22/01/2018
JE N'AIME PLUS PARIS
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PARIS OUTRAGÉ PARIS BRISÉ PARIS MARTYRISÉ
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PARIS, VILLE POUBELLE, CLASSÉE 49° SUR 51 EN TERME D’ATTRACTIVITÉ POUR LES EXPATRIÉS WORLD ECONOMIC FORUM /
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PARIS HIER ET AUJOURD'HUI
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31 JANVIER 2018 LE CANARD ENCHAINE / LE FIGARO /
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Avec ce rapport, ANNE HIDALGO entendait impliquer les habitants de PARIS dans la gestion de leur ville. A cette occasion, des conférences citoyennes avaient été organisées à propos de la propreté des rues, l'un des sujets fétiches du MAIRE DE PARIS.
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Il s'agit d'ailleurs du troisième plan propreté d'ANNE HIDALGO depuis le début de son mandat, qui a commencé en 2014. Dans l'annonce de ce nouveau plan, en mars 2017, le maire annonçait sa volonté de faire émerger de «belles propositions». Sept commissions de 15 habitants chacune ont ainsi été organisées au cours de l'automne... Peut-être un début d'explication au prix exorbitant payé à L'IFOP et à l'agence de communication PLANÈTE PUBLIQUE dévoilé par le PALMIPÈDE. Un chiffre étonnant qui serait issu d'un rapport de la commission d'enquête du CONSEIL DE PARIS.
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ANNE HIDALGO ATTENDUE SUR SON BUDGET
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Lors de la présentation de son budget prévisionnel pour la ville de Paris, le 11 décembre, ANNE HIDALGO avait annoncé une dette de près de 6 milliards d'euros pour 2018, soit six fois plus qu'en 2001. Depuis 2010, la dette a ainsi progressé de 2,48 milliards. En 2018, la hausse pourrait s'élever à 12% de plus que l'année précédente.
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25 OCTOBRE 2017 CAPITAL /
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Pendant plus de deux ans, la pasionaria parisienne de la citoyenneté et du vivre-ensemble s’est discrètement fait payer par le MINISTÈRE DU TRAVAIL pour un emploi imaginaire. Une enquête de PHILIPPE ELIAKIM.
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Cela faisait des années qu’on le murmurait dans les cercles parisiens sans parvenir à le démontrer, ni à pouvoir le dire tout haut. CAPITAL est aujourd’hui en mesure de le confirmer : après avoir été élue PREMIÈRE ADJOINTE DE BERTRAND DELANOË à la MAIRIE DE PARIS en mars 2001, ANNE HIDALGO a continué de se faire payer pendant des mois par son administration d’origine, le MINISTÈRE DU TRAVAIL. En plus de ses indemnités d’élue réglées par la mairie – 5.575 puis 6.424 euros mensuels à partir d’octobre 2002, sans compter les défraiements –, elle percevait un salaire mensuel de 3.040 euros du ministère, auquel s’ajoutaient entre 1.000 et 2.000 euros de primes.
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Pour quel travail ? Jusqu’en avril 2002, la numéro 2 de la capitale, INSPECTRICE DU TRAVAIL EN CHEF de son état, était officiellement mise à disposition du cabinet de MARYLISE LEBRANCHU, la MINISTRE DE LA JUSTICE de LIONEL JOSPIN, comme conseillère technique puis comme chargée de mission. Entre les réunions interministérielles, les notes à rédiger, les arbitrages techniques et les permanences du week-end, les conseillers de ministre occupent l’un des emplois les plus harassants qui soient, et ceux de MARYLISE LEBRANCHU n’échappaient pas à la règle. «Les gens de chez VAILLANT (le MINISTRE DE L’INTÉRIEUR de l’époque, NDLR) passaient leur temps à nous canarder, se rappelle un ancien de l’équipe. Il fallait préparer la présidentielle, on était tous au taquet»
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Tous, sauf ANNE HIDALGO. «A son arrivée, en novembre 2000, elle a travaillé pendant quelques semaines sur le conflit des greffiers. Mais ensuite, elle est partie faire sa campagne municipale, et on ne l’a pratiquement plus revue», assure notre ancien conseiller. Une absence que son congé maternité, quelques mois plus tard, ne suffit pas à justifier. «C’était ce que l’on appelle un emploi fictif, confirme un autre membre du cabinet.
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Elle ne participait jamais aux réunions de travail, elle n’avait même pas de bureau. Les seules fois où on la croisait, c’est lorsque le club de MARTINE AUBRY, Réformer, organisait une réunion ou un dîner dans les locaux du ministère, avec BENOÎT HAMON et FRANÇOIS LAMY»
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Changement de décor à partir d’avril 2002. LIONEL JOSPIN ayant été battu à la présidentielle, MARYLISE LEBRANCHU rend les clés de son ministère, et ANNE HIDALGO doit réintégrer officiellement son poste à la DIRECTION RÉGIONALE DU TRAVAIL D’ILE-DE-FRANCE. Elle n’y met évidemment jamais les pieds. Mais, selon nos informations, elle n’en continue pas moins de se faire verser son salaire. Ce qui constitue ni plus ni moins une rémunération pour emploi fictif. Rémunération qui perdure y compris lorsque, en octobre 2002, elle assume l’intérim de BERTRAND DELANOË, victime d’une agression au couteau. Manifestement, la droite, revenue aux affaires, n’a guère envie de se brouiller avec l’égérie de la commune de PARIS. On ne sait jamais… [...]
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LES RATS SONT ENTRÉS DANS PARIS
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21 JANVIER 2018 LE PARISIEN
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Depuis plus d’un an, tout le monde s’accorde à dire que les rats dans PARIS prolifèrent à une vitesse inquiétante. Parmi ces personnes, les éboueurs de la capitale qui sont en première ligne. L’un d’eux, DAVID, a filmé récemment une montagne de rats bien vivants à l’intérieur d’un bac à ordures entreposé sur les berges de SEINE. La vidéo montre une quantité effrayante de rongeurs, qui sautent les uns sur les autres. Pour DAVID et ses collègues, les rats sont un véritable fléau.
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«Ils n’hésitent plus à NOUS attaquer, explique cet agent de propreté de la Ville de Paris. Des rats sautent à la gorge de mes collègues. On veut travailler dans d’autres conditions, c’est plus possible»
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Les rats n’en finissent plus de proliférer dans la capitale. Il y a quelques jours, c’est le CHAMPS-DE-MARS, de la TOUR EIFFEL, qui était infesté par les rongeurs. Malgré des dératisations régulières ce sont aussi de nombreux parcs parisiens qui sont envahis. Dernier en date, celui des BATIGNOLLES, avec son joli bassin, son aire de jeux pour enfants et son parc pour boulistes, est fermé au moins jusqu’au 25 octobre.
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LES RATS PARIS CHÂTELET
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LES RATS PARIS Xème
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Notre-Dame de Paris qui occupe la première place du «Top 10» des sites les plus fréquentés de Paris MENACE DE S'ÉCROULER (voir article plus bas) et appelle au secours
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ÉGLISE SAINT MERRI PARIS IV° RECOUVERTE D'UN ÉCHAFAUDAGE POUR ÉVITER LES ÉVENTUELLES PIERRES
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L'église SAINT MERRI est recouverte d'un échafaudage pour éviter les éventuelles pierres menaçant de chute.
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ÉGLISE SAINT-PHILIPPE-DU-ROULE PARIS VIII° DOTÉE DEPUIS QUATRE ANS D'UN TOIT ARTIFICIEL DESTINÉ À LA PROTÉGER DES INFILTRATIONS DE PLUIE.
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85 églises de Paris sont en souffrance. Elles partent parfois en morceaux, leurs fresques sont striées de papier japon. Quand elles ne prennent pas l'eau comme à Saint-Philippe-du-Roule, dans le VIIIe arrondissement, dotée depuis quatre ans d'un toit artificiel destiné à la protéger des infiltrations de pluie.
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ÉGLISE SAINT-AUGUSTIN PARIS VIII° A PERDU UNE DE SES STATUES SURPLOMBANT LE GRAND PORTAIL
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ÉGLISE SAINT-AUGUSTIN PARIS VIII° œuvre de Victor Baltard, l'architecte des Halles –, qui, le 7 novembre, a perdu une de ses statues surplombant le grand portail.
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«Une visite à Saint-Augustin dans le 8e arrondissement, la première église à structure métallique bâtie vers 1860 par Baltard, illustre l'ampleur des problèmes. Il y a dix jours, un lustre est tombé sur l'autel de la Vierge, derrière le maître-autel.
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Dans une autre chapelle, la pluie tombe en brume légère depuis trois semaines. Partout, des infiltrations d'eau sont visibles sur les murs, dégradant les peintures de la tribune face à l'orgue et celles de la voûte centrale, cachée depuis plusieurs années sous un immense filet.
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Toujours dans le choeur, deux toiles en médaillons représentant saint Luc et saint Matthieu ont dû être retirées par précaution. Dehors, sur la façade noircie, les griffons ont perdu leur tête, déposée elle aussi pour éviter tout risque de chute sur les passants».
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ÉGLISE DE LA TRINITÉ, PARIS IX° RECOUVERTE DE FILETS DE PROTECTION CONTRE LES CHUTES DE PIERRES.
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«Attention, chute de pierres !» Un petit panneau est posé devant l'église de la Trinité, dans le IXe arrondissement. À lui seul, il veut tout dire. Fragiles, anciennes, nombreuses, longtemps délaissées, les 85 églises de PARIS sont en souffrance. Elles partent parfois en morceaux, leurs fresques sont striées de papier japon».
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XVIII° CHÂTEAU ROUGE
LE FACTEUR NE PASSE PLUS : «ZONE SENSIBLE»
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BIDONVILLE PARIS XVIII BACS A FLEURS DEVENUS POUBELLES A SERINGUES
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6 AOUT 2017 VALEURS ACTUELLES /
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POUR AIDER NOTRE-DAME : www.fondationavenirpatrimoineparis.fr
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Si les piliers de NOTRE-DAME avaient une voix, ils raconteraient toute l’histoire de FRANCE, écrivait l’architecte EUGÈNE VIOLLET-LE-DUC qui fut avec JEAN-BAPTISTE-ANTOINE LASSUS le grand restaurateur de la CATHÉDRALE DE PARIS, et le constructeur de sa sacristie, au milieu du XIXe siècle. En 1831 paraissait le roman NOTRE-DAME DE PARIS, de VICTOR HUGO, et son immense succès public avait permis de sensibiliser les Parisiens à ce monument qui, aussi étrange que cela puisse paraître aujourd’hui, était délaissé depuis le sacre de NAPOLÉON. Certains édiles de la ville en étaient même arrivés à évoquer la possibilité de le raser !
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«Il est difficile de ne pas soupirer, de ne pas s’indigner devant les dégradations, les mutilations sans nombre que simultanément le temps et les hommes ont fait subir au vénérable monument», se plaignait le grand HUGO. Par un curieux bégaiement de l’histoire, près de deux cents ans après avoir été écrite, cette phrase se retrouve plus actuelle que jamais. Si les hommes ont, après les folies révolutionnaires, laissé enfin la cathédrale en paix, la pollution, les pluies acides et l’usure du temps ne lui laissent en revanche aucun répit.
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Depuis une vingtaine d’années, l’édifice part ainsi à nouveau à vau-l’eau. Des morceaux se détachent, stockés dans l’arrière-cour du bâtiment qu’ANDRÉ FINOT, le RESPONSABLE DE LA COMMUNICATION DE LA CATHÉDRALE, fait volontiers visiter aux journalistes pour les sensibiliser à l’état général des lieux. Il y a quelques années, une tête de gargouille s’est écrasée sur le trottoir, un 15 août, à quelques mètres d’un touriste en goguette, si bien que l’on ôte désormais préventivement les pierres les plus fragiles. La cathédrale est dépouillée petit à petit, comme une vieille femme à qui l’on arracherait ses dents. Difficile, donc, de ne pas soupirer à la vue de ces gargouilles entassées dans un petit abri de fortune, de ces blocs brisés par la chute, de toutes ces pierres déchues. Difficile de ne pas s’indigner à la vue d’une grosse planche de bois faisant office de balustrade sur les hauteurs du monument ou à celle des tuyaux en PVC, de plus en plus nombreux à remplacer les gargouilles qui évacuaient gracieusement l’eau de pluie par la gueule.
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Mais ce qui inquiète le plus les architectes des monuments historiques, c’est l’effritement des arcs-boutants, le squelette du bâtiment. «L’état de la cathédrale est à un stade où ses structures ne pourront bientôt plus jouer leur rôle et menaceront alors la stabilité même du bâtiment», alerte ANDRÉ FINOT. NOTRE-DAME n’est pas encore au bord de l’écroulement, mais son état de délabrement est pris très au sérieux par l’ARCHEVÊCHÉ DE PARIS, affectataire des lieux, qui a décidé de s’emparer du problème à bras-le-corps en lançant un appel aux dons inédit.
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Certes l’État, propriétaire, n’a pas abandonné la cathédrale. Il donne deux millions d’euros tous les ans, ce qui n’est pas rien, mais qui est pourtant largement insuffisant. Ce même État s’est engagé en mai dernier à verser un euro de subvention supplémentaire pour chaque euro de mécénat récolté (dans la limite de 2 millions par an pendant dix ans). Là encore, l’effort est louable… mais toujours insuffisant.
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La priorité des priorités, c’est la flèche. Les tables de plomb de la toiture sont usées, certaines fendues, et laissent passer la pluie, menaçant la forêt sublime que constitue la charpente de chêne, la plus vieille de PARIS. Certains bois provenant d’arbres abattus au milieu du XIIe siècle, à l’âge de 300 à 400 ans, datent du VIIIe ou du IXe siècle ! Restaurer cette flèche et sa toiture de 210 tonnes engendrera un chantier spectaculaire, avec un échafaudage culminant à 93 mètres au dessus du sol pour un coût estimé à 10 millions d’euros. Les douze apôtres et les quatre évangélistes en cuivre qui entourent la flèche en profiteront pour se faire toiletter, eux aussi. Pour les arcs-boutants du chevet de l’édifice, autre priorité, il faut compter entre 20 et 30 millions. La sacristie : 10 autres millions. Et la valse des millions continue avec la restauration des gargouilles, des pinacles, des balustrades… En tout, c’est de 150 millions que la cathédrale a besoin pour les trente ans à venir ! Une somme que l’État est incapable de fournir et que le mécénat national peine, lui aussi, à réunir.
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INTÉRESSER LE PUBLIC AMÉRICAIN AU SORT DE LA CATHÉDRALE
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Si les Français sont généreux, ils donnent en effet surtout pour des causes sociales et humanitaires, les chiffres du TÉLÉTHON ou du SECOURS CATHOLIQUE en témoignent. Mais pour la question du patrimoine, la mentalité nationale n’est pas loin d’estimer que c’est à l’État de s’en occuper («et qu’on paye bien assez d’impôts comme ça !»).
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Lorsque le grand spécialiste des cathédrales ANDREW TALLON, PROFESSEUR D’HISTOIRE DE L’ART À NEW YORK, a eu accès il y a quelques mois aux parties privées de l’édifice, il en est sorti abasourdi. C’est lui qui a eu l’idée de lancer une souscription aux ÉTATS-UNIS pour financer les travaux.
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Les Américains ont la culture du don. Ils peuvent le défiscaliser à hauteur de 40 % sans aucune limite. Ils sont en outre très attachés à NOTRE-DAME. Vous devez créer une fondation, a-t-il expliqué en substance aux membres ébahis de l’archevêché. C’est ainsi qu’est née FRIENDS OF NOTRE-DAME DE PARIS, une fondation de droit américain, qui aux côtés de la Fondation AVENIR DU PATRIMOINE À PARIS, destinée, elle, à récolter les fonds français, va tenter d’intéresser le public américain au sort de la plus célèbre des cathédrales outre-Atlantique. Au printemps 2018, FRIENDS OF NOTRE-DAME DE PARIS pilotée par l’archevêché va entamer un roadshow dans les principales villes américaines, de NEW YORK à LOS ANGELES, pour mobiliser les riches mécènes à travers rencontres et dîners. Les mauvais esprits parleront de tapin et d’humiliation patriotique. Les amoureux de Notre-Dame, eux, se réjouiront de la cure de jouvence que cette vieille dame de 850 ans pourra s’offrir avec ces bons dollars américains que l’on espère nombreux.
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