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30/07/2016

ATTENTAT SAINT ÉTIENNE DU ROUVRAY (76) 26 JUILLET 2016

ATTENTAT CHRISTIANOPHOBE
DE SAINT ÉTIENNE DU ROUVRAY (76)
LE 26 JUILLET 2016
(et autres prêtres martyrs)
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LES FAITS
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UN OTAGE RACONTE
27 JUILLET 2016 BFMTV
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Un prêtre octogénaire est mort égorgé mardi lors d'une prise d'otages dans son église à SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAY, dans l'agglomération de ROUEN.
Un attentat revendiqué par DAESH qui a fait aussi un blessé grave, GUY, 87 ans. Ce mercredi sur RMC, JEANINE, la femme de ce dernier, elle aussi présente dans l'église, raconte le déroulé de la prise d'otages..
Le PÈRE JACQUES HAMEL a été assassiné ce mardi matin, égorgé par deux terroristes qui ont fait irruption pendant la messe qu'il célébrait dans l'église de SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAY près de ROUEN. JEANINE, 86 ans, était présente dans l'église au moment des faits avec son mari, GUY, qui fêtait ses 87 ans ce mardi et a été grièvement blessé au cours de cet attentat. Elle raconte.
«Quand l'un des terroristes s'est approché de moi, il m'a dit qu'il n'allait pas me faire de mal parce que nous allions servir d'otages. Il parlait des trois sœurs présentes et de moi. Alors là on s'est dit : «Bon on ne va pas mourir tout de suite. On mourra peut-être tout à l'heure mais…» En revanche, son mari, en tant qu'homme ne sera pas épargné.
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«IL A FAIT LE MORT»
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«Il a pris quatre coups de couteau dans le cou, les bras et le dos». C'est pourquoi, JEANINE en est persuadée : «Ils voulaient le tuer, COMME LE PRÊTRE. Au PÈRE JACQUES, ils lui ont d'abord mis un coup, sûrement au cou. Il est tombé la face vers le ciel, vers nous. On voyait le sang couler de sa bouche… Et ensuite, ils lui ont donné d'autres coups et, là, c'était terminé…» Dès lors, pour rester en vie et ne pas attirer l'attention des assaillants, JEANINE explique que son mari «a fait le mort».
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Et d'ajouter :
«Les terroristes avaient donné un téléphone portable à mon mari pour qu'il filme ou photographie le père une fois exécuté. C'est ensuite qu'ils ont pris mon mari en otage et ils en ont fait autant…». Comment a-t-elle réagi à la vue de son mari se faisant lacérer de coup de couteau : «Je ne sais pas… Je l'ai vu. Je me suis dit qu'il était mort et que ça allait être notre tour. Les terroristes me tenaient par le dos avec leur revolver dans le cou. Est-ce qu'il était factice ? Je n'en sais rien. Mais il était dans mon cou... Ensuite, ils ont affûté le couteau. C'est tout».
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«IL FAUT BIEN RÉSISTER»
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JEANINE a vu son mari ce mardi soir et elle l'assure :
«Je l'ai vu bouger un petit peu. Il allait bien. Il n'avait pas perdu connaissance. Il a essayé de maintenir ses doigts sur sa plaie pour éviter que cela ne saigne trop. Mais il a trouvé le temps long avant qu'on vienne le chercher». Prise en charge par une cellule psychologique, l'octogénaire est rassurée sur sa santé. «Ça va parce que je suis entourée de mes enfants qui sont venus D’ÉVREUX et de la région parisienne. Ils sont arrivés aussitôt et ça fait du bien. Ils m'aident à évacuer… Il faut bien résister».
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L'ÉTAT ISLAMIQUE REVENDIQUE L'ATTENTAT DE SAINT ETIENNE DU ROUVRAY VIA L'AGENCE A'MAQ
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27 JUILLET 2016 L'INTERNAUTE
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DAESH a revendiqué l'attentat dans un communiqué publié à la mi-journée par son agence de presse Amaq, qui parle des assaillants comme de ses «soldats». L'EI cible régulièrement dans sa propagande et ses communiqués de revendication les dirigeants «CROISÉS» occidentaux et «LE ROYAUME DE LA CROIX», expression semblant désigner l'EUROPE. Des actions contre les églises étaient notamment prônées dans le magazine du groupe terroriste.
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LE MAROC A ALERTÉ LA FRANCE 4 JOURS AVANT L’ATTAQUE DE L’ÉGLISE
29 JUILLET 2016 BLADI
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Le 22 juillet dernier, soit quatre jours avant que deux hommes ne s’introduisent à l’église de SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAY, les services de renseignements marocains avaient prévenu les autorités françaises de l’imminence d’une attaque.
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La révélation a été faite hier par le magazine MARIANNE qui explique que les services de renseignements marocains avaient prévenu la FRANCE d’une «menace imminente» en fournissant la photo de l’un des suspects, en l’occurrence ABDEL MALIK PETITJEAN.
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«L’individu dont la photographie figure ci-dessous serait prêt à participer à un attentat sur le territoire national. Il serait déjà présent en FRANCE et pourrait agir seul ou avec d’autres individus. La date, la cible et le modus operandi sont pour l’heure inconnus. Des investigations sont en cours en vue de l’identifier et de le localiser…», lit-on sur la note diffusée à tous les services de police par l’UNITÉ DE COORDINATION DE LA LUTTE ANTITERRORISTE.
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Malgré la mobilisation totale des services anti-terroristes français, ils n’ont pas pu empêcher les deux individus de pénétrer dans une église et d’assassiner JACQUES HAMEL, le prêtre auxiliaire à SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAY et de blesser grièvement une autre personne.
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Ce n’est pas la première fois que les services de renseignements marocains alertent les services français. En novembre dernier, c’est le MAROC qui avait fourni la localisation de ABDELHAMID ABAAOUD, l’un des terroristes du STADE DE FRANCE.
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NOTRE DAME DE PARIS UNE VOITURE CONTENANT DES BONBONNES DE GAZ DÉCOUVERTE : PLUSIEURS GARDES À VUE
7 SEPTEMBRE 2016 LE FIGARO .
La berline suspecte, qui n'avait plus de plaque d'immatriculation, a été retrouvée dimanche matin aux abords de la CATHÉDRALE NOTRE-DAME. La section antiterroriste de la brigade criminelle et la DGSI ont été saisies. Plusieurs personnes ont été placées en garde à vue.
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La SECTION ANTITERRORISTE DE LA BRIGADE CRIMINELLE et la DGSI (DIRECTION GÉNÉRALE DE SÉCURITÉ INTÉRIEURE) ont été saisies d'une enquête après la mystérieuse 
découverte, dimanche matin, d'une voiture contenant au moins six bouteilles de gaz, cinq pleines dans le coffre et une vide sur le siège avant, aux abords de la CATHÉDRALE NOTRE-DAME à PARIS. Le véhicule suspect, de marque PEUGEOT 607 et dénué de toute plaque d'immatriculation, était stationné au 43 rue de la Bucherie, dans le Ve arrondissement. «La voiture était libre de tout occupant, comme abandonnée», précise une source informée qui ajoute que «les bonbonnes n'étaient reliées à aucun détonateur, aucune chaîne pyrotechnique». Ses clignotants étaient allumés.
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Alors que les experts de la police technique et scientifique ont passé la voiture au peigne fin, les enquêteurs cherchent à remonter la piste du ou des derniers occupants. Au dernier stade de l'enquête, deux personnes étaient en garde à vue mercredi dans le cadre d'une enquête préliminaire du chef d'association de malfaiteurs terroristes criminelle. Il s'agit d'un couple d'une trentaine d'années interpellé la veille sur une aire de l'autoroute A7 à hauteur d'ORANGE (VAUCLUSE) par la PJ d'AVIGON avec l'appui d'une équipe de la BRIGADE DE RECHERCHE ET D'INTERVENTION (BRI). Tous deux connus des services de renseignements, ils s'apprêtaient à se rendre en ESPAGNE au moment de leur interception et ont été transferrés au 36 QUAI DES ORFÈVRES pour y être interrogés. Le propriétaire de la Peugeot 607, comme plusieurs autres suspects, a quant à lui aussi été placé en garde à vue avant d'être relâché. D'actives investigations se poursuivaient en fin de journée.
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Dans un courrier envoyé mardi au PRÉFET DE POLICE DE PARIS, FLORENCE BERTHOUT, MAIRE (LES RÉPUBLICAINS) DU VE ARRONDISSEMENT de la capitale, ajoute qu'un «carnet de note en arabe» a également été découvert dans le véhicule. LE FIGARO a obtenu mercredi confirmation de source informée qu'«un feuillet en langue arabe est en cours de traduction». L'élue ajoute que la voiture a pu stationner en toute illégalité pendant plus de deux heures, en dépit de plusieurs signalements téléphoniques, dans une ruelle où le stationnement est interdit. Elle déplore «une grande difficulté d'appréhension de la menace» et un manque d'effectifs dans un secteur très fréquenté par les touristes.
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L'affaire, énigmatique et inquiétante, est prise très au sérieux dans le contexte de menace actuelle. Entendu à huis clos à l'ASSEMBLÉE NATIONALE le 24 mai dernier, PATRICK CALVAR, le DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE (DGSI), s'est dit «persuadé» que DAECH «passera au stade des véhicules piégés» en FRANCE. «Je suis persuadé qu'ils passeront au stade des véhicules piégés et des engins explosifs, et qu'ainsi ils monteront en puissance», avait martelé le patron français de la lutte antiterroriste. «C'est ce que nous avons connu en 1986 et 1995 : il s'agit de modes opératoires classiques», rappelait le haut responsable policier avant d'annoncer : «Ils vont finir par projeter des commandos dont la mission consistera à organiser des campagnes terroristes sans nécessairement aller à l'assaut avec la mort à la clef.» «Pour cela, il leur faut des artificiers et organiser toute une logistique, c'est-à-dire s'installer sur notre territoire, acquérir tous les produits», avait noté PATRICK CALVAR. [...]
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ATTENTAT SAINT ETIENNE DU ROUVRAY LES SOCIALISTES AU PIED DU MUR
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RAPPEL
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https://lh3.googleusercontent.com/UDG1Y3V7xMyBuAJrEUsligb-Ge1X-lX94QH0eIw_yP6OqJ3sPoG3ftPYq0djyP4oLHknprY_28e19zthqq3po3IHLtgS6lxvjj_ShSd7jHviVmawd4ldqsEblE5-TbbKTlMbtsw8x_DJjNegSgMORFhXj4SnbZ1M6Qk7kDsOBK-wTXwuXhgoalb1oFsO13eAvTlbmdq2xLorYBNDabQshBAv4zORI_UduCFhQsIqHtnREIsUELChKJwkoy15QFwpKQ2kLBBxGmshQRO2Qa_ZYGNkR1ZuDGst1qluBs_dgLrKmgIJKipslWnAdmkYmM24uIIVV21_wHm-UpLSIANXMeQDB-26xkXgH5wc_eR4cZzhnqJFB2vDKR_u5TwTkLwsosWZdsdMVjC4nRTrdIZXXy9sOTSJbgVbav6fYgsFA53F4fcbAheFt5omiJZkafbWvv9Cqqgp0BQXKFjsaV2JZwegEA90iT1Ii7L0NkQ1qRfLwx4G29NXZAyWXbPMEZMtRuyR3t-YKP2OcDpOW0X582QDE15lM_GGowC4hU7FYtaPlJfrhPy2yri3vJEiXR-OX-0jp8v2RKRojjmO_HlBM0sArPhuqoaj=w400-h225-no

MARTINE AUBRY 2006/2016 2016
https://lh3.googleusercontent.com/JXelNyUPAWcRTTl25kgY3cMPPjuNh4wKhuIdlPl42IiznFmZxym6NEVxcZQtAkzywzXVCU3SDyh7037yJu2AKbTyC4sj9Y0K7ipxH9aAx7moofr9H3Lv7mNsbJfF-0s9hb2_z_O9PL-d1zMUMelySrbeSLVW7lHpAeus9uoOWyaAcNB4eVL8b-g_Gv537E2RlWLh9dCwfvAPLABGPnzo1M9_kbKQrmcBbIcyPljSt5_m7ldi23N1GcqwdYYehVwPFPbZkI3HUI2ek-XBq5bcAbx3yU9AyiMUyvqqCJ_v5d8LuTqTZeMm32Q6bfmH92bERTbfXVYO3h-fq8-ILTasyGgtLu7aBa8-AS0b6LrNLxp28BXm5LWgaw6zsb0BlQ-JNjz2SrgthYWGDs0yBvEuiJrw40eKwJ7Cq1WqHTIfLGdyTOsrj0eozi1jFQKRHkgKs6DcVYrYEToCnKobxiXw__H1a7plEFHxO1WHIayZiVJvhAoldXJBlfYSZHzuRkx6IcK8GeAEePTNfOCH0OTObXiFOtL-WfP9DwxtMiE7luMvK3uZtrwg3_26u_EOyM6kI87bcyf2R_wNtL-H-7FDS_ZTXoivjyJmW-MsaD2Y53Z2pnAaQg=w400-h271-no
 
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.LES RATÉS DE LA JUSTICE
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LES TERRORISTES
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ADEL KERMICHE
27 JUILLET 2016 LORACTU
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ADEL KERMICHE l'un des deux assaillants, abattus par la police, était assigné à résidence sous bracelet électronique en attendant son jugement : ADEL KERMICHE, NÉ LE 25 MARS 1997 À MONT-SAINT-AIGNAN (SEINE-MARITIME), ÉTAIT MIS EN EXAMEN APRÈS AVOIR TENTÉ DE RALLIER LA SYRIE PAR DEUX FOIS EN 2015. Placé en détention provisoire après sa deuxième tentative, il avait été libéré en mars et assigné à résidence sous bracelet électronique. Le PARQUET DE PARIS avait fait appel de cette libération, sans succès.
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ADEL KERMICHE
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QUATRE MAGISTRATS AVAIENT ORDONNÉ LA LIBÉRATION DU TERRORISTE MALGRÉ SON ENGAGEMENT DJIHADISTE
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On apprend que le terroriste de SAINT-ETIENNE-DU-ROUVRAY, sous «contrôle judiciaire», c’est à dire en liberté, devant simplement pointer au commissariat et ne pas quitter sa ville, avait été libéré de prison malgré sa détention préventive pour ses deux tentatives de rejoindre l’ETAT ISLAMIQUE en SYRIE. Fiché «S» pour islamisme depuis mars 2015. Le PARQUET ANTITERRORISTE DE PARIS s’était opposé à cette libération voulue par 4 magistrats en raison de sa dangerosité…sans succès. Le laxisme des juges tue, et tuera encore.
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ABDEL MALIK PETITJEAN
29 JUILLET 2016 L'HUMANITE
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L’identité du deuxième assaillant de l’église stéphanaise a été révélée hier par le parquet. Il s’agit d’un jeune homme de 19 ans, habitant AIX-LES-BAINS, qui venait d’être repéré pour radicalisation.
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...ABDEL MALIK PETITJEAN, lui aussi âgé de 19 ans, habitant AIX-LES-BAINS (SAVOIE) depuis un an, et qui a été «identifié formellement» grâce à des prélèvements ADN effectués sur sa mère.

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Dans une interview quelque peu surréaliste, diffusée dans le journal de 20 heures de FRANCE 2, mercredi soir, celle-ci confiait ne pas vouloir croire à la culpabilité de son fils. «C’est un bon Français. Il est doux. Je connais mon gamin, je connais mon fils, il n’est pas impliqué du tout, assurait-elle. Il n’est pas du tout le monstre qu’on essaye de nous faire croire» Les soupçons entourant le jeune homme étaient pourtant déjà très forts, sa carte d’identité ayant été retrouvée au domicile d’ADEL KERMICHE. Officiellement, PETITJEAN était parti en covoiturage pour aller voir son cousin à NANCY. Le matin du drame, il avait donné des nouvelles à sa mère, par SMS  : «Maman, ne t’inquiète pas, tout va bien, je t’aime. Fais dodo» Un dernier signe de vie d’une parfaite banalité, avant que ne déferlent, le lendemain, policiers et journalistes chez la mère de famille…
 

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Né à SAINT-DIÉ-DES-VOSGES (VOSGES) le 14 novembre 1996, ABDEL MALIK PETITJEAN a grandi avec ses deux sœurs dans une famille recomposée, d’abord dans l’est de la FRANCE, avant de déménager à MONTLUÇON (ALLIER), SEYNOD (HAUTE-SAVOIE) puis AIX-LES-BAINS. S’il n’était pas connu des forces de police pour des faits de délinquance et ne figurait donc pas dans les fichiers d’empreintes génétiques, PETITJEAN était apparu depuis peu dans les radars de l’antiterrorisme : le 29 juin, une fiche «S» avait été établie à son encontre pour des faits de radicalisation. Le jeune homme était soupçonné d’avoir voulu se rendre en SYRIE, après un aller-retour éclair en TURQUIE, les 10 et 11 juin. Un voyage signalé par les autorités turques à la fin du mois. C’est aussi lui, semble-t-il, qui faisait l’objet, depuis le 22 juillet, d’un avis de recherche (anonyme mais accompagné d’une photo), émis par L’UNITÉ DE COORDINATION DE LA LUTTE ANTITERRORISTE (UCLAT). Un service étranger avait prévenu celle-ci qu’un homme «serait prêt à participer à un attentat sur le territoire national». Mais, faute de détails supplémentaires, les enquêteurs n’avaient pu faire le lien avec ABDEL MALIK PETITJEAN.

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Mercredi soir, c’est pourtant bien lui qui apparaissait, aux côtés d’ADEL KERMICHE, dans une vidéo diffusée par l’agence AMAQ où tous deux prêtaient allégeance à l’«ÉTAT ISLAMIQUE». Une triste vérité qui a secoué les membres de l’association gérant la mosquée où avait l’habitude de se rendre le jeune homme. Un lieu de culte qui avait été visé par un incendie criminel après l’attaque contre CHARLIE HEBDO en janvier 2015. «C’est incroyable ! Tous les fidèles sont choqués car ils le connaissaient pour sa gentillesse, son calme, a témoigné DJAMEL TAZGHAT, le président de l’association. On n’a jamais eu un signe de radicalisation. Qu’est-ce qui s’est passé dans sa tête ?» Jeudi après-midi, trois personnes dans l’entourage de PETITJEAN étaient toujours en garde à vue, dont l’une avait participé au voyage en TURQUIE du 10 juin. Rien ne dit à ce stade qu’elles avaient eu connaissance du projet d’attentat mené à SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAY.
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LA MOSQUÉE «YAHIA» DE SAINT ETIENNE DU ROUVRAY
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LA MOSQUÉE DE SAINT-ETIENNE-DU-ROUVRAY A ÉTÉ INAUGURÉE EN 2000 SUR UN TERRAIN OFFERT PAR L’ÉGLISE CATHOLIQUE
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L’IMÂM DE LA MOSQUÉE «YAHIA» DE ST-ETIENNE-DU-ROUVRAY DÉJÀ CONDAMNÉ POUR AVOIR FRAPPÉ SA FEMME, LIGOTÉE, À COUPS DE BÂTON
31 AOUT 2010 PARIS NORMANDIE
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«ABDELBAKI A., 52 ans, est poursuivi pour violences conjugales. Il est soupçonné d’avoir violemment frappé au ventre son épouse, laquelle s’est vu prescrire une interruption temporaire de travail (ITT) de trois jours. Pour ces faits, il a été placé sous contrôle judiciaire. Affaire malheureusement classique. Sauf que dans le cas présent, c’est un imam qui est mis en cause par la justice. ABDELBAKI A., qui se dit aussi exorciste, exerce notamment son ministère à la MOSQUÉE YAHIA DE SAINT-ETIENNE-DU-ROUVRAY, du jeudi au dimanche depuis le début de l’année.
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FRAPPÉE À COUPS DE BÂTON
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L’homme, d’origine marocaine mais naturalisé français, a été déféré devant le procureur de la République d’Avesnes-sur-Helpe le 18 août dernier. Il est ressorti du palais de justice avec une convocation pour «violences et blessures volontaires» ayant entraîné une ITT inférieure à huit jours.Au cours de son audition par les enquêteurs de MAUBEUGE, ABDELBAKI A. aurait affirmé avoir procédé à un exorcisme sur son épouse de 45 ans ligotée en lui assénant des coups de bâton sur l’abdomen. Ce sont d’ailleurs des membres de la famille de la victime qui ont dénoncé les faits à la police.
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«JE VAIS ATTAQUER UNE ÉGLISE». IL M'A DIT ÇA IL Y A DEUX MOIS EN SORTANT DE LA MOSQUÉE [«YAHIA»] ...»
26 JUILLET 2016 LE DAUPHINE
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Des proches d'ADEL KEMICHE, 19 ans, admettent qu'ils ne sont «pas étonnés» que celui-ci ait participé, ce matin, à la prise d'otage dans une église près de ROUEN, tuant sauvagement un prêtre.
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Deux jeunes gens, proches d'ADEL KERMICHE, l'un des auteurs du meurtre de ce matin revendiqué par DAECH, ont témoigné au micro de RTL, avouant n'être pas très surpris.
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«JE NE L'AI PAS CRU»
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«Je ne suis pas étonné, il m'en parlait tout le temps... Il parlait de l'ISLAM... qu'il allait faire des trucs comme ça», dit l'un d'eux. «Sur le CORAN de LA MECQUE, il m'a dit : «JE VAIS ATTAQUER UNE ÉGLISE». IL M'A DIT ÇA IL Y A DEUX MOIS EN SORTANT DE LA MOSQUÉE. Sur la vie de ma mère, je ne l'ai pas cru».
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ABDELMALIK PETITJEAN ÉTAIT ENCORE BAGAGISTE DANS UN AÉROPORT 3 MOIS AVANT L’ATTENTAT
29 JUILLET 2016 DAILYMAIL
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ABDELMALIK PETITJEAN avait un emploi à temps plein à l’AÉROPORT DE CHAMBÉRY en FRANCE.
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Il y travaillait encore trois mois avant l’attaque sur l’église normande.
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Il n a pas été détecté par les services de police et a pu facilement décrocher le job
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POUR RAPPEL :
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AÉROPORTS : DES INSCRIPTIONS «ALLAH AKBAR» RETROUVÉES SUR DES AVIONS À PARIS ET LYON 29 NOVEMBRE 2015 METRONEWS
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UN PRÉCEDENT : SID AHMED GHLAM ET L’ATTENTAT DÉJOUÉ D’UNE ÉGLISE DE VILLEJUIF FICHé «S»
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SID AHMED GHLAM PRÉPARAIT AUSSI UN ATTENTAT AU SACRÉ-CŒUR
25 JUIN 2015 LEJDD
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Le suspect de l’attentat déjoué d’une église de VILLEJUIF, projetait de s’attaquer à la BASILIQUE DU SACRÉ-CŒUR à PARIS. Des plans révélés par les ordinateurs saisis chez SID AHMED GHLAM, selon une information du FIGARO.
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La BASILIQUE DU SACRÉ-CŒUR, mais aussi UN TRAIN REMPLI DE VOYAGEURS, faisaient partie des cibles de SID AHMED GHLAM, selon LE FIGARO. Le jeune homme est déjà accusé d’avoir fomenté des attaques, finalement déjoués, contre une ou plusieurs églises de VILLEJUIF, en région parisienne. Les informations concernant les préparatifs des attentats, ont été découvertes dans la mémoire de deux ordinateurs de l’étudiant algérien, récupérés lors de la perquisition de son appartement.
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«ÇA PREND DU TEMPS POUR LES TUER»
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Dans ces ordinateurs, les enquêteurs sont également tombés sur des échanges épistolaires entre SID AHMED GHLAM, d’autres personnes et un mystérieux donneur d’ordre, peut-être retranché en SYRIE ou en IRAK. Preuve supplémentaire que le djihadiste n’a pas agi seul. LE FIGARO a pu se procurer des extraits de ces échanges.
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«Essaie de trouver une église avec du monde et aussi regarde pour que tu puisses repartir rapidement et facilement», demande par exemple le probable commanditaire de l’attentat à SID AHMED GHLAM. Un lieutenant intervient dans la conversation : «Pour l’église, j’ai cherché, et en Ile-de-France, c’est difficile pour repartir. […] Et l’église çà prend du temps pour les tuer»[...]
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MEURTRE DES MOINES ET PRÊTRES DANS L'ISLAM
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MEURTRE DES MOINES JUSTIFIÉ PAR ABU BAKR LE PREMIER CALIFE DE L'ISLAM
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Extrait de l’introduction de la FATWA DES MOINES d’un des plus grand juristes sunnite IBN TAYMIYYA, jouissant du statut de «SHEIKH DE L’ISLAM». Le texte est introduit par le professeur (musulman) YAHYA MICHOT (BIO) ex professeur à l’UNIVERSITÉ CATHOLIQUE DE LOUVAIN
puis au CENTRE D’ÉTUDES ISLAMIQUES D’OXFORD financé par le QATAR, où enseigne aussi TARIQ RAMADAN.
 
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Loin d’être marginal, il est considéré comme un des meilleurs spécialistes d’IBN TAYMIYYA, INVITÉ EN STAR À LA FOIRE MUSULMANE DE BRUXELLES.
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Un autre traité de droit musulman justifie ces meurtres des moines non reclus dans leurs ermitages en temps de guerre : le manuel juridique majeur du sunnisme, AL-MUWATTA’, de l’IMÂM MALIK IBN ANAS (710-795) – «synthèse pratique de l’enseignement islamique» sous-titre l’éditeur ALBOURAQ- enseigne d’assommer les moines chrétiens, de violer les femmes issues du butin de guerre, de couper la tête des apostats, de partir en expédition guerrière etc. Nous l’avons acheté à la FNAC de ROUEN ! Il est présent dans toutes les librairies musulmanes.
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DANS LE LIVRE NUMÉRO 21 , LE POINT 18 ENSEIGNE DE TUER LES MOINES PROSÉLYTES :
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«Tu verras des gens qui se sont rasé le sommet de la tête (diacres) [en référence à la tonsure des moines], abats-les en frappant le sommet de leur tête» L’assassinat des moines de Tibihirine en 1996, n’est donc pas le fait de fous, mais de personnes appliquant l’ISLAM officiel enseigné au MAROC et en ALGÉRIE.
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Voir CE DOCUMENTAIRE sur les livres islamiques de l’INSTITUT DU MONDE ARABE, AL-MUWATTA’ est présent, ainsi que les ouvrages d’IBN TAYMIYYA (1263-1328) qui a aussi légalisé le meurtre des moines (cf: son texte LE STATUT DES MOINES) en se référant aux propos d’ABU BAKR, PREMIER CALIFE (632-634) de l’ISLAM éminement respecté car «bien guidé par dieu» [RASHIDÛN].
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Dans un autre DOCUMENT EXCEPTIONNEL diffusé sur FRANCE 3 le 23 mai 2013, les réalisateurs MALIK AÏT AOUDIA, correspondant de MARIANNE en ALGÉRIE et SÉVERINE LABAT apportent les preuves irréfutables que les sept moines ont bien été assassinés par le GROUPE ISLAMIQUE ARMÉ. En exclusivité, MARIANNE en publie des extraits… Lire dans MARIANNE
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«Celui qui tue les moines, il se rapproche de DIEU et tous avaient soif de meurtre : il n’y en avait pas un qui ne voulait pas les égorger tous les sept !» L’homme qui parle s’appelle LAID CHABOU. Proche lieutenant de DJAMEL ZITOUNI, le chef du GROUPE ISLAMIQUE ARMÉ (GIA) en cette année 1996, LAID CHABOU était là, ce 21 mai, quand, dans le maquis de BOUGARA, ordre fut donné par ZITOUNI de tuer les moines français»
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