faire confiance, il n'a pas débordé. Il gère ça comme un jardin à la française !» «Les Français devant leur téléviseur verront que le SÉNAT est une institution indépendante, sérieuse, qui va au fond des dossiers sans jamais se laisser emporter», ajoute le SÉNATEUR DES YVELINES, qui sait que son assemblée marque des points dans l’opinion, grâce à la COMMISSION.
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JEAN-PIERRE SUEUR, CO-RAPPORTEUR PS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE, entend continuer son travail. C’est ce qu’il affirme à PUBLICSENAT.FR [...]
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130 SEPTEMBRE 2018 BFMTV /
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[...] Certaines de nos images et des témoignages, notamment celui de l'un de nos journalistes, tendent à établir qu'ALEXANDRE BENALLA, à l'époque où il était chargé de mission du PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE ou travaillait pour le candidat EMMANUEL MACRON, a menacé d'intervenir auprès de reporters, essayant parfois de contrôler leur identité.
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Interrogé par la COMMISSION DES LOIS DU SÉNAT, ALEXANDRE BENALLA affirme n'avoir jamais été le garde du corps du PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE. «Je n'ai jamais été le garde du corps d'EMMANUEL MACRON, déclare-t-il. Je faisais l'interface entre le candidat et un certain nombre de personnes. J'étais un facilitateur, j'avais donc forcément une proximité physique avec lui, mais je n'étais pas son garde du corps». [...]
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QUI ÉTAIT AU COURANT ? |
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1) retenue sur salaire... qui n'a pas lieu
2) prétendue «rétrogradation» mais toujours présent sur grands événements
3) attribution appartement de fonction Quai Branly, postérieure aux incidents
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LE PRÉFET DE POLICE DE PARIS A DÉCLARÉ SOUS SERMENT QU’IL NE CONNAISSAIT PAS ALEXANDRE BENALLA... ET VOILÀ QUE LE CANARD PUBLIE UN MESSAGE DE FÉLICITATIONS APPUYÉES SIGNÉ PAR MICHEL DELPUECH ET ADRESSÉ À ALEXANDRE BENALLA ! |
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29 JUILLET 2018 RT /
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Au cours d’un entretien accordé au JOURNAL DU DIMANCHE, ALEXANDRE BENALLA revient sur la mise à pied dont il a écopé après son intervention lors d’un rassemblement du 1er mai. Il affirme avoir proposé sa démission à l’ELYSÉE qui l’aurait refusée.
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ALEXANDRE BENALLA continue de s’épancher dans les médias. Après LE MONDE et TF1, l’ex-collaborateur d’EMMANUEL MACRON revient sur la sanction infligée par l’ELYSÉE après les incidents du 1er mai, au cours d'une interview publiée ce 29 juillet dans le JOURNAL DU DIMANCHE.
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Il a confié à l’hebdomadaire s’être entretenu avec le chef de l’Etat, en marge d’une réception : «Il m’a pris à part et il m’a dit : «Tu as commis une grosse faute. Ça m’a déçu, je me suis senti trahi. Tu es sanctionné, c’est normal. Je te fais confiance, mais tu vas devoir assumer» Face à la remontrance du chef de l’Etat, ALEXANDRE BENALLA juge alors sa sanction «humiliante» et affirme avoir proposé sa démission. «J'ai dit que j'étais prêt à démissionner. On m'a répondu que ce n'était pas la peine» assure-t-il sans apporter plus de détails. [...]
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2 AOÛT 2018 VALEURS ACTUELLES /
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Trois semaines après avoir été sanctionné par ses supérieurs, ALEXANDRE BENALLA, le garde du corps d’EMMANUEL MACRON, s’est vu attribuer le 24 mai 2018 un passeport diplomatique.
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Dans l’article qu’ils consacrent le 25 juillet dernier à l’ascension d’ALEXANDRE BENALLA, ARIANE CHEMIN et FRANÇOIS KRUG, journalistes au MONDE, font les poches du garde du corps d’EMMANUEL MACRON. Et surprise, mentionnent pour la première fois l’existence d’un passeport diplomatique dans le portefeuille d’ALEXANDRE BENALLA, en sus d’un badge H permettant au collaborateur d’EMMANUEL MACRON d’accéder librement à l’ASSEMBLÉE NATIONALE.
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La liste des privilèges et des passe-droits dont bénéficie ALEXANDRE BENALLA est si importante (une RENAULT TALISMAN équipée par le garage de l’ELYSÉE, un logement de fonction au quai Branly, une accréditation SECRET DÉFENSE…), que personne ne prend le temps de relever cette information aussi invraisemblable qu’incongrue. Selon nos sources, aucun membre du GSPR ne dispose de ce genre de passeport. Et pourtant, ALEXANDRE BENALLA, qui est en charge de la sécurité du PRÉSIDENT, et notamment des déplacements privés d’EMMANUEL MACRON, bénéficie de ce précieux sésame délivré par le MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES.
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Plus troublant encore, selon les informations que VALEURS ACTUELLES a pu recueillir, le passeport diplomatique d’ALEXANDRE BENALLA lui a été attribué le 24 mai… 2018, après que l’adjoint au chef de service de l’ELYSÉE a achevé les quinze jours de suspension que lui a signifié PATRICK STRZODA, le DIRECTEUR DE CABINET DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE et après que ses prérogatives ont été limitées et circonscrites à des fonctions de logistiques auprès du PRÉSIDENT. Trois semaines donc après avoir été «sanctionné», ALEXANDRE BENALLA se voit donc délivré un passeport diplomatique.
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Etant écartée l’hypothèse d’une demande individuelle, qui, dans la chefferie élyséenne, est intervenu auprès du quai d’Orsay pour qu’il l’obtienne ? FRANÇOIS-XAVIER LAUCH, son N+1, qu’aucune des deux commissions parlementaires n’a pu à ce jour auditionner ? PATRICK STRZODA ? ALEXIS KOHLER, le SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L’ELYSÉE ? EMMANUEL MACRON lui-même ? pour quelles raisons, quand rien ne justifie dans ses fonctions qu’il puisse y prétendre ? Le mystère demeure et s’épaissit.
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20 JUILLET 2018 LE PARISIEN /
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ALEXANDRE BANELLA disposait également d’une voiture de fonction, un RENAULT TALISMAN équipé d’un gyrophare 2 tons, pour ses déplacements professionnels.
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20 JUILLET 2018 LE PARISIEN /
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Un logement qui pose question. ALEXANDRE BENALLA, le collaborateur de l’ELYSÉE mis en cause pour violences contre un manifestant le 1er mai, est domicilié au 11, quai Branly, dans un appartement appartenant au parc de l’ELYSÉE, a-t-on appris de plusieurs sources, confirmant une information du MONDE.
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Ces logements, situés dans le VIIe arrondissement de PARIS, sont souvent attribués à des opérationnels de l’ELYSÉE pour des nécessités de service.
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Mais selon LE MONDE, son emménagement officiel est daté du 9 juillet, soit bien après les faits de violences qu’on lui reproche et la mise à pied de 15 jours qu’il aurait reçue.
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Par le passé, CLAUDE GUÉANT, HENRI GUAINO ou JEAN-LOUIS GEORGELIN, CHEF D’ÉTAT-MAJOR DES ARMÉES entre 2006 et 2010, ont par exemple habité les lieux. C’est aussi là que FRANÇOIS MITTERRAND, alors PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, avait discrètement installé sa compagne ANNE PINGEOT et leur fille MAZARINE.
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23 JUILLET 2018 L'EXPRESS /
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Selon nos informations, un budget de 180 000 euros aurait été prévu afin de réunir deux appartements pour ALEXANDRE BENALLA et en faire un duplex, d'une surface de près de 200 mètres carrés. Sollicité sur ce point, l'ELYSÉE n'avait pas fait de commentaires à l'heure du bouclage.
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21 JUILLET 2018 PROFESSION GENDARME /
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Le fait qu’ALEXANDRE BENALA soit LIEUTENANT-COLONEL DE LA RÉSERVE OPÉRATIONNELLE alors qu’il n’est âgé que de 27 ans, interpelle, c’est le moins qu’on puisse dire, nombre de civils, mais surtout de réservistes. Ceux-ci sont en effet soumis à des règles d’avancement très encadrées et très précises avec des critères d'ancienneté, de notation.
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24 SEPTEMBRE 2018 MEDIAPART /
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La scène a lieu dans la nuit du 28 avril 2017, au sortir d’un meeting du candidat. Le désormais célèbre ex-collaborateur d’EMMANUEL MACRON est sollicité pour un selfie dans un restaurant. La photo est prise, et surprise : ALEXANDRE BENALLA y brandit son arme. Problème : il n’avait pas d’autorisation de port d’armes à cette date.
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31 JUILLET 2018 VALEURS ACTUELLES /
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L’EX-CHARGÉ DE MISSION AUPRÈS DE L’ELYSÉE ÉVOQUE L’INTERVENTION D'«UN AMI».
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L’affaire ALEXANDRE BENALLA connaît un nouveau rebondissement. Dans son édition du mercredi 1er août, Le CANARD ENCHAÎNÉ raconte la déconvenue des policiers venus perquisitionner le domicile de l’ancien garde du corps du chef de l’Etat. Pour cause : l’armoire forte dans laquelle ALEXANDRE BENALLA stockait ses armes était introuvable, comme volatilisée.
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NETTOYAGE EXPRESS ?
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C’est le 20 juillet dernier, en début de soirée, que les forces de l’ordre se rendent au domicile d’ALEXANDRE BENALLA, situé à ISSY-LES-MOULINEAUX, dans les HAUTS-DE-SEINE. Les policiers sont finalement contraints de repartir, le serrurier ne parvenant pas à crocheter la serrure de l’appartement. En guise de scellé, ils apposent un simple autocollant sur la porte d’entrée, témoignant selon le palmipède d’une «incroyable désinvolture».
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Revenus le lendemain, les policiers pénètrent dans le domicile d’ALEXANDRE BENALLA, mais l’armoire forte dans laquelle le proche d’EMMANUEL MACRON avait indiqué détenir des armes est introuvable. «Nettoyage express ?», s’interroge l’hebdomadaire. L’ex-chargé de mission auprès de l’ELYSÉE évoque l’intervention d’«un ami», sans que les policiers cherchent à en savoir davantage. Le 30 juillet, l’avocat du SYNDICAT POLICIER VIGI demande au juge de réclamer un réquisitoire supplétif au sujet de cette histoire douteuse. C’est justement ce jour-là qu’ALEXANDRE BENALLA retrouve ses armes et les rapporte à la justice.
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30 JUILLET 2018 VALEURS ACTUELLES / LE POINT /
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LE POINT révèle ce lundi 30 juillet que l’ex-collaborateur d’EMMANUEL MACRON était doté de plusieurs armes alors qu’il n’appartenait pas au GSPR.
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ALEXANDRE BENALLA était ce lundi 30 juillet dans les locaux du TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS. Comme le révèle LE POINT, l’ex-collaborateur d’EMMANUEL MACRON a remis ses armes au juge d’instruction. Selon les précisions de l’hebdomadaire, l’ancien chargé de mission de l’ELYSÉE possédait un arsenal impressionnant : 3 armes de poing, des GLOCK 17, 26 et 19. Les GLOCK 17 et 26 équipent notamment le GROUPE DE SÉCURITÉ DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE (GSPR). Le 19 est en dotation chez les gendarmes. Le GIGN, basé à SATORY, utilise les 3 modèles de GLOCK lors de ses entraînements.
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Cet arsenal peut surprendre alors que BENALLA n’appartenait pas au GROUPE DE SÉCURITÉ DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE (GSPR), cette unité de la POLICE NATIONALE FRANÇAISE et de la GENDARMERIE NATIONALE rattachée administrativement au SERVICE DE LA PROTECTION (SDLP). Comme le rappelle LE POINT, le jeune homme de 26 ans n’a pas caché aux enquêteurs qu’il possédait des armes, précisant qu’elles étaient en lieu sûr pour «éviter qu'elles soient volées en cas de cambriolage».
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1er AOUT 2018 VALEURS ACTUELLES / LE MONDE /
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Nouvelle vague de révélations dans l'affaire BENALLA. Ce mercredi 1er août, LE MONDE publie plusieurs des éléments réunis par les juges en charge de l'enquête judiciaire ouverte le 22 juillet. On y apprend notamment l'existence d'armes non déclarées au siège du parti EN MARCHE !.
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VINCENT CRASE ARMÉ SANS AUTORISATION
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Ainsi, après avoir nié, le 20 juillet au début de sa garde à vue, avoir porté une arme lors de la manifestation du 1er mai, l'ex-employé du parti présidentiel s'est ravisé. L'homme a expliqué avoir menti, précisant être père de famille et être «en train d’acheter une maison». «Cette affaire, si je perds mon travail, va me mettre dans une situation précaire», aurait-il dit aux enquêteurs. Et d'ajouter : «Cette arme n’est pas à mon nom, elle appartient à LRM [LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE], elle est réservée pour la défense du site LRM».
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20 JUILLET 2018 VALEURS ACTUELLES /
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L’information, éventée dans les milieux préfectoraux, a suscité de telles oppositions que le proche collaborateur d'EMMANUEL MACRON a dû renoncer.
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Selon nos informations exclusives, l’ELYSÉE a encouragé ALEXANDRE BENALLA, ADJOINT AU CHEF DE CABINET DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE et intime du couple MACRON, à soumettre sa candidature au poste de sous-préfet dans le cadre des nominations au tour extérieur.
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Mais l’information, éventée dans les milieux préfectoraux, a suscité de telles oppositions qu’ALEXANDRE BENALLA, âgé de 26 ans, a dû renoncer malgré lui à présenter sa candidature, sachant en outre que la limite d'âge inférieure est fixée légalement à 35 ans. Les privilèges dont jouissait déjà ce jeune homme, devenu lieutenant-colonel dans la réserve citoyenne et bénéficiant d’un traitement de quasi-ministre avec voiture de fonction et chauffeur, n’avaient de cesse d’agacer en haut lieu. Sa candidature au poste de sous-préfet a été, selon nos informations, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
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20 JUILLET 2018 L'EXPRESS /
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ALEXANDRE BENALLA (d), responsable de la sécurité d'EMMANUEL MACRON durant la campagne présidentielle, le 1er mars 2017 au SALON DE L'AGRICULTURE À PARIS
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Le conseiller très particulier d'EMMANUEL MACRON a fait l'objet d'une plainte pour violences volontaires sur une femme en août 2015.
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Nous sommes en août 2015, et ALEXANDRE BENALLA, qui n'est pas encore ce jeune chargé de la sécurité d'EMMANUEL MACRON, fait l'objet d'une plainte déposée au COMMISSARIAT DE BOULOGNE-BILLANCOURT (HAUTS-DE-SEINE).
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Une femme, probablement membre de sa famille, l'accuse de «violences volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) supérieure à 8 jours». Le 18 mars 2016, la 12e CHAMBRE CORRECTIONNELLE DU TRIBUNAL DE NANTERRE juge celui qui deviendra quelques mois plus tard conseiller au PALAIS DE L'ÉLYSÉE. Une décision de relaxe a été rendue, sans que les motifs du jugement en explicitent les raisons.
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L'ÉQUIPE DU CANDIDAT MACRON AU COURANT ?
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Sollicité par L'EXPRESS, le CABINET DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE dément avoir eu connaissance des démêlés judiciaires d'ALEXANDRE BENALLA. En tous cas, il semble invraisemblable que la sécurité d'EMMANUEL MACRON ait été confiée à un individu ayant fait l'objet d'une plainte pour violences physiques, même si ce dernier a été relaxé, et donc bénéficie d'un casier judiciaire vierge.
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Ce dernier, parfois surnommé «RAMBO» par les équipes policières chargées de la protection et de la sécurité du PRÉSIDENT, auquel il est «dévoué» selon l'un de ses proches, est également décrit comme un personnage sanguin. «Il avait le sang chaud, s'énervait et montait le ton assez facilement quand il travaillait au service d'ordre du PS», rapporte à L'EXPRESS un cadre socialiste.
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21 JUILLET 2018 OUEST-FRANCE /
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LA CHAÎNE PUBLIC SÉNAT PUBLIE UNE VIDÉO DANS LAQUELLE ALEXANDRE BENALLA CEINTURE UN JOURNALISTE, LE 4 MARS 2017, À CAEN. Il lui aurait arraché son accréditation lors du meeting du candidat Emmanuel Macron.
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La chaîne PUBLIC SÉNAT publie une vidéo d’un incident qui s’est produit à CAEN en 2017 et qui «aurait dû alerter» sur le comportement d’ALEXANDRE BENALLA, 26 ans, collaborateur de l’ELYSÉE chargé de la sécurité d’EMMANUEL MACRON pendant la campagne.
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Lors du meeting du candidat EMMANUEL MACRON à CAEN le 4 mars 2017 au PARC DES EXPOSITIONS DE CAEN, un journaliste de la chaîne Public Sénat est malmené par un membre du service d’ordre qui n’est d’autre qu’ALEXANDRE BENALLA. « À l’arrivée du candidat, un de nos journalistes s’approche pour faire quelques clichés. Le service d’ordre à cran le repousse une première fois, avant l’intervention musclée d’ALEXANDRE BENALLA», explique PUBLIC SÉNAT.
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« LE JOURNALISTE EST CEINTURÉ, AVANT D’ÊTRE POUSSÉ SUR 50 MÈTRES »
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Sur la vidéo, on voit le journaliste se faire ceinturer par ALEXANDRE BENALLA qui le repousse quelques dizaines de mètres plus loin. Il lui aurait ensuite arraché son accréditation. « Le journaliste est ceinturé, avant d’être poussé sur 50 mètres par l’officier de sécurité, ALEXANDRE BENALLA, qui lui arrache, sans autre explication, son accréditation presse censée lui permettre de suivre le meeting au plus près du candidat et de ses soutiens. »
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La direction de la chaîne adresse alors, à l’époque, une lettre à l’équipe du candidat, pour signaler le comportement du service d’ordre.
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L’ELYSÉE DANS LA TOURMENTE
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ALEXANDRE BENALLA est actuellement en garde à vue pour d’autres faits de violence. Une vidéo montrant un homme, identifié comme ALEXANDRE BENALLA, frappant un manifestant à terre lors des MANIFESTATIONS DU 1ER MAI a été publiée par le journal LE MONDE le 18 juillet. Sur la vidéo, il est coiffé d’un casque des forces de l’ordre et frappe un jeune homme à terre.
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À cette époque, BENALLA est CHARGÉ DE MISSION AUPRÈS DU CHEF DE CABINET DE LA PRÉSIDENCE. Il a été placé en garde à vue, vendredi 20 juillet 2018, et une procédure de licenciement a été engagée par l’ELYSÉE.
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11 JUIN 2018 EUROPE1 /
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EMMANUEL MACRON PREND EN MAIN LE RENSEIGNEMENT FRANÇAIS AVEC LA CRÉATION, À L’ÉLYSÉE, D’UNE UNITÉ CHARGÉE DE LA COORDINATION ET AVEC LE REMPLACEMENT DE TOUS SES RESPONSABLES
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L'ELYSÉE prend le contrôle de la lutte antiterroriste. En créant cette semaine le CENTRE NATIONAL DE CONTRE-TERRORISME (CNCT), EMMANUEL MACRON transforme le coordinateur du renseignement en véritable patron d'une équipe de 19 agents, chargée d'un pilotage stratégique. Une mini-révolution en cours dans le monde feutré du renseignement, puisque pour la première fois, une «équipe stratégique» s'installe à la présidence. D'autres étapes sont à venir, avec de nouvelles nominations dans les services, et de nouvelles dispositions antiterroristes, attendues au CONSEIL DES MINISTRES DU 21 JUIN. «On sort de décennies de non-dits, pendant lesquelles l'ELYSÉE pilotait ces questions sans vraiment apparaître. Maintenant, MACRON a l'air de vouloir assumer», analyse un homme de l'ombre.
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24 JUILLET 2018 LE MONDE Ariane Chemin / RT /
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L’ex-SECRÉTAIRE GÉNÉRAL D’EN MARCHE ! qui aurait supervisé le recrutement d’ALEXANDRE BENALLA occupe une place stratégique à l’ELYSÉE. Les deux hommes sont restés proches.
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Depuis une semaine, tout le monde connaît le «cow-boy» de l’ELYSÉE, ALEXANDRE BENALLA. On ignore que le PALAIS a aussi son «NINJA». Tel est le surnom de LUDOVIC CHAKER, 39 ans, amateur d’arts martiaux et amoureux de culture asiatique, ex-SECRÉTAIRE GÉNÉRAL D’EN MARCHE ! et collaborateur influent d’EMMANUEL MACRON. Un homme invisible dans l’organigramme officiel. Lui aussi occupe depuis l’élection présidentielle un bureau à l’ELYSÉE et un poste encore plus stratégique au PALAIS. Contacté lundi par LE MONDE, LUDOVIC CHAKER n’a pourtant pas souhaité détailler ses fonctions exactes, invoquant des raisons de sécurité. Mardi matin, le CABINET DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE nous a précisé qu’il occupait le poste de «CHARGÉ DE MISSION AUPRÈS DU CHEF D’ÉTAT-MAJOR PARTICULIER» DU PRÉSIDENT.
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C’est lui qui aurait supervisé le recrutement d’ALEXANDRE BENALLA comme DIRECTEUR DE LA SÉCURITÉ du candidat. Surtout, c’est lui qui, après avoir organisé des meetings et mobilisé une armée de bénévoles pendant la campagne du candidat MACRON, s’occuperait de renseignement et de terrorisme auprès du chef de l’Etat. [...]
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25 JUILLET 2018 / RT /
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LE RECRUTEUR D'ALEXANDRE BENALLA
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Selon les informations du MONDE, c’est lui qui a recruté ALEXANDRE BENALLA en décembre 2016. LUDOVIC CHAKER a recueilli pour ce faire l’assentiment de JEAN-MARIE GIRIER, DIRECTEUR DE CABINET DE GÉRARD COLLOMB À LYON, DEVENU DIRECTEUR DE LA CAMPAGNE D’EMMANUEL MACRON et aujourd'hui DIRECTEUR DE CABINET DU MINISTRE DE L’INTÉRIEUR. ALEXANDRE BENALLA devient alors DIRECTEUR DE LA SÉCURITÉ DU CANDIDAT. LUDOVIC CHAKER l'a appuyé lorsqu'il a souhaité commander des armes non létales à la fin de la campagne, une demande qui lui a été refusée par JEAN-MARIE GIRIER.
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Avant le scandale, les deux hommes de la garde rapprochée du président, occupant des fonctions stratégiques aux contours flous, étaient toujours aussi proches. LE MONDE affirme qu’ils réfléchissaient tous deux à la NOUVELLE STRUCTURE CHARGÉE D’ASSURER LA SÉCURITÉ D’EMMANUEL MACRON, en parallèle du GROUPE DE SÉCURITÉ DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE assuré par les gendarmes et policiers du (GSPR). Un projet de police personnelle conçu en toute discrétion, en naviguant dans la zone grise si décriée aujourd’hui.
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Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, ALEXANDRE BENALLA travaillait activement à une fusion des différents services qui s’occupent de la sécurité du Président : gendarmes et policiers, à l’intérieur et à l’extérieur du PALAIS
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Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, ALEXANDRE BENALLA travaillait activement à une fusion des différents services qui s’occupent de la sécurité du PRÉSIDENT : gendarmes et policiers, à l’intérieur et à l’extérieur du PALAIS. Il avait notamment identifié des incohérences dans les moyens de communication utilisés par ces agents qui ne pouvaient pas tous communiquer entre eux à cause de matériels différents. Son idée, approuvée par le Président, était de rendre plus efficace cette protection en harmonisant les méthodes des différents services. Ce projet, bien avancé, avait fait l’objet de plusieurs réunions de haut rang au PALAIS. Les premières annonces étaient prévues en septembre.
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21 JUILLET 2018 FRANCEINFO /
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Les trois fonctionnaires de police qui ont été suspendu vendredi 20 juillet dans le cadre de l'affaire BENALLA ont été placé en garde à vue samedi 21 juillet, a appris FRANCEINFO, auprès du PARQUET DE PARIS.
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Un commissaire, un commandant et un contrôleur général sont en garde à vue et soupçonnés d’avoir copié des extraits d’images de caméras de vidéosurveillance, qui appartiennent à la PRÉFECTURE DE POLICE DE PARIS et de les avoir transmis à ALEXANDRE BENALLA. Ce dernier n’était pas autorisé à détenir ces images du plan de protection de la Ville de PARIS, qui montrent les violences exercées par ALEXANDRE BENALLA sur un manifestant à PARIS.
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1 AOÛT 2018 EUROPE1 /
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«LE MONDE» a pu consulter les procès-verbaux d'audition des trois policiers mis en examen dans l'affaire BENALLA
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Dans leurs procès-verbaux d'audition, consultés par «LE MONDE», les trois policiers mis en examen dans l'affaire BENALLA évoquent des liens directs entre le chef de l’État et son ex-collaborateur.
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Quelle était exactement la place occupée par ALEXANDRE BENALLA auprès d'EMMANUEL MACRON ? La question reste floue, deux semaines après l'éclatement de l'affaire impliquant l'ancien employé de l'ELYSÉE, soupçonné de s'être livré à des violences en marge d'une opération de police, le 1er mai dernier. Cinq personnes sont mises en examen dans ce dossier, dont ALEXANDRE BENALLA lui-même et trois policiers suspectés de lui avoir remis des images de vidéosurveillance susceptibles de l'aider à préparer sa défense.
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Les chefs du GSPR «ostracisés» par BENALLA. Devant les enquêteurs, les trois hommes n'ont pas nié les faits mais ont affirmé avoir agi en raison de la proximité entre ALEXANDRE BENALLA et EMMANUEL MACRON, selon des procès-verbaux de leurs auditions CONSULTÉS PAR LE MONDE. «Depuis l'élection de Monsieur MACRON, les chefs du GROUPE DE SÉCURITÉ DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE (GSPR) étaient ostracisés par la présence de Monsieur BENALLA», a notamment affirmé l'un d'entre eux, un commissaire âgé de 30 ans. Selon lui, le collaborateur communiquait «les souhaits et les volontés du PRÉSIDENT» lors de ses déplacements et était destinataire, «au quotidien, des télégrammes et notes confidentielles».
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«Quand le chef de la DOPC (DIRECTION DE L'ORDRE PUBLIC ET DE LA CIRCULATION, ndlr) et Monsieur BENALLA [étaient] ensemble sur un service d'ordre et que le président [devait] communiquer une volonté particulière en matière de sécurité (...), il [appelait] Monsieur BENALLA sur son téléphone», a également affirmé ce commissaire, indiquant que «plusieurs témoins» avaient fait état d'un «lien direct téléphonique» entre les deux hommes lors de la PARADE de l'ÉQUIPE DE FRANCE sur les CHAMPS-ELYSÉES.
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Une version différente de celle de l'ELYSÉE. «Pour nous, Monsieur BENALLA [représentait] EMMANUEL MACRON pour tous les sujets de sécurité», a encore affirmé le fonctionnaire. Un autre des trois policiers mis en cause, nommé officier de liaison à l'ELYSÉE en mars, a quant à lui affirmé avoir accepté de transmettre les images «car cela concernait le DIRECTEUR DE CABINET ADJOINT et l'ELYSÉE». «J'avais besoin de reconnaissance dans ce nouveau poste», a-t-il affirmé selon LE MONDE.
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Ces affirmations contredisent les explications fournies par l'entourage d'EMMANUEL MACRON et notamment le SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'ELYSÉE ALEXIS KOHLER. DEVANT LA COMMISSION D'ENQUÊTE DU SÉNAT, le 26 juillet, ce dernier avait ainsi affirmé que «la sécurité du PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE [était] toujours assurée par le commandement militaire ou le GSPR» et qu'ALEXANDRE BENALLA «n'avait pas de responsabilités les concernant». «Nous n'employons pas de vigiles privés pour assurer la sécurité du chef de l'État», avait-il martelé.
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16 SEPTEMBRE 2018 LE POINT /
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Les mugs prévus pour être vendus au sein de la boutique étaient faussement estampillés «PORCELAINE DE LIMOGES»...
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En fait, ils étaient fabriqués par ALI-MOHJ, potier marocain, ami de BENALLA
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25 SEPTEMBRE 2018 BVOLTAIRE /
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Le royaume d’ARABIE SAOUDITE célébrait, ces jours-ci, sa fête nationale. À cette occasion, une réception était donnée, lundi soir, à PARIS, AU PETIT PALAIS. Un invité surprise : ALEXANDRE BENALLA, qui, décidément, doit avoir du mal à quitter les palais, petits ou grands. Il est vrai qu’on s’habitue vite.
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Le jeune homme ne portait pas d’oreillette et ne filtrait pas les entrées avec la sécurité. Non, il faisait apparemment partie des invités parmi lesquels il déambulait discrètement, élégant dans son costume bleu. Il est vrai que lorsqu’on a été «ADJOINT AU CHEF DE CABINET DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE» ! L’homme qui n’a jamais été l’amant d’EMMANUEL MACRON ni son garde du corps, pour reprendre la périphrase désormais admise par tout le monde, doit aimer le grand monde et les soirées de l’ambassadeur sont toujours réussies, pour reprendre le slogan publicitaire d’une marque de chocolat des années 90. Et puis, il faut sans doute se distraire un peu de ses journées harassantes : entre un rendez-vous au palais du LUXEMBOURG et un autre à PÔLE EMPLOI. D’un palais l’autre, en quelque sorte !
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Il est vrai, aussi, qu’ALEXANDRE BENALLA, qui a de l’entregent (on s’en était rendu compte), n’était sans doute pas complètement en terre inconnue à cette réception. En effet, VALEURS ACTUELLES avait relayé, en juillet dernier, une information révélée par le site INTELLIGENCE ONLINE : «ALEXANDRE BENALLA ENTRETENAIT DES LIENS SECRETS AVEC UN PRINCE SAOUDIEN» En 2015, il travaillait dans le groupe VELOURS, une société de sécurité, créée en 2008 par d’anciens policiers et «experte en management des risques et intelligence stratégique». Il avait alors été intégré dans le dispositif de protection du PRINCE MOHAMMED BEN SALMANE, un des nombreux descendants du fondateur de la dynastie saoudienne, aujourd’hui PRINCE HÉRITIER ET VICE-PREMIER MINISTRE DU ROYAUME.
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22 AOUT 2018 AFRICATOPSUCCES /
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En pleine tourmente médiatico-judiciaire, le garde du corps d’EMMANUEL MACRON, ALEXANDRE BENALLA, filmé en train de frapper un manifestant déguisé en policier, dispose d’une connexion inattendue. Lorsqu’il opérait dans le secteur privé – il a brièvement travaillé chez VELOURS.
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BENALLA a été intégré comme petite main dans le dispositif de protection d’un prince saoudien alors inconnu, MOHAMED BIN SALMAN. Son récit à l’ELYSÉE des anecdotes des soirées estivales du prince pourrait expliquer la retenue d’EMMANUEL MACRON envers celui qui est devenu l’homme fort de RIYAD.
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Comme le révèle le site INTELLIGENCE ONLINE ce mercredi 25 juillet, le CHARGÉ DE MISSION DE L’ELYSÉE a été intégré dans le dispositif de protection de MOHAMMED BIN SALMAN, PRINCE HÉRITIER ET VICE-PREMIER MINISTRE D’ARABIE SAOUDITE depuis le 23 juin 2017.
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20 JUILLET 2018 ALGERIE PATRIOTE /
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Licencié pour avoir fait preuve de brutalité dans l’exercice de sa fonction, ALEXANDRE BENALLA est, néanmoins, l’illustration même de l’infiltration des plus hautes sphères du pouvoir français par les SERVICES DES RENSEIGNEMENTS MAROCAINS.
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En effet, des sources informées ont révélé à ALGERIEPATRIOTIQUE que le déjà EX-CHARGÉ DE MISSION AUPRÈS DU CHEF DE CABINET DU PRÉSIDENT MACRON est, en réalité, un AGENT DE LA DGED MAROCAINE. ALEXANDRE BENALLA a gravi les échelons doucement mais sûrement depuis qu’il fut introduit dans les rouages du PARTI SOCIALISTE par l’ancienne MINISTRE DE L’EDUCATION, NAJET VALLAUD BELKACEM, elle-même inféodée à RABAT, aux côtés de RACHIDA DATI, MYRIAM AL-KHOMRI, AUDREY AZOULAY et bien d’autres.
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L’affaire ALEXANDRE BENALLA met à nu la stratégie du MAKHZEN en FRANCE et révèle les dessous de l’acharnement des dirigeants français de toutes obédiences – PS, LES RÉPUBLICAINS, LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE – à soutenir la monarchie alaouite et à couvrir les frasques et les dépassements de MOHAMMED VI. C’est que le régime monarchique de RABAT a de tout temps eu un pied dans les plus hautes sphères du pouvoir en FRANCE et, depuis quelque temps, au sein de l’UNION EUROPÉENNE où il compte de nombreux lobbyistes rémunérés avec l’argent du peuple marocain détourné par la famille régnante prédatrice protégée par PARIS.
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Les frasques du voyou bombardé «CHARGÉ DE MISSION» à l’ELYSÉE mettent EMMANUEL MACRON dans la gêne. Mais le battage médiatique autour de ce personnage sorti de l’ombre par on ne sait qui, ni pour quel dessein, est sciemment focalisé sur ses exactions et ses excès, mais aucun média français n’a cherché à connaître le secret qui se cache derrière son ascension fulgurante depuis FRANÇOIS HOLLANDE jusqu’à EMMANUEL MACRON qui l’a définitivement pris sous sa protection avant qu’éclate ce scandale.
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La FRANCE est infestée d’agents secrets marocains qui ont accédé aux fonctions les plus sensibles, jusqu’à avoir accès aux secrets les mieux gardés. Et l’affaire ALEXANDRE BENALLA n’est que la partie visible de l’iceberg.
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18 SEPTEMBRE 2018 L'OBS /
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Selon «LE CANARD ENCHAÎNÉ», l'ancien chargé de mission à l'ELYSÉE s'est rendu à LONDRES avec un proche d'ALEXANDRE DJOUHRI.
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La saga BENALLA se poursuit dans «LE CANARD ENCHAÎNÉ» à paraître ce mercredi 19 septembre, jour de son audition par les sénateurs dans le cadre de la COMMISSION D'ENQUÊTE chargée de faire la lumière sur le rôle de l'ancien chargé de mission à l'ELYSÉE. Et cette fois-ci, l'ex-conseiller d'EMMANUEL MACRON est épinglé pour un mystérieux voyage à LONDRES, «en compagnie d'un individu FICHÉ S, proche du sulfureux homme d'affaires ALEXANDRE DJOUHRI».
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Que pourra dire (ou pas) ALEXANDRE BENALLA lors de son audition au SÉNAT ?
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UN MYSTÉRIEUX VOYAGE OUTRE-MANCHE
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Ce voyage remonte au 5 septembre dernier, et des observations de la PAF, consultées par l'hebdomadaire satirique, indiquent que l'attitude des deux hommes, aperçus ensemble en GARE DE SAINT-PANCRAS à LONDRES, «laisse entendre qu'ils se connaissent. Ils discutent ensemble», lit-on.
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Par ailleurs, le syndicat de policiers VIGI-MI s'étonne de son côté que la voiture de service d'ALEXANDRE BENALLA n'ait pas été perquisitionnée, et que son téléphone portable n'ait pas été saisi ni «ausculté». Et «LE CANARD ENCHAÎNÉ» d'ironiser :
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«Même NICOLAS SARKOZY n'a pas eu le droit à tant d'égards !»
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Lors de la perquisition au domicile d’ALEXANDRE BENALLA, le 20 juillet dernier à ISSY-LES-MOULINEAUX, les limiers du BRDP n'ont pas non plus trouvé pas le fameux coffre-fort personnel du locataire censé contenir les armes d'ALEXANDRE BENALLA. Ce dernier a affirmé avoir demandé à un ami de les déplacer. [...]
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21 JUILLET 2018 LE POINT /
À LA DEMANDE DU CHEF DE L'ÉTAT, SON ANCIEN CHEF DE LA SÉCURITÉ AVAIT CONSTITUÉ UN GROUPE AU SEIN DU GSPR DÉDIÉ AUX SORTIES PRIVÉES D'EMMANUEL ET BRIGITTE MACRON
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ALEXANDRE BENALLA dirigeait une deuxième équipe de sécurité chargée de protéger la vie privée du chef de l'État. Pour se prémunir contre toute attaque armée et contre les atteintes à sa vie privée, EMMANUEL MACRON avait en effet confié à ALEXANDRE BENALLA la mission de constituer au sein du GROUPE DE SÉCURITÉ DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE (GSPR) composé de policiers du Service de la protection et de gendarmes issus du GIGN, une équipe chargée de protéger ses sorties privées au restaurant, au TOUQUET et lors de tous ses déplacements non officiels ainsi que ceux de la première dame. Il était d'ailleurs prévu qu'ALEXANDRE BENALLA dirige le dispositif de sécurité du couple présidentiel lors de ses vacances au FORT DE BRÉGANÇON. Comme il l'avait fait l'an dernier à MARSEILLE où il était intervenu en première ligne contre «l'intrusion » des paparazzi dans le parc de la résidence où EMMANUEL ET BRIGITTE MACRON passaient leurs vacances. Les paparazzi une obsession pour le couple MACRON qui, s'il a engagé l'ex-reine du genre MICHÈLE MARCHAND, craint néanmoins les jeunes «rats» sans foi ni loi.
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JOURNALISTES «PAPARAZZIS»
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En décembre dernier, lors de leur séjour au ski, ALEXANDRE BENALLA et son équipe avaient eu maille à partir avec les journalistes de BFM. Il s'était confié par SMS à son entourage les comparant à des paparazzi :
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- «Ils nous ont fait chier, c'était du harcèlement. Ils le suivaient partout. Comme des paparazzis.
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- Vous en êtes venus aux mains ?
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- On en est resté à une discussion sur la vie privée entre eux et le GSPR sur le mode on fait notre boulot et vous le vôtre. Mais ils ont fait le pied de grue partout où le patron était. C'était abuser. ils avaient la pression de leur rédac pour avoir un son du patron»
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L'équipe de sécurité «privée» a été mise en place en juin 2017. Elle est composée de dix policiers et quatre gendarmes. Le COLONEL LIONEL LAVERGNE, PATRON DU GSPR s'est d'autant plus facilement laissé convaincre de la création de cette équipe parallèle qu'il a pu placer deux hommes à lui comme «sièges», ces officiers de sécurité qui partagent le privilège de s'asseoir dans la voiture du PRÉSIDENT et de celle de BRIGITTE MACRON à la place du passager avant. Cet ancien du GIGN assurait le service d'ordre de la campagne présidentielle. Sorti de sa retraite, il a été réaffecté à la garde républicaine avant d'intégrer le GSPR pour devenir le «siège» du président. Le «siège» de BRIGITTE MACRON, lui, a connu le couple à BERCY. Le COLONEL LAVERGNE partageait tous les secrets d'ALEXANDRE. Il savait qu'il détenait un brassard police, et craint aujourd'hui d'être entendu par la justice.
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CARTE BLANCHE POUR RECRUTER
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Le jeune professionnel de la sécurité et CHARGÉ DE MISSION AUPRÈS DU CHEF DE CABINET DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, qui roulait en 508 équipée POLICE avant de s'enticher de la RENAULT TALISMAN, avait carte blanche pour recruter au sein du vivier du SERVICE DE LA PROTECTION (SDLP) dont il tenait le chef FRÉDÉRIC AURÉAL en piètre estime. Dans la réforme prévue du GSPR selon les révélations du POINT parues en avril, AURÉAL d'ailleurs a perdu la «tutelle» du GSPR.
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ALEXANDRE BENALLA avait choisi d'anciens officiers de sécurité de HACÈNE CHALGHOUMI, connu comme «IMAM» DE DRANCY. Il avait aussi sélectionné des recrues hors SDLP. Notamment un ancien militaire, policier depuis peu, lequel a néanmoins passé avec succès les tests en vigueur dans la police sur la protection rapprochée. Il a donc atterri directement au GSPR malgré son inexpérience en protection de personnalité.
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Hors GSPR, il avait également supervisé le recrutement du policier JEAN-YVES H., qui figure aujourd'hui parmi les trois policiers suspendus par le PRÉFET DE POLICE. Il était détaché de la PRÉFECTURE DE POLICE à l'ÉLYSÉE et avait la charge de tout le stationnement à l'extérieur de l'ÉLYSÉE (autorisation de stationnement, etc.). Il s'agit d'un très proche de BENALLA. Ils se sont connus durant la campagne présidentielle de FRANÇOIS HOLLANDE, dont ALEXANDRE était membre du service d'ordre, puis se sont retrouvés pendant la campagne de MACRON. Au vu de nombreux services rendus par JEAN YVES H., BENALLA lui avait promis un poste à l'ÉLYSÉE. Celui-ci n'était pas affecté au GSPR, mais il avait son bureau attenant à celui des flics d'élite. Il a vite pris ses aises au sein de l'ÉLYSÉE à la surprise de certains...
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Lors des déplacements, ALEXANDRE BENALLA, ainsi que quelques membres du cabinet, sont équipés de radio afin d'écouter les discussions sécurisées de l'ensemble du GSPR. Les policiers - qui représentent la moitié des effectifs du GSPR - désapprouvaient cette mesure décidée par l'ex-chef de la sécurité du candidat MACRON. Ils s'en sont ouverts à leurs syndicats. En vain.
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22 MARS 2018 LA NOUVELLE REPUBLIQUE /
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COMMENT DEVIENT-ON GARDE DU CORPS D’UN CANDIDAT À LA PRÉSIDENTIELLE LORSQUE L’ON EST NÉ À KINSHASA ?
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«A la base je suis rugbyman. J’ai joué dans l’ÉQUIPE NATIONALE DU CONGO. Je viens d’avoir 27 ans et je suis venu en FRANCE en 2013 pour jouer à l’AS ROANNE puis à COMPIÈGNE. C’est en me promenant dans Paris que j’ai été repéré par quelqu’un de la BAC (NDLR : Brigade anticriminalité). J’ai alors été agent de sécurité dans de nombreuses boites de nuit parisiennes. J’ai aussi fait les concerts BOOBA et la tournée de FRENCH MONTANA (NDLR : deux rappeurs français). Comme j’étais trop grand, ce dernier a dû louer une grosse voiture pour que je puisse suivre la tournée.
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C’est après qu’ALEXANDRE BENALLA m’a contacté»
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8 AOÛT 2018 VALEURS ACTUELLES /
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ALORS QUE L’AFFAIRE BENALLA ÉCLATE, PEU SONT CEUX QUI PRENNENT LA DÉFENSE DU PROTÉGÉ DE L’ELYSÉE, À L’EXCEPTION NOTABLE DE CHEMS AKROUF, PRÉSENTÉ COMME UN «EX-COLLÈGUE».
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C’était au tout début de l’affaire. CHEMS AKROUF, habitué des plateaux de télévision accourt tout à propos pour délivrer un certificat de moralité à ALEXANDRE BENALLA, dont les ennuis ne font que commencer. Il décrit un professionnel qu’il connait bien et qu’il avait côtoyé dans le cadre de leur intérêt sur les problématiques liées à la radicalisation : «Il était souvent déployé sur des mouvements de foule pour les étudier», «Il ne s’est pas fait que des amis dans l’entourage sécuritaire du président» (on comprend mieux aujourd’hui pourquoi). Mais AKROUF, spécialiste en sécurité donc «ne voit pas de violence manifeste» sur les images de la place de la CONTRE-ESCARPE. Il ajoute que BENALLA est quelqu’un de «calme» et de «posé».
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UN SOUTIEN FICHÉ «S»
PANTHÉON-ASSAS «sécurité, information et renseignement». Selon nos sources, CHEMS AKROUF aurait bien d’autres CORDES à son arc, notamment d’être fiché «S» pour ses liens avec la SYRIE (heureusement pas avec DAE’CH). CHEMS AKROUF, aurait ainsi exercé des activités dans le domaine de la sécurité ayant pour client, comme on le voit sur l'image ci-dessous, EXTRAITE D'UNE VIDÉO DE PROMOTION DE LA CHAÎNE ARAB NEWS NETWORK, L’ONCLE DE BACHAR AL-ASSAD, RIFAAT AL-ASSAD, À LONDRES.
RIFFAAT est bien connu dans l’histoire pour s’être vengé de ceux qui avaient tenté de renverser le gouvernement baasiste. Ainsi, le 27 juin 1980, RIFAAT EL-ASSAD se rend à la PRISON DE PALMYRE à la tête des BRIGADES DE DÉFENSE et massacre à la grenade entre 500 à 1 000 détenus, la veille son frère HAFEZ avait échappé à une tentative d'assassinat menée par un membre de la garde présidentielle. En 1982, ses BRIGADES sont accusées d’être responsables du MASSACRE DE HAMA (entre 10 et 40 000 morts). Il est brouillé avec son neveu BACHAR et vit en EUROPE depuis 1984, il a été vu par certains aux ETATS-UNIS comme une marionnette qui aurait pu renverser le gouvernement syrien. Il est par ailleurs poursuivi par la justice française pour blanchiment et crimes de guerre par les Suisses. Voilà de quoi rajouter à l’étrange atmosphère de barbouzerie qui pèse déjà autour d’ALEXANDRE BENALLA.
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19 JUILLET 2018 M6INFO / ISLAMISATION.FR /
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KARIM ACHOUI reconnaît avoir été proche du collaborateur d’EMMANUEL MACRON visé par une enquête pour avoir frappé un manifestant le 1er mai dernier.
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PROCHE DE LA LIGUE DE DÉFENSE JUDICIAIRE DES MUSULMANS
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Selon nos informations, BENALLA a entretenu des relations avec l’avocat KARIM ACHOUI, radié du BARREAU DE PARIS, notamment pour manquements déontologiques. ALEXANDRE BENALLA a-t-il assuré la sécurité d’ACHOUI ? D’après plusieurs sources, l’avocat controversé a sollicité par l’intermédiaire d’un confrère les services d’ALEXANDRE BENALLA en 2013.
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Le premier venait de créer la LIGUE DE DÉFENSE JUDICIAIRE DES MUSULMANS (LDJM), qui selon ses statuts se donnait pour objet de «défendre judiciairement les individus victimes de discriminations fondées sur leur appartenance supposée ou réelle à la religion de l’islam et leurs convictions religieuses».
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«IL N’A JAMAIS ÉTÉ MON GARDE DU CORPS»
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A cette époque, KARIM ACHOUI avait fait l’objet de menaces de mort. Mais l’intéressé réfute toute protection de BENALLA : «Il n’a jamais été mon garde du corps. Nous nous sommes fréquentés pendant deux ans. Il était très sensible à la cause musulmane et à la LIGUE DE DÉFENSE JUDICIAIRE DES MUSULMANS», affirme l’avocat connu pour avoir défendu des grandes figures du banditisme et inscrit aujourd’hui au BARREAU D’ALGER.
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25 JUILLET 2018 LE FIGARO /
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Le jeune chargé de mission de l'ÉLYSÉE a «été initié au sein de la LOGE DES «CHEVALIERS DE L'ESPÉRANCE» de la GRANDE LOGE NATIONALE FRANÇAISE (GLNF)», révèle L'EXPRESS. Il «n'est venu que deux ou trois fois peut-être», précise le GRAND MAÎTRE JEAN-PIERRE SERVEL au FIGARO.
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ALEXANDRE BENALLA franc-maçon ? L'information, publiée par plusieurs médias, avait été démentie il y a quelques jours par le GRAND ORIENT DE FRANCE, la première obédience française. Ce mercredi, le journaliste de L'EXPRESS FRANÇOIS KOCH LE RÉVÈLE SUR SON BLOG «LA LUMIÈRE» : le jeune CHARGÉ DE MISSION DE L'ÉLYSÉE a en fait «été initié au sein de LA LOGE «LES CHEVALIERS DE L'ESPÉRANCE» de la GRANDE LOGE NATIONALE FRANÇAISE (GLNF)». «Ce franc-maçon porte le matricule 106161 de cette obédience depuis janvier 2017», écrit FRANÇOIS KOCH, citant «des documents internes» transmis par «de bonnes sources». Il a été suspendu «le 23 ou le 24 juillet», confirme au FIGARO le GRAND MAÎTRE DE LA GLNF JEAN-PIERRE SERVEL.
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Dans les fichiers de la GLNF, décrit le journaliste de l'hebdomadaire, ALEXANDRE BENALLA «est né le 8 septembre 1991 à ÉVREUX, réside à ISSY-LES-MOULINEAUX, exerce la profession de RESPONSABLE SÉCURITÉ et son parrain est un notaire trentenaire de SAINT-GERMAN-EN-LAYE (YVELINES), membre de la même loge». Il est «toujours apprenti» et n'a bien sûr «pas été très assidu aux réunions rituelles de sa loge depuis l'élection d'EMMANUEL MACRON».
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«C'EST TOUJOURS UN PEU GÊNANT DE LÂCHER UN TYPE QUI EST DANS LES EMMERDES»
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Joint par le FIGARO, JEAN-PIERRE SERVEL souligne d'abord qu'il «regrette que l'on ait communiqué des informations sur un des frères». «ALEXANDRE BENALLA n'est pas venu souvent : deux ou trois fois peut-être, précise le GRAND MAÎTRE, qui lui-même ne l'a «jamais vu». Quant à l'ATELIER DES CHEVALIERS DE L'ESPÉRANCE, «je ne sais pas très bien le rite qu'ils pratiquent, mais ils doivent être une vingtaine à tout casser», ajoute-t-il. «Dans son atelier LES CHEVALIERS DE L'ESPÉRANCE, indique FRANÇOIS KOCH sur son blog, il n'y a pas d'autre frère exerçant dans le domaine de la sécurité, ni policier ni gendarme. Ce sont plutôt des cadres supérieurs et des professions libérales du droit».
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Pour «ne pas lui porter trop préjudice», poursuit le GRAND MAÎTRE, ALEXANDRE BENALLA n'est pour l'instant que «suspendu à titre conservatoire», jusqu'à l'issue de la procédure judiciaire. Une suspension prononcée par ordonnance de son GRAND MAÎTRE PROVINCIAL (ÎLE-DE-FRANCE), précise l'EXPRESS, au début de cette semaine. «Pour nous, c'est toujours un peu gênant de lâcher un type qui est dans les emmerdes, admet JEAN-PIERRE SERVEL. Si tout va bien, on le reprend ; s'il est condamné, il peut être suspendu, voire radié définitivement».
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La GLNF, fondée en 1913, déiste et exclusivement masculine, compte actuellement 29 800 frères. Cette obédience réalise plus de 2000 initiations par an.
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23 JUILLET 2018 VALEURS ACTUELLES /
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L’ex-garde du corps du chef de l’Etat était réputé proche des réseaux franc-maçonniques, à l’instar de GÉRARD COLLOMB.
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Qui est vraiment ALEXANDRE BENALLA ? Les informations sur la vie de cet homme de l’ombre arrivent au compte-gouttes depuis le début de L'AFFAIRE, poursuivi POUR avoir molesté des manifestants lors du 1er mai à Paris. Le site EXPLICITE révèle ainsi ce lundi qu’ALEXANDRE BENALLA était proche du GRAND ORIENT DE FRANCE, la plus ancienne obédience maçonnique de FRANCE et la plus importante d'Europe continentale. Il serait également en lien avec la LOGE MAÇONNIQUE DE L’«EMIR ABDEL KADER», baptisée du nom du philosophe et théologien musulman afin de prouver que la franc-maçonnerie n'était pas hostile à l'ISLAM. Des relations communes avec celles du MINISTRE DE L’INTÉRIEUR, GÉRARD COLLOMB.
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Le pensionnaire de l’HÔTEL BEAUVAU, qui doit être auditionné ce jour par la commission d’enquête de l’ASSEMBLÉE NATIONALE, avait déjà fait part de son appartenance à l’organisation en 2011. Il déclarait alors au PARISIEN : «Au début, ça m'a plutôt fait beaucoup de tort. C'est pour cela que j'ai décidé de le dire, parce que comme ça, personne ne m'embête. Quand vous êtes homme public, il faut au moins dire qui vous êtes. Cela fait partie de la transparence». Le silence de l’ex-MAIRE DE LYON sur l’affaire BENALLA pourrait-il être lié à cette obédience partagée par les deux hommes, et dans quel intérêt ? Affaire à suivre.
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19 JUILLET 2018 LE FIGARO /
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UN COLLABORATEUR DE MACRON FILMÉ EN TRAIN DE FRAPPER UN MANIFESTANT LE 1ER MAI
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ALEXANDRE BENALLA a été mis à pied quinze jours pour avoir roué de coups un jeune homme à terre place de la CONTRESCARPE, dans le 5e arrondissement de PARIS.
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Une procédure de licenciement a été engagée par l'ÉLYSÉE ce vendredi à l'encontre d'ALEXANDRE BENALLA, CHARGÉ DE MISSION À L'ÉLYSÉE. On le voit dans une vidéo frapper violemment un manifestant. À ses côtés, un autre collaborateur du PRÉSIDENT MACRON était présent : VINCENT CRASE.
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Un collaborateur du PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON, ALEXANDRE BENALLA, a été filmé alors qu'il frappait un manifestant lors des rassemblements militants du 1er mai à PARIS. Ce dernier a été placé en garde à vue et une procédure de licenciement a été engagée par l'ÉLYSÉE. Jeudi, le porte-parole de l'élysée bruno roger-petit a révélé lors d'une conférence de presse qu'un autre CHARGÉ DE MISSION D'EMMANUEL MACRON était également présent lors de ces violences. ALEXANDRE BENALLA était en effet «accompagné ce jour-là (le 1er mai ndlr) et dans les mêmes conditions de M. VINCENT CRASE», informe le porte-parole. Tous deux ont commis «deux fautes personnelles», «graves», a également jugé le DÉLÉGUÉ GÉNÉRAL DE LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE, CHRISTOPHE CASTANER.
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Des fautes pour lesquelles VINCENT CRASE s'est excusé mercredi, alors qu'il s'entretenait avec le SECRÉTAIRE D'ÉTAT CHARGÉ DES RELATIONS AVEC LE PARLEMENT. Ce vendredi, il a été placé en garde à vue pour les chefs de «violences en réunion par personne chargée d'une mission de service public» et «usurpation de fonction», selon le PARQUET DE PARIS.
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Selon LE MONDE, on aperçoit VINCENT CRASE dans la vidéo en question. «Ayant outrepassé son autorisation, de la même manière qu'ALEXANDRE BENALLA, (VINCENT CRASE) a été sanctionné, comme lui, par une mise à pied de quinze jours avec suspension de salaire», a assuré le BRUNO ROGER-PETIT. Toutefois, le porte-parole a précisé que L'ÉLYSÉE avait mis fin à «toute collaboration entre lui et la présidence de la République».
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UN ANCIEN GENDARME RÉSERVISTE RECONVERTI DANS LA SÉCURITÉ PRIVÉE
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VINCENT CRASE, un «gendarme réserviste» basé dans l'EURE et reconverti dans la sécurité privée, était «employé de la RÉPUBLIQUE EN MARCHE», indique le PORTE-PAROLE DE L'ÉLYSÉE ce jeudi. CHRISTOPHE CASTANER a précisé qu'il était en effet salarié de LREM en tant «qu'agent d'accueil». Le collaborateur d'EMMANUEL MACRON «était très ponctuellement mobilisé, comme d'autres réservistes, par le commandement militaire de la PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE», a précisé BRUNO ROGER-PETIT. Et CHRISTOPHE CASTANER d'ajouter que «c'est dans ce cadre-là qu'il a été appelé directement par M. BENALLA. Il n'agissait absolument pas dans le cadre de ses activités professionnelles». VINCENT CRASE a démarré sa carrière de réserviste en 1996 comme officier de réserve dans l'armée de l'air, pour ensuite se tourner vers la GENDARMERIE NATIONALE en 2008, et être promu au rang de chef d'escadron de réserve cinq ans plus tard.
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Il a créé une «FÉDÉRATION FRANÇAISE DE LA SÉCURITÉ PRIVÉE» en avril 2016 avec ALEXANDRE BENALLA, selon des informations du MONDE. Une association qui se voulait être un «lieu d'échange entre les différents acteurs de la sécurité privée» afin de régler «tous les différends entre les professionnels du secteur et les pouvoirs publics ou les clients», selon le quotidien. Déjà, lorsqu'ils étaient en poste auprès de l'ÉLYSÉE, les deux hommes avaient tenté de commander deux pistolets lanceurs de balles en caoutchouc ainsi qu'un Flash-Ball en vue d'équiper le service de sécurité du parti pendant la campagne présidentielle. «La commande a été refusée par la direction d'EN MARCHE!», déclarait VINCENT CRASE dans des propos rapportés par LE MONDE. L'association fondée par les deux collaborateurs de l'ÉLYSÉE fut rapidement dissoute, ne laissant aucune trace.
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Selon les informations que j’ai reçues, VINCENT CRASE, 45 ans, porte le matricule 102065 depuis qu’il a été initié le 8 juin 2015. Sa loge se nomme «LA COUDÉE DE SALOMON» dans la Région maçonnique de NEUSTRIE (CALVADOS, EURE, MANCHE, ORNE ET SEINE MARITIME) de la GLNF. Sa loge se situe dans une région différente de celle de BENALLA, mais il s’agit de la même obédience [fédération de loges].
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9 AOUT 2018 GREFFIER NOIR / LE SALON BEIGE /
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Une information secondaire, presque anecdotique mais divertissante, en phase avec cette belle période estivale : VINCENT CRASE, le collaborateur d'ALEXANDRE BENALLA impliqué dans les violences commises PLACE DE LA CONTRE-ESCARPE et au JARDIN DES PLANTES à PARIS le 1er mai 2018, semble baigner dans un occultisme sulfureux, de type national-socialiste.
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(poème : LES ENFANTS DE THULÉ), ne laissant que peu de doutes sur les accointances idéologiques de l'auteur.
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Assez curieusement, la SOCIÉTÉ DE SÉCURITÉ BYBLOS, citée à de nombreuses reprises lors des auditions des COMMISSIONS D’ENQUÊTE DU SÉNAT et de l'ASSEMBLÉE NATIONALE sur l'AFFAIRE Benalla, utilise une symbolique très similaire à celle de la couverture D’ITINÉRANCE, comme le démontre cette publication du 14 juin 2018 associant un SVASTIKA SÉNESTROGYRE au thème du sang. Deux symboles notoirement connus, au cœur des doctrines nazies (voir notamment ALFRED ROSENBERG, Le Mythe du XXeme siècle).
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Il pourrait certes s'agir dans le cas BYBLOS d'une "coïncidence malheureuse", voire d'un trait d'humour douteux mais cette interprétation généreuse ne saurait en aucun cas s'appliquer au recueil Itinérance, dont le contenu est explicite.
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Quoi qu'il en soit, la récurrence de cette symbolique dans l'environnement de VINCENT CRASE, FONDATEUR DE LA SOCIÉTÉ MARS, et d'ALEXANDRE BENALLA est suffisamment frappante et inquiétante pour être signalée.
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SVASTIKA SÉNESTROGYRE, runes liées à l'occultisme nazi, référence voilée au mythe du sang et renvois explicites à Thulé dans des écrits apologétiques .... Qui étaient réellement les employés et chargés de mission sécurité d'EMMANUEL MACRON ?
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19 JUILLET 2018 BFMTV /
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ALEXIS CORBIÈRE :
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«De mon point de vue, ça ne s’arrête pas au cas de BENALLA». «Je crois qu’on va découvrir quelque chose là-dedans qui ne se limite pas seulement à un pétage de plomb d’un jeune collaborateur d’un PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE mais manifestement à une barbouzerie. Des gens qui ne sont pas des fonctionnaires de police et se prennent pour des policiers», a-t-il continué. ALEXIS CORBIÈRE a assuré avoir reconnu un troisième homme sur les images des violences du 1er mai dernier, en plus d'ALEXANDRE BENALLA, et de VINCENT CRASE, OFFICIER DE RÉSERVE DE GENDARMERIE ET EMPLOYÉ DE LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE.
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«J’ai vu sur les images un homme qui l’accompagne, que j’avais personnellement repéré, lors d’une manifestation en hommage à MIREILLE KNOLL, on avait été agressé par la LDJ et cet homme, était-il policier je ne sais pas, était à nos côtés, il était assez agressif. Il est là, donc monsieur Benalla n’est pas seul», a ainsi posé ALEXIS CORBIÈRE.
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22:15 Publié dans ALEXANDRE BENALLA UN BARBOUZE À L'ÉLYSÉE | Lien permanent | Commentaires (0)